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Mon voisin...
Beurk... Quel temps! Ca fait 2 semaines qu'il pleut tous les jours, et en plus il fait un froid de canard.
Mon frigo se vide, et il faut que je me motive pour sortir faire quelques courses. Mais vraiment aucune envie de mettre le nez dehors.
Allons bon, on frappe à la porte... Pfffff... décidemment aujourd'hui, c'est pas le jour!
"Ah, bonjour" dis-je à mon voisin en ouvrant la porte.
Je me sens un peu bête, parce que je traine en peignoir depuis le matin, mais bon, après tout... je suis chez moi.
Lui: "Bonjour, tu vas bien?"
Moi: "Bien, merci et vous?"
Lui: "Bien, bien merci, désolé de te déranger..." dit-il en m'examinant de la tête aux pieds.
Moi: "Non, pas de soucis".
Lui: "Je dois sortir faire une course, mais y a une voiture qui gêne la mienne pour sortir, je pensais que c'était peut être quelqu'un qui était chez toi?..."
Moi: "Ah, non, désolé..."
Lui: "C'est dingue ça, on ne peut plus être tranquille sur son propre parking..."
Nous palabrons un moment sur le manque d'éducation des gens, et je sens un regard insistant sur mon peignoir, mais je ne rélève pas...
Au bout d'un moment, je lui propose d'emprunter mon véhicule.
Depuis 2 ans que j'habite la résidence, nous nous connaissons assez bien.
Il est retraité de l'enseignement, et je lui fais confiance.
Lui: "Tu as besoin de quelque chose?..."
Je profite de l'aubaine pour lui donner 2 ou 3 bricoles à m'acheter et un peu de monnaie.
Il rentre un peu plus tard, et me trouve toujours en peignoir.
Il entre, et pose mon cabas près de mon armoire.
Il s'asseoit et je lui offre un verre.
Nos regards se croisent plusieurs fois, et je le surprends plusieurs fois à regarder vers mes fesses. Curieusement, il ne s'en cache pas, au contraire...
Je fais mine de rien.
Lui: "Je peux "abuser" et te demander un service?"
Moi: "Oui, pas de soucis".
Lui: "Je peux consulter ma messagerie? J'ai un soucis avec ma connexion..."
Moi: "Euh... oui, bien sûr, je vous laisse le pc".
Lui: "Par contre, je suis inscrit sur un site bi, ça ne t'embête pas si je le consulte..." dit-il en me lançant un regard coquin et interrogateur...
Un blanc s'installe, mais je ne veux pas le mettre mal à l'aise:
Moi: "Non, non, tant qu'il n'y a pas de pièce jointe avec des virus, pas de soucis".
Lui: "Au fait, ta femme va bien?".
Tiens, il me parle de ma femme maintenant...
Moi: "Oui, très bien merci, elle est chez ses parents cette semaine".
Lui: "Cool, une petite semaine tranquille tout seul alors?..."
Décidemment, je sens ses propos de plus en plus ambigüs.
Nous buvons un verre, un deuxième, nous parlons de sexe, de liberté, d'expérience, etc... bref, de sujets entre mecs sans leur femme... Et au moment ou je me retourne pour le resservir, je sens une main se glisser sous mon peignoir, et venir se coller sur mes fesses.
Je sursaute, une deuxième main vient saisir ma hanche droite.
Lui: "C'est rien, n'aie pas peur".
Moi: "Mais comment ça?..."
Lui: "désolé, mais c'était trop tentant depuis toute à l'heure..."
En prononçant cette phrase, il promène son majeur gauche le long de ma raie, de haut en bas et de bas en haut.
Je frissonne, et me retourne pour le regarder.
Saisit par la surprise, je ne dis rien.
Il en profite, et poursuit sa démarche.
Lui: "Tu as des fesses d'une douceur... hummmm....
Moi: "Euh..... merci, mais euh..."
Je sens sa main droite se rafermir.
Lui: "hummm..... chutttt.... viens voir un peu".
En disant ça, il me rapproche de lui de sa main droite, et sa main gauche sous mon peignoir écarte celui ci, mes fesses.
Sa main gauche relache légèrement sa saisie pour venir attrapper le peignoir et le maintenir ouvert, son autre main attrappe l'autre côté de ma hanche, et il m'approche de lui.
Toujours sous l'effet de la surprise, je ne dis rien, et sens sa bouche s'approcher. Il m'embrasse une fesse, puis l'autre.
Tout en continuant de me complimenter sur la douceur de celles-ci, me laissant guère le loisir de dire quoi que ce soit.
Lorsque sa langue vient approfondir sa démarche.
Je la sens se glisser dans ma raie et venir flatter tout doucement mon petit trou.
Je ne peux contenir un soupir.
Lui: "Hummmm.... T'aimes ça finalement"
Je m'apprête à répondre, et je sens tout d'un coup sa langue s'enfoncer encore plus dans ma raie, presque pénétrer ma rondelle, comme pour m'empêcher de répondre, et surtout une main venir claquer ma fesse droite!
Moi: "Héééé!!!!"
Je réponds, mais me laisse faire.
Puis la situation devient floue, alors il prend les choses en mains:
Lui: "Ecoute, ne le prends pas mal, mais j'en avais envie depuis longtemps, on est seul tous les deux, ça reste en nous non?..."
Sa phrase à peine finie, il reprend de plus belle ses fouilles anales avec sa langue, je me mords la langue pour ne pas gueuler de plaisir.
Mais ma retenue ne trompe personne, mes fesses se cambrent toutes seules.
Je suis incapable de répondre autre chose que des gémissements.
Encouragé, il remonte sa main gauche, et fait glisser mon peignoir, me découvrant totalement.
Mince, je suis à poils devant mon voisin.
Pffffff, je sais pas trop quoi faire.
Je me retourne:
Moi: "Attendez, je sais pas quoi dire, c'est gênant..."
Mais mon pieu à moitié dur ne trompe personne!
Face à l'évidence, je me laisse faire, et lui offre à nouveau mon intimité.
A en juger à son adresse, il n'en est pas à ses début, contrairement à moi!
Il fouille et fouille les moindre recoint de mon intimité.
Sa main droite quite ma hanche, et j'entends le son de sa braguette, puis celui de son caleçon.
De discrètes saccades me font comprendre qu'il est en train de s'astiquer...
Il continue son exploration, et ma curiosité l'emporte, et me fait me retourner.
Je me condamne tout seul.
Lui: "Viens voir".
Il me guide de sorte' que je me retrouve face à lui.
Il me fait m'agenouiller. Et prend ma nuque sa main gauche.
Il me guide vers sa queue et avant que je ne réagisse, empale ma bouche sur celle-ci.
Je me recule.
Moi: "Euh... ok, ok, juste une seconde..."
Je me dérobe.
Il m'attend, confiant.
Je reviens avec un préservatif.
D'un côté il semble déçu de cette barrière de latex, mais d'un autre côté, il est ravi de ce signe collaboration de ma part...
J'enfile le petit capuchon, mais chose faite, il insiste pour garder le contrôle de notre petit jeu, et saisit désormais ma tête avec ses deux mains.
Il m'imprime un mouvement de vas-et-viens lent et ferme.
Je sens en plus ses coups de reins faire heurter son pubis contre ma lèvre supérieure.
Ses gémissements m'excitent.
Il ralentit ses mouvements, et me fixe droit dans les yeux.
Nos regards sont très intenses.
Notre complicité aussi.
Il tient toujours ma tête, et retire son sexe de ma bouche, avec lequel il me caresse le visage.
Je ne dis rien, et le laisse ainsi poser son empreinte sur moi.
Il attrappe mes cheveux, et m'imprime une courte série de vas-et-viens sur sa queue.
Puis il me retire.Il me guide vers le canapé, et m'y installe dans ce qui se révèlera être une position de levrette.
Intimidé, je me laisse faire, mais ma position suscitera une nouvelle claque sur mes fesses accompagné d'un:
"Cambre toi un peu plus".
Voyant que j'obéïs, il prend cela comme un encouragement, et entame une douce série de fessées...Ce qui accentue notre petit jeu, et semble particulièrement l'exciter... Et moi aussi du coup...
D'autant plus que je laisse échapper quelques gémissements.
Jouant le jeu, je m'offre maintenant complètement à lui, et cambre mes reins au maximum de mes possibilités.
Je me retourne et le regarde me fesser, pieu dressé, et s'apprêter à me saillir.
Lui: "Hummmmm..... et ben ma salope!" Accompagnant son compliment d'une claque un peu plus intense...
Moi: "Ohhh.... hummmm...."
Notre jeu s'intensifie.
La frénésie nous emporte, il me saisit et m'empale littéralement!
Moi: "ouuuhhhhhhhh...... hummmmmmmmmm......"
La sensation physique n'est pas si géniale que ça, mais me sentir soumis à ce mâle mûr m'excite au plus haut point.
Du coup, je me retourne et le regarde d'autant plus me prendre.
A cet instant, c'est comme s'il était fait pour moi et moi faitE pour lui.
Il prend son pied dans mon intimité, et subir son plaisir m'excite comme c'est pas possible.
Il me lime, et ne cache pas son plaisir. Moi non plus. D'ailleurs, cela me vaut d'autre compliment.
Lui: "Hummmm.... T'aimes ça hein ma cochonne..."
Ce commentaire et la claque sur les fesses qui l'accompagne intensifient mes gémissements.
Il ralentit, bizarre, je suis gêné... Mais je suis vite rassuré lorque j'entends:
Lui: "J'espère que t'aimes ça, parce que moi je me régale! Alors je vais faire durer un peu..."
En effet, son rythme ralentit.
Une main sur mes hanches, l'autre saisit mes cheveux, et le tire légèrement vers l'arrière. Pas trop pour ne pas ne faire mal, mais juste pour accentuer ma cambrure de reins.
Puis il reprend ses vas-et-viens.
Et finalement, son plaisir l'emporte, et il accélère jusqu'à ce qu'il se retire d'un coup, tandis qu'il me tenait toujours les cheveux de sa main gauche, le temps de l'entendre retirer son capuchon en latex, je sentis des saccades chaudes et humides venir arroser le bas de mon dos, accompagnées de gémissements profonds et caractéristiques. Il finissait de s'astiquer de sa main droite, et me gratifiait de son plaisir.
J'ai fermé les yeux et me suis régalé de subir son plaisir...
Ceci fait et les pulsions, en tout cas les siennes, retombées, la situation devenait un peeu plus délicates.
Mais n'ayant pas jouï, les miennes étaient intactes.
Je le remerciais donc, et lui proposais de lui resservir un verre. Ce qu'il accepta.
Je le priai de m'excuser un instant, et allai me rincer discrêtement de son plaisir collant.
En revenant, nous avons mis les pieds dans le plat, et avons abordé ce qui venait de se passer.
Au début gênés, nous avons pris conscience que nous étions tous deux conscentants. Ce qui accentua notre excitation.
C'était comme si désormais, nous convenions d'être amant-maitresse..., les rôles étant clairement définis!
Lui: "C'était un vrai plaisir, si tu savais depuis le temps que j'en avais envie..."
Je n'ose rien répondre...
Lui: "Regarde, tu m'excites encore..."
Pour un homme de 63 ans, il est encore en forme... Car en effet, son sexe s'allonge à nouveau...
Moi: "Ah oui, en effet..."
Je passe doucement la main sur son sexe, de la base vers le gland.
Il attrappe ma main, et la tire vers lui, de sorte qu'il puisse maintenant attrapper ma tête, et la guider à nouveau vers son sexe.
Encore excité, j'entreprends de le sucer de façon autonome, mais il me reprend rapidement, et montre clairement que c'est lui qui commande...
Il me place sur le dos, se place à qualifourchon sur mon torse, et vient doucement enfiler son sexe dans ma bouche, en prenant bien soin de fixer mon regard.
Lui: "Hummmmm.... Qu'est ce que tu m'excites ma salope..."
Tout en me baisant la bouche, il glisse une main, entre ma raie et commence à me doigter.
Je glousse comme je peux, la bouche pleine, mais décidé à lui montrer mon plaisir et à l'encourager.
Convaincu, il s'excite aussi, et ne tarde pas à se retirer de ma bouche.
Il se recule, enfile un nouveau préso, et calant mes cuisses sur ses épaules, m'empale à nouveau.
Convaincu que le passage est fait, il y va d'un coup, ce qui a pour effet de me faire pousser un petit cri qu'il prend pour un cri de plaisir!
Du coup, la frénésie l'emporte et il me lime à fond.
Je n'ose rien dire, d'autant qu'excité par son plaisir, le mien s'exprime aussi.
Nous hâletons tous les deux comme deux sportifs dans une compétition.
Lui: "aahhhhh....... hhummmmmm....., oh ma salope!!!!!!!!!!!!!"
Moi: "ooohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiii.................."
J'explose littéralement sur mon ventre!
Lui explose dans la capote.
Je sens les saccades.
Il se retire doucement.
Personne ne dit rien.
L'ambiance est pesante, puis, nous convenons que ceci était ponctuel...
A suivre...
cooljeff
cooljeff@hotmail.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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