Cyrillo

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Bloqué par la neige sur l'A7

Dans mon camion à vide, je rentre vers mon entreprise, je viens de livrer des meubles et j'ai hâte de rentrer, c'est le soir.
Seulement depuis hier, la neige tombe sans arrêt, la circulation est de plus en plus pénible, ça ralentit tout le temps, si bien que tout le réseau est bloqué et on nous annonce que l'A7 est fermée.
Les poids lourds sont arrêtés sur plusieurs files, une seule voie est dégagée pour la sécurité.
On patiente longtemps, puis on apprend que l'A7 reste fermée pour une durée indéterminée pour l'instant, mais d'au moins 24 heures.
Grogne chez les chauffeurs descendus des bahuts. Quoi faire ?
Ceux qui sont bien équipés resteront dans leurs cabines, pour les autres, démerdez-vous !
Les couvertures servant à protéger les meubles sont empilées dans mon camion, ça me tiendra chaud, mais je n'ai plus rien à bouffer.
Je préviens mon entreprise et j'attends.
Les heures passent et on nous annonce que la commune la plus proche met un gymnase à la disposition des routiers.
Je verrouille le camion et nous sommes dirigés vers le lieu d'accueil.
On nous sert un repas chaud, la commune a aussi aménagé des box à l'aide de rideaux dans le gymnase.
Il y a deux lits de camp par box, serrés l'un contre l'autre.
Il est neuf heures du soir, je suis crevé d'avoir conduit sous la neige, je me couche sur le premier lit de camp que je trouve et je m'endors aussitôt parmi le brouhaha qui règne dans le gymnase.
Vers minuit je me réveille, il fait un clair obscur dans le gymnase à cause de la neige, des lampadaires tout proches et du vitrage en haut de la salle.
J'entends des bruits de respiration, de ronflements, de grincements des lits, ça me fait chier dans mon demi-sommeil. Puis je remarque un grincement régulier, des frottements réguliers tout près de moi, je me tourne et les yeux mi-clos, je vois mon voisin de lit étendu sur le dos en train de se branler.
Je me réveille tout à fait, ça me fait bander d'entrevoir ça.
J'écarte ma couverture, je défais mon jean, je sors ma bite et j'accompagne en pensée mon voisin.
Je tourne la tête vers lui, il me regarde et me sourit, le message passe, chacun attrape la bite de l'autre et c'est la branlette en commun. On fait quand même attention à ne pas faire trop de bruit, on n'est pas seuls dans ce gymnase.
Quand chacun a craché sa purée, on se roule dans nos couvertures et on se rendort.
Vers les cinq heures, je me réveille avec la gaule matinale, mon voisin m'a tellement excité cette nuit que je remettrai bien ça avant le réveil de tout le monde. Je prends sa main et je la pose sur mon zob.
Ah le salaud ! Il ne devait pas dormir non plus, car il empoigne ma bite à pleine main et me branle avec fureur. Inutile de préciser que je lui rends la pareille. On est bien là tous les deux, c'est tellement inattendu, on profite de nos sexes au maximum, excités aussi parce que les autres pourraient nous entendre ou même nous voir si quelqu'un se levait !
Vers les sept heures, ça va et ça vient dans le gymnase, les routiers se réveillent.
Je remarque avec amusement que, comme nous, des couples se sont formés pendant la nuit.
Le petit déj est servi et on met les douches à notre disposition.
Pendant le petit déj, j'ai fait plus amplement connaissance avec mon copain de la nuit : il est Espagnol, il s'appelle Manolo.
On va aux douches, tout le monde à poil là-dedans ! Manolo est nu devant moi, il a un cul comme j'adore : des fesses bien rondes, bien fermes, bien pommées, j'essaie de retenir mon érection tellement ça m'excite ! Pourvu qu'il ne se penche pas ! Sinon, il en prend plein son cul.
Parmi tous ces mecs à poil, il y a des queues qui se dressent. Je ne peux pas m'empêcher de mater. J'essaie de deviner les nationalités : cette grosse bite avec des grosses couilles à poils blonds, c'est surement un Allemand ! Celle là, blanche comme un cierge à poils roux, c'est surement un Anglais ! L'Italien se reconnaît à sa longue bite et couilles pendantes à poils bruns et soyeux. Ceux là, montés comme des taureaux aux poils noirs, sans doute des Portugais ou des Espagnols.
Mais moi, celui qui m'intéresse, c'est Manolo. Ce n'est pas un top model, mais il me plait, surtout son petit cul bombé.
Quand tout le monde est restauré, douché, lavé, on nous annonce que l'A7 ne sera rouverte qu'en fin d'après-midi. Grande consternation dans le gymnase !
Certains restent dans la salle, d'autres partent en excursion dans la commune, d'autres, comme Manolo et moi retournons aux camions pour faire tourner les moteurs et vérifier si tout est OK.
Nos camions ne sont pas trop éloignés l'un de l'autre. On se retrouve auprès du mien. C'est clair, on a une furieuse envie de baiser ensemble, on attendait que ce moment depuis ce matin.
On monte dans mon camion, on dispose des couvertures des meubles en matelas épais, Il fait froid là-dedans, mais on va vite se réchauffer. La porte du camion bien fermée, j'attire Manolo dans mes bras, nos lèvres se cherchent, s'unissent, je plonge ma langue dans sa bouche, nos langues s'enroulent, on se caresse le corps, on bande à défoncer nos jeans et un à un nos vêtements tombent par terre.
Bon Dieu ! Il fait froid ! On se glisse sous les couvertures et là, bien au chaud, on commence à se faire l'amour.
D'abord, on continue de se rouler des pelles fougueuses, corps contre corps, poitrine contre poitrine, sexe contre sexe, une vraie furie !
On change de position, on se fait un soixante-neuf ravageur, j'en ai plein la gueule de sa grosse bite mais c'est si bon, et lui, il me suce avec gourmandise comme un veau qui tête sa mère, ça va de plus en plus vite, de plus en plus fort. J'explose dans sa bouche pendant qu'il m'envoie plusieurs giclées de spermes chauds dans la gorge. C'est tellement bon que si je ne me retenais pas, j'avalerai tout mais par prudence et avec regret, je crache ce nectar. Manolo en a fait autant, mais on continue quand même de se lécher le gland qui ramollit.
On se pelotonne sous les couvertures, on a bien chaud malgré le froid dehors.
On récupère un peu et on remet le couvert. Cette fois, je me promets de prendre son petit cul adorable.
Nouvelle séance de pelles, caresses, branles. J'écarte ses fesses pommées, je glisse mon doigt dans sa raie poilue, les poils sont déjà humides, aussi je n'ai pas de difficulté pour introduire un doigt, puis deux dans son cul déjà ouvert.
Je bande à faire éclater ma bite, il faut que je le baise !
Je pose vite fait une capote, je me mets sur le dos, il s'empale direct sur ma queue, sans effort et vas y ! Il monte et descend avec une virtuosité merveilleuse, je bande de plus en plus fort, je lui pétris le sexe et les couilles en même temps, il bande dur aussi mon Manolo, j'ai une furieuse envie de prendre sa grosse bite dans le cul. Rien que d'y penser je gicle une sacré troussée de foutre qui le fait crier de plaisir.
A lui de me baiser maintenant !
IL déroule un préso sur sa grosse queue, attrape mes jambes, les passe par-dessus ses épaules, cherche mon trou prêt à l'accueillir, me pénètre d'un seul coup de reins, me lime comme une chienne tout en s'occupant de ma bite qui commence à avoir des faiblesses. Oh ! Elle ne reste pas longtemps faible ! Je me remets à bander dur, c'est un pro mon Manolo et quand il libère à son tour sa fournée de spermato, c'est le bonheur total.
On se réfugie à nouveau sous les couvertures et on a continué de se baiser l'un et l'autre je ne sais plus combien de fois, si bien qu'on a zappé le repas du midi.
C'est vers 17 heures que crevé, les yeux cernés, on a appris que l'A7 serait ouverte d'ici une heure.
Dommage ! Je serais bien resté plus longtemps !

A Bientôt Manolo ! Je n'ai qu'une envie c'est de te revoir !

Peut-être tu nous reconnaîtras si tu lis cette histoire.

zicom

sylvestig@orange.fr

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