Mon parrain et son abriJe m'appelle Julien, et cette année j'ai eu 18 ans. Enfin la majorité!!!!!!!!! Et il y a quelques jours, j'ai appris que je venais d'obtenir le bac ! C'est génial, les vacances commencent plutôt bien !!! Je pouvais dès a présent partir en vacances chez mon parrain. J'avais conclu un accord lui, que je l'aiderai à la maison, et dans la maison dont il a hérité (pour celle-là, on y reviendra plus tard...) Donc, comme je n'avais pas à préparer le rattrapage du bac, il fallait que je commence à bosser un petit peu. D'abord j'ai commencé par tondre la pelouse, ce qui ne m'a pas vraiment passionné, je dois l'admettre ! Ensuite, il fallait que je repeigne le muret de la cour et de la terrasse, mais comme mon parrain n'avait pas acheté de peinture, cela m'était impossible ! Et puis, mon parrain m'avait dit qu'il aurait besoin d'aide pour finir son abri de jardin. A vrai dire, il avait commencé la construction depuis le mois de Janvier, mais comme il travaille, les travaux n'avançaient qu'à petit pas. Et moi je préparais le bac, donc je ne pouvais pas aider. Donc, comme j'étais définitivement en vacances, je proposai mon aide, car je savais qu'il fallait peindre l'intérieur de l'abri. Il faut dire que mon parrain avait fait du bon boulot : c'était un bel abri "en dur", assez grand et assez haut, dans lequel on pouvait mettre pas mal de matos. Mais il restait encore à peindre l'intérieur, faire le crépi à l'extérieur, et à faire le ciment pour le sol. Et comme je l'ai dit, mon taf, c'était de repeindre l'intérieur en blanc. La chaleur commençait à monter. Du coup, mon parrain décida d'enlever son tee-shirt, ce qui était dommage, car ce tee-shirt assez serré laissait apparaître des biceps. Il était désormais torse nu. C'est un mec de 56 ans, environ 1m70, 70kg, un peu dégarni, assez poilu sur le ventre le torse. Il est assez mince et assez musclé, surtout les bras, les cuisses et les fesses. Je l'avais déjà vu à poil et je dois dire qu'il avait des très belles fesses, musclées et assez rebondies, qui donnaient envie de passer ses mains ou sa langue dessus. De toute façon, ça faisait un bout de temps qu'il m'excitait. Ce jour là je profitais de le regarder un petit peu dans l'effort. Et puis au bout d'environ trois quart d'heure, il me dit qu'on ne pourrait pas sortir de l'abri avant une demi-heure, voire plus. Je me suis dit que c'était pas si grave, même si ça fait chier quand même (!). Du coup il s'était assis sur une caisse, et il avait allumé une cigarette. Alors j'ai pensé qu'il était injuste que lui se repose et que moi je bosse. Je suis descendu de mon escabeau, et je me suis assis sur une caisse près de lui. Je ne savais pas quoi dire. Il faut savoir que tout les deux, ce n'était pas la grande amitié. On n'avait jamais parlé de sexe. La dernière fois qu'on avait eu une discussion sérieuse, c'était quand j'avais failli redoubler ma classe de seconde : bien loin de la sexualité!!! Du coup, je me suis dit qu'il fallait que je tente le tout pour le tout et que je lui parle. Mais je ne savais pas comment aborder une conversation. Du coup, j'ai sorti la phrase la plus conne possible : Pris d'un coup de folie, et surtout d'une putain d'envie de sexe, ma main droite a lâché ma queue, et est allé se poser sur la main droite de mon parrain qui était en train de branler sa queue. Il lâcha sa bite et me laissa faire. Il fermait les yeux, et laissait tomber sa tête en arrière, ce qui me montrait qu'il adorait ce que je lui faisais. Il me regarda dans les yeux en me disant de continuer. Je me suis approché de sa bouche qui sentait le tabac, et je lui ai roulé une grosse pelle. Comme il aimait ce que je faisais avec ma main, j'me suis dit qu'il aimerait que je lui fasse la même chose avec la bouche. J'me suis mis à genoux devant sa teub bien bandée, et je l'ai gobée goulûment. De temps en temps, je m'arrêtais sur son gland et je le titillais avec ma langue. Puis je gobais à nouveau son chibre jusqu'aux couilles. De temps à autre, je suçais ses couilles poilues, qui visiblement, n'avaient pas été vidées depuis un bout de temps. Puis je sentis des contractions arriver. Soudain je me pris une putain de giclée dans la bouche. J'en ai gardé un peu dans la bouche, et je me suis retiré pour m'en prendre sur la gueule. C'était chaud, c'était bon, légèrement salé. Je me suis relevé, et je lui ai roulé à nouveau un gros patin avec son sperme. Je voyais bien que ça le dégoûtait un peu, mais il était tellement excité que ça ne le dérangeait pas.....!!! Tout en me roulant sa langue dans la bouche, il me caressait les fesses avec ses grosses mains velues et musclées. I avait envie de me prendre. J'ai plaqué mes mains contre le mur et je lui ai tendu mon trou du cul. Il passa une main sur ma raie, puis me malaxa légèrement avant de me présenter sa teub bien tendue sur l'anus. Ca me faisait un effet génial. Je bandais de plus en plus, et lui aussi malgré ce qu'il m'avait déversé sur la tronche. D'un coup, il me pénétra violemment. Ca me faisait un mal de chien tellement il y était allé vite et dur. Et puis il commença ses coups de butoirs contre mon cul. La douleur laissa place au plaisir. Au bout de quelques minutes d'une sodo intense, je sentis un liquide chaud se déversé dans mes entrailles. Fatigué mon amant s'assit immédiatement sur une caisse derrière lui. Et moi je n'avais toujours pas jouit. Je me suis mit debout en face de lui, et je lui ai dit de me branler. Il a prit ma queue dans sa main musclée. Rien que la vision de sa main branlant ma bite, ça me fit un effet bouf!!!! Au bout de vingt seconde, un putain de jet sortit de ma queue et termina sa course dans les poils du torse de mon parrain. Je me suis assis à coté de lui et lui ai dit que c'était génial. Il ne m'a pas répondu. Quelques minutes plus tard, on est sorti de l'abri de jardin. Il s'est pris une petite douche pour se laver de mon foutre, et j'ai pris sa place dès qu'il est sorti. La nuit suivante je n'ai pas eu de mal à m'endormir, même si j'avais un peu peur qu'il ne répète notre histoire à quelqu'un. Le lendemain, je me suis réveillé, frais et dispo... j'avais beaucoup transpiré... Et là, je suis revenu à la réalité... : tout ce que je venais de vivre n'était qu'un rêve, un simple rêve...! Putain, faut que jme vide!!! Du coup, une bonne branlette a suffit à me faire oublier ce rêve, même si j'espère toujours qu'il deviendra réalité!! juju02 juju_02200@hotmail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |