PascalAujourd'hui je dois aller au médecin. J'ai juste une petite connerie. Une sorte de douleur due à un mauvais mouvement lors d'un développé couché. Je suis donc dans la salle d'attente et j'attends. Avant moi il y a deux personnes qui doivent passer. Une dame d'un âge certain et un jeune mec d'allure un peu timide. La dame se lève t entre dans le cabinet du médecin. Juste avant que la porte ne se ferme sur elle, elle lâche un pet monstrueux qui reste dans la salle d'attente et s'imprègne dans les rideaux. Le jeune mec me regarde et se met à rigoler. je ne peux pas m'empêcher de sourire. Le mec se lève et brasse l'air pour échapper à l'odeur pestilentiel qui essaye même d'entrer dans nos poumons. Il me dit La consultation de la vieille dame est terminée. La porte s'ouvre et le jeune mec entre. J'espère que la dame à pas péter comme ça dans le cabinet du doc, sinon ça va être dur dur. Je l'entends qui se marre mais 'arrive pas à comprendre ce qu'il dit. 10 minutes après la porte s'ouvre et le doc me fait signe d'entrer. Il me demande ce que j'ai et je lui explique. Il ;me demande de me mettre torse nu et de m'allonger sur la table de consultation. Je m'exécute. Il trie des papiers tout en me tournant le dos et quand il se retourne pour me regarder, il a un moment d'arrêt. Vous pratiquez la musculation ? Il s'approche et me tâte les pecs, il descend sur mes abdos et frôle mon sexe déjà tendu. Je remets mon paquet dans mon jogg et on sort de l'immeuble. Je marche devant, il me suit. J'entre dans un sex shop^. Il entre. On paie et on descend. On arrive vers les cabines, j'entre, je me fous a poil, laissant la porte ouvert. Il me regarde. je me vide dans sa gorge, il a des haut les coeurs, mais ne sort pas ma pine de sa bouche goulue. Je me vide en lui. Il masse mes couilles, il ne veut pas perdre une goutte de ma sauce de burnes. La porte est toujours ouverte et des gars sont là entrain de se branler comme des fous en me regardant. ;Et tout à coup, on entend un bruit qui semble venir du fond d'un gouffre ténébreux. Et une odeur de souffre et d'oeufs pourris envahi le sous sol du sex shop. On voit apparaitre la vieille dame de toute à l'heure dans une brume verdâtre. Elle à péter la salope ! Aux abris !!! Et on sort tous du sex shop à moitié nus en se bouchant le nez. Les passants me voyant torse nu se précipitent sur moi pour me caresser, ils sont environ dix mecs à me lécher les pecs et le cul en plein milieu de la rue. Je me laisse faire, j'aime sentir des mains d'homme sur ma peau, je roule des mécaniques pour les exciter davantage, je sens mes muscle s puissants qui roulent sous ma peau, j'aime exciter les mecs. Je suis debout et des mains et des langues me fouillent le corps, je suis enduit de bave. Je sens que je vais jouir encore. Je me tends comme une salope prête à cracher mon foutre abondant. La porte du sex shop s'ouvre et voila mamy prout qui s'encadre dans la porte. Tout le monde s'enfuit. On entre dans le métro et j'encule un monsieur sur le quai. Un autre se suce lui même sa propre que. Deux ;types se roulent des pelles tout en e branlant furieusement. Je jouis, ma sève saute jusque sur une affiche et elle coule document tandis qu'un mec se précipite pour lécher l'affiche. Il couine comme une salope. Il a un gros concombre enfoncé dans le fion. Le garçons musclé comme moi me nettoie le gland avec sa langue tout en se pinçant le tétons droit. Il jouit sur mes basquettes. Et revoilà la vieille péteuse qui déboule sur le quai en chantant: "ca ira mieux demain! " C'est alors que... je me réveille dans la salle d'attente du docteur, je m'étais assoupi. Mon jogg est souillé par un liquide visqueux, j'ai jouis en dormant et j'en ai plein les jambes. Le docteur ouvre la porte et dit PascalRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |