Nuit chaude à Athènes.Il y a quelques années, j'étais allé faire un peu de tourisme à Athènes. Près de la place Omonia, l'un des centres de la vie nocturne de la capitale grecque, j'avais repéré un gigantesque cinéma porno : le Star. Sachant par expérience que les occasions sont nombreuses dans ce genre d'endroit et plutôt excité par ce type d'ambiance je ne tardai pas à aller y faire un tour. L'entrée se présentait comme le grand hall d'un de nos antiques palaces du cinéma avec accès à la salle et aux différents balcons. J'entre dans la salle, un seul film bien sûr, hétéro et de mauvaise qualité mais le plus intéressant, je m'y attendais, n'est pas sur l'écran. Après m'être accoutumé à l'obscurité, je vois de nombreux mecs assis sur les différentes rangées, certains se branlent ostensiblement, d'autres se caressent seulement dans leurs frocs. J'avise un jeune mec plutôt bien pourvu et je m'assois à côté. Mais dès que je tends la main vers son chibre, il me fait un geste sans équivoque me signifiant qu'il est d'accord contre paiement. Bon j'ai 38 ans d'accord, mais je suis plutôt bien foutu et je me relève en pensant pouvoir trouver mon bonheur gratis. La suite me montra que j'avais raison. Je quitte donc le premier niveau et je monte vers les balcons. Surprise, la plupart des sièges ont été enlevés ; je sens des corps autour de moi, plus ou moins appuyés contre les murs. Je m'approche, je suis le seul blond dans cette assemblée de mecs bruns de poils et de peau : ça m'excite à fond. Je tends la main vers le paquet du mec adossé au mur juste à côté de moi. Aussitôt, le mec me saisis la nuque pour me coller la gueule sur sa queue à travers le froc. Je sens son chibre dur et épais, je me frotte le visage dessus, je mordille cette pine à travers le tissu et puis n'y tenant plus je déballe ce cadeau et je commence à le pomper. Visiblement le mec prend son pied, il gémit un peu, me dit des trucs en grec que je comprends comme des encouragements. Je me passe son gland sur le visage, étale sa mouille sur mes joues, me claque la gueule avec son braquemart. D'autres mecs se sont approchés et je vois des queues qui sortent autour de nous. Tous près, un beau petit mec, brun évidemment, se tâte la queue sans la sortir. Tout en suçant, je choppe le paquet du petit mec, qui sort aussitôt sa pine et me l'approche du visage. Un gland puis l'autre, parfois les deux, je joue avec ces deux beaux morceaux qui me liment la gueule avec énergie. Déjà d'autres mains caressent mon cul, dégrafent mon fut', le laissent tomber sur mes chaussures et se frottent la queue sur mes fesses. Les mots fusent de leurs bouches, en grec, je ne comprends rien, sauf que je vais me faire baiser. Je tends une capote au hasard. Quelqu'un la choppe, l'enfile. Je n'ai que le temps de m'enduire de gel et je me prends une bonne queue dans le cul. Je suce tant que je peux mes deux premiers mecs tandis que mon baiseur me pilonne à grands coups de chibre en m'insultant sans doute. Je sens ses couilles poilues me claquer le cul, je bande comme un âne. Soudain, la queue de mon premier mec se contracte dans ma bouche, je sens sa pine palpiter sous mes doigts plusieurs fois et un goût musqué envahi ma gorge. J'adore... j'avale avec délectation la liqueur mâle tandis qu'il gémis encore et tente de me retirer son gland de la bouche. Mon baiseur ne tarde pas à jouir à son tour dans mon cul et c'est mon jeune brun qui prend sa place. Il me saisis énergiquement par les hanches, son chibre est plus épais et l'homme est souple du bassin, il va et vient, ondule, pilonne, pistonne, me défonce le cul en me murmurant à l'oreille des mots que je ne comprends pas. Il passe même à l'anglais pour me demander si j'aime sa grosse queue "You like my big cock in your ass ?" D'autres mecs se branlent autour de nous, des mains touchent mon corps, tentent de s'insinuer entre mes fesses et le ventre poilu de mon berger grec, de toucher sa pine épaisse qui me baise, branlent ma queue. Je sens mon brun proche de la jouissance. "On my face" je lui dis. Il comprend, sort sa pine, enlève vite fait la capote et dès que je suis en position accroupie devant lui, il m'envoie plusieurs jets bien drus de foutre chaud sur la gueule. Au comble de l'excitation, je largue à mon tour en arrosant le sol et les pieds des mecs autour. Je suis en sueur, moite, plein d'odeurs de mâles et de traces de sperme quand je quitte le Star, bien décidé à y revenir vite. william Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |