Cyrillo

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Un nageur de rêve

Je devais être âgé de 18 ou 19 ans lorsque j'avais l'habitude de me rendre dans une résidence privé sur Biarritz pour faire quelques longueurs et m'amuser avec d'autres mecs de mon âge soit à se poursuivre autour de la piscine soit encore à passer entre les jambes des uns et des autres lorsque nous étions dans l'eau.

Il m'est arrivé un jour de jouer à tripoter la bite de mes partenaires de jeu arguant du fait qu'il fallait résister le plus possible et éviter de se faire toucher... bien évidemment mon sexe commençait à durcir dans mon short qui n'était pas un slip de bain mais un boxer dans lequel ma queue pouvait évoluer à l'air libre.

Il fallait que cela cesse.

Je décidais donc de quitter l'eau pour m'étendre sur une serviette et profiter du soleil de la côte basque.

Des regards se posent sur la bosse qui déforme mon short.

Je me rends à la douche pour me nettoyer et enlever la javel présente dans l'eau de la piscine dont l'odeur reste dur le corps. La douche se trouvait à l'intérieur d'un petit local technique de sorte qu'une seule personne pouvait se doucher à la fois, ceux qui attendaient, par courtoisie ou savoir vivre ne regardaient pas la personne qui était affairée sous la douche.

Pourtant ce jour là 2 mecs étaient rentrés après moi et n'ont pas cessé de me mater faisant des commentaires sur ma pilosité naissante, sur l'interdiction de mettre des shorts dans les piscines et la nécessité de remplacer ce qui cachait mon intimité par un slip de bain bien plus révélateur.

J'ignorais les intrus non sans regret d'avoir pu bénéficier d'une première expérience avec eux.

Il n'en demeurait pas moins que mon érection était persistante et qu'il me fallait rapidement m'allonger sur le ventre pour éviter de provoquer le voisinage composé essentiellement de dames âgées et de jeunes gens biens sous tout rapport (en tous cas en apparence!!).

Je m'assoupis quelque peu et me réveille à une heure où il n'y a quasiment personne dans l'eau ni même sur les plages de la piscine.

J'en profite pour faire un dernier plongeon quand apparaît un homme d'une trentaine d'année habillé d'un pantalon en toile, d'une chemise et d'une cravate qui s'approche de la piscine. Il n'a aucun sac, ni serviette. Ne fait-il que passer ou a-t-il l'intention de rester sur place?

Je poursuis mes longueurs en prenant soin de jeter un oeil sur le nouvel arrivant qui ôtait son pantalon, sa chemise, ses chaussures et portait maintenant un caleçon en toile. Qu'allait-il faire? Se changer devant moi? Entrer dans l'eau nu ... certainement pas?

Avec une nonchalance certaine le mec a plongé dans l'eau avec pour seul maillot son caleçon qui laissait tout deviner de ce colosse de chair qui pendait entre ses jambes. Le mec était royalement monté par rapport à moi qui rêvais à cet instant de voir de plus près le sexe d'un homme, de le prendre en main, de le caresser et de l'exciter pour tester la dureté des tissus.

Je nageais maintenant en permanence en apnée pour me permettre de mater sous l'eau l'effet du courant sur cette bite appétissante mais d'accès immédiat interdit.

Je n'osais aborder l'individu qui sortait maintenant de l'eau pour se rendre à la douche, je le suivais et entrais avec lui dans le local technique. Je lui demandais si ça le dérangeait que je reste à l'intérieur compte tenu du vent et de la sensation de froid qu'il pouvait procurer. Il me répondit qu'il n'y avait aucun problème et se retournait pour préserver sa pudeur.

Quelle pudeur?

Ses fesses étaient musclées et imberbes comme dans les magazines.

Il se retournait à nouveau et me faisait face, la tête en arrière, le visage sous le jet d'eau. Il ne pouvait pas voir que mon regard portait maintenant sur ce sexe désirable et parfaitement visible au travers du caleçon transparent sur lequel l'eau s'écoulait lentement.

Son gland était décalotté, son sexe d'une longueur impressionnante.

J'aurais aimé lui parler, l'aborder.

J'en ai rêvé, j'en rêve encore puisqu'à ce jour, malgré mon désir ou mon intérêt pour le corps et le sexe masculin, je n'ai toujours pas franchi le cap.

Natanael de Biarritz
natanael@laposte.net

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