Odeurs de mâle.Un jour sur minitel, je trouve un mec qui cherchait la même chose que moi. Un mec poilu sensuel buccal et branché par les odeurs et les parfums d'homme. Pas ces odeurs crades comme certains aiment, mais cette douce odeur de mâle, chaude sensuelle, mêlée à un parfum léger comme quand on sent un mec chaud dans le métro, chemise ouverte sur un torse finement poilu et qui sent un peu le mec fatigué après une journée de labeur. Bref ce Jean-Michel avait 38 ans, assez grand poilu sportif bm et très tactile. Je lui proposais d'arriver le matin tôt pas lavé et pas rasé, pour que nous finissions la nuit ensemble . j'adorais me réveiller avec un mec chaud à mes côtés. Il vint en moto sonna à 6 heures du matin et je lui ouvris. Je laissais la porte entrouverte et me recouchais, il se glissa dans la peine ombre, et je l'entendis se dessaper. il me rejoignit sous la couette et je découvris son corps un peu froid tout contre le mien. Très vite il se rechauffa à mon contact. mm qu'il sentait bon. Un doux parfum de cuir restait de son blouson sur son cou. Sa barbe de 2 jours était juste assez poussée pour être douce. Son visage était fin mais ses lèvres assez charnues. Il était très brun. Son torse était poilu assez épais et ses tétons tout durs. Sa queue à son arrivée était petite et froide, mais rapidement je la sentis grossir sur mon ventre. ses fesses rondes et musclées étaient assez poilues et sa raie l'était aussi. mm quel délice de se calfeutrer contre ce mec si sensuel. Ses mains étaient grandes larges et musclées finement poilues sur le dessus. Je sentais qu'il était très agile avec ses doigts et ses paumes. Il était orthopédiste et avait l'habitude de toucher ses patients. Ma queue était grosse lourde et très chaude. Nos corps se mêlaient et commençaient à être très chauds. Un filet de sueur glissait entre nos poils et je sentais qu'il avait envie comme moi de me lécher sur tout le corps sans aucune pudeur. Sa bouche prit la mienne goulûment avec sa langue. Et chercha la mienne et il me couvrit de son corps sa queue glissa entre mes jambes et je sentis ce gros pieu fourrager dans mes poils. mm quelle extase son odeur m'emplissait les narines et je glissais mon nez et ma bouche sous son aisselle brûlante. une forte odeur de sueur m'envahit et le goût de sa peau m'enivra profondément. Lui fit de même sous mon aisselle gauche et lécha virilement ma sueur. Il descendit sur mon téton et le mordit doucement. Son souffle chaud exprimait tout son plaisir olfactif : mm cette bouche charnue promettait de bons moments buccaux. Il glissa sa tête sous la couette et s'arrêta longtemps sur mon ventre pour sentir toutes nos odeurs mélangées qui montaient dans son nez. Je le sentais respirer à plein nez cette odeur de poils et de corps chauds. Ma queue était toute proche de sa bouche brûlante et odorante. Il la respirait et s'approcha lentement. Il passa ses lèvres sur mon prépuce et glissa sur toute sa longueur. Il fit de même sur mes couilles gonflées et poilues et s'arrêta au creux de mes jambes à deux doigts de mon trou. ses doigts descendirent sur mes jambes et atteignirent mes pieds il les malaxa et remonta à rebrousse poils mes poils tout lisses vibraient au contact de ses doigts sa bouche rejoignit ses doigts et ils écartèrent mes jambes pour mieux plonger au plus profond de mon cul. Sa tête toute entière était entre mes jambes et je sentais un souffle chaud dans mes poils du cul. D'un coup, il remonta à la surface comme pour reprendre sa respiration et m'embrassa goulûment : mm ton cul tes poils, j'aime ça ton odeur et ton goût. j'étais aux anges car j'adorais ça moi aussi. Il était aussi brun que moi blond et j'aimais beaucoup les peaux de brun. Elles émanent plus de goûts et d'odeurs fortes que nos peaux claires. Son corps me couvrait brûlant maintenant je le fis basculer sous moi et plongeais sous la couette à mon tour. Je passais un long moment à caresser son torse velu et à mordiller ses tétons perdus dans ses poils, il grognait de plaisir. son torse sentait le mâle et un peu la fumée de cigarette. Mon gaillard ne s'était pas lavé depuis la veille en prévision de notre rencontre. La ligne de poils sur son ventre me donnait la direction de son nombril où trônait son gland tout gonflé. J'humais ce pieu viril et n'attendis pas pour le lécher tendrement, mes doigts enserrèrent son prépuce et je le fis décalotter. mm quel goût fort ce dard. Sa petite fente m'offrit une goutte perlée et tout son gland m'enivra. Je l'engloutis dans ma bouche. Je l'entendais soupirer de contentement et moi je jouissais d'avoir ce gros manche au fond de ma gorge. Je caressais son entre cuisse et mon nez palpitait de cette odeur de fauve. ; Mes mains descendirent lentement sur ses jambes pour masser ses muscles. La moto a donné de belles jambes arquées. Je gardais son pieu dans la bouche sagement et mes doigts griffaient un peu ses mollets poilus. Comme je l'avais appris lors d'un autre plan cul, je caressais la plante de ses pieds et le fis frissonner. Je lâchais son pieu et glissais ma langue sur ses belles couilles rases. ; L'intérieur de son cul était propre, mais sentait le mal. Avec ma langue, je me fis un passage dans ses poils pour trouver son trou. Il était serre et très bon. Je le mouillais avec de petits coups de langue. Et il écarta les jambes pour offrir une place de choix au creux de ses fesses. mm je fis basculer ses jambes derrière mes épaules et lui dévorais le cul goulûment. Il adorait ça et se cambrait pour me donner tout son cul. J'avais un peu chaud sous la couette, mais j'aimais cette ambiance de sueur et de chaleur. il se branlait pendant que je lui bouffais la rondelle. Et celle-ci vibrait en cadence. ; Je ralentis mes coups de langue car il allait jouir. Et le fis se reposer sur le matelas. Je descendis avec ma bouche pour gober ses doigts de pied un par un. mm quel goût fort aussi. Je les mouillais en les suçotant et il aimait ça. Il me prit les épaules et me fit me coucher sur lui. mm quelle braise ce corps brun. Je l'embrassais tendrement au plus profond de sa bouche pour lui faire partager toutes mes découvertes gustatives. Il était en sueur et son odeur s'exacerbait. Il me dit que c'était exactement ce qu'il attendait de notre rencontre, car il ne trouvait pas souvent des hommes aimant les plaisirs buccaux et olfactifs aussi pousses. ; Nous roulâmes dans le lit en nous empoignant par les jambes et les torses. mm s'exciter les muscles pour mieux se détendre à deux. ; nous fîmes voler la couette et il glissa rapidement sur mon ventre pour dévorer ma bite. Il plongea dans mon cul pour me dévorer le trou. Il donna de grands coups de langue sur ma rondelle un peu moins serrée que la sienne. mm il gémissait de plaisir au fond de mon cul. Sa langue allait de plus en plus profond de moi et je sentis qu'il glissait deux doigts de sa main large pour écarter mon trou afin de passer la langue. Quel plaisir. Moi, je fourrageais dans son petit trou qui s'ouvrait peu à peu au plaisir. Des gouttes de sueurs venant de son dos me glissaient sur le visage. Je me délectais de son cul pour toutes les fois ou j'étais frustré dans les vestiaires de sports de ne pas pouvoir bouffer les culs de ces messieurs qui pavanaient à poils autour de moi avec leurs odeurs fortes de mâles fourbus après le sport. Je cherchais à le faire basculer pour attraper sa bite. D'un coup elle fut au fond de ma gorge. Ses couilles caressaient mon menton et ma salive faisait glisser son pieu très facilement. Je pompais sa tige allègrement et lui en fit da même. Il garda ses doigts en moi et je glissais l'un des miens dans son pti trou. Je sentais ce cul frémir et moi ma sève monter lentement du fond de mes couilles. Je lui dis en gardant sa queue dans la bouche que j'allais jouir, et a peine avais-je dit ça qu'il lâcha toute sa semence dans ma gorge je me lachais a mon tour. Son jet était longs épais et violents. Et ses veines se contractaient beaucoup. Moi ma sève empli sa bouche et il me serra les couilles pour me vider complètement. ;J'étais épuisé de tant de violence et il s'ecroula sur moi en me léchant le cul. mon trou se contractait encore de plaisir et le sien aussi . il se retourna et se colla à moi pour m'enlacer de son corps velu. Il était trempé et moi aussi. J'aimais vraiment ce mâle. Il glissa sur le côté et me lécha le torse. Je mis mes mains derrière ma nuque et me détendis. mm sa langue happait toute ma sueur et mes tétons frémissaient de plaisir. Une terrible envie de pisser me prit et je me redressais pour aller au chiotte. Il alluma une cigarette. Je partis nu et écartais les pattes devant le trône : J'étais bloqué et la pisse ne venait pas, Jean-Michel me rejoignit se plaça derrière moi et me caressa le dos, il prit ma bite dans ses doigts et se mit accroupi derrière moi pour lécher mon trou. Il me dit que sa langue allait me lâcher, en effet son souffle chaud et sa langue faisaient vibrer mon anus et je commençais à pisser. J'adorais la sensation anale pendant que je pissais. ;Mon trou vibrait et mon jet giclait en saccades. Sur la fin, il me fit me retourner et prit ma bite dans bouche. Les dernières gouttes finirent dans sa gorge, et je découvris une nouvelle extase. Il semblait bien aimer, lui aussi. Il me dit qu'il voulait me laver sous la douche et nous partîmes à la salle de bain. Il me fit asseoir dans le bac et il se mit à cheval debout au-dessus de mon dos, j'avais un peu froid. Et d'un coup, je sentis une chaude sensation glisser sur mon dos et tomber au creux de mes fesses. Il me pissait dessus. Je me tournais pour moi aussi goûter à son liquide chaud. Son gland tout gonfle giclait sur mes lèvres et je pris sa bite dans la bouche. Il donna de petits coups pour que le jet se perde dans ma bouche. Un goût âcre et puissant envahi ma gorge. Je ne trouvais pas ça très bon, mais je sentais qu'il aimait ça. Puis il fit fonctionner la douche pour nous arroser d'eau chaude. toute la saveur de nos ébats partit en fumée dans la buée de la salle de bain. Le savon glissait partout et il m'embrassait goulûment. Je me mis à genoux pour le pomper encore et son dard regonfla dans ma gorge. Le salop, il avait des ressources cachées, et il jouit une deuxième fois dans ma bouche. Nous nous revîmes quelques fois au petit matin en allant toujours plus loin dans nos plaisirs bucaux. Nous nous sommes perdus de vue, car médecin en banlieue nord, il ne pouvait pas me retrouver aussi souvent que je l'eusse désiré. Nous nous étions promis de bons moments de pénétrations, mais nous n'avons pas achevé nos extases charnelles. Je le contacterai un jour pour continuer nos ébats. colin Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |