PATRICEPatrice, Patrice, Patrice. Cela fait longtemps que j'en entends parler de celui-là. L'ex d'Arnaud, mon copain depuis 18 mois. J'ai tout entendu sur ce garçon, j'ai sait tout ce qu'il y a à savoir, en tout cas du point de vue d'Arnaud. J'ai vu ses photos, habillées et un peu moins habillées ! Je connais la taille de sa queue, ses habitudes, ses chansons préférées, la beauté de ses yeux azur, la finesse de ses mains. Alors, le jour ou par hasard il a eu mon numéro de portable et moi le sien, on a commencé à s'envoyer des textos, de plus en plus chauds. Jeu très agréable qui m'a amené à en vouloir davantage. Et puis j'ai craqué, j'ai décidé qu'il fallait que l'on se rencontre. Au départ je ne souhaitais qu'une rencontre amicale, autour d'un verre pour parler d'Arnaud, notre point commun. Mais lui, cela ne l'a pas branché, c'était en dessous de la ceinture sinon rien ! Je lui ai proposé une petite marche à pied jusqu'à la maison, histoire de faire connaissance. Nous avons commencé à discuter timidement puis de plus en plus normalement. A mis chemin de la Rue de Clichy, il a passé sa main tendrement sur ma nuque. C'est un ange. Tout m'a plu immédiatement chez lui, sa voix, très légèrement efféminée, sa grâce, ses mains, ses yeux, ses cheveux châtains clair savamment structurés par du gel coiffant. Arrivée à la maison, il m'a paru très à l'aise. J'ai retiré mon costume pour me mettre en jean et en tee-shirt, prétextant que je ne trouvais pas ma tenue professionnelle très sexy ! Il m'a accompagné dans la chambre pour me regarder faire. Puis nous nous sommes assis sur le canapé. Caresses et tendres baisés. Plaisir du flirt originel, de la première fois, je me retrouve jeune adolescent. Je vois déjà qu'il est très sensuel et câlin, tout ce que j'aime chez un garçon. Je joue avec ses petites mains, je les lui serre entre les miennes. Je ressens en mélange d'exaltation et de retenue devant l'étranger qu'il est encore pour moi. On ne se connaît physiquement que depuis une demi heure même si j'ai l'impression de le connaître depuis toujours. Sentiment étrange. Finalement il me prend par la main et m'emmène jusque sur le lit. Là va commencer le moment le plus sensuel et le plus câlin qu'il m'est été données de vivre à ce jour. Tantôt je me laisse faire, tantôt c'est lui. Nous procédons à un effeuillage mutuel et très lent. Il a de nombreuses épaisseurs : gilet à fermeture éclair, chemises et tee-shirt. Je caresse son ventre et son torse, je découvre son piercing au téton gauche, très mignon, il est peu poilu. Il a la peau d'une douceur incomparable. Ses vêtements sentent bon la lessive, sa peau l'eau de toilette, si envoûtante. Nos étreintes sont de plus en plus torrides, je prends un plaisir infini où la sensualité et l'incommensurable tendresse de nos caresses sont une merveille pour moi. Il se met à quatre pattes, je commence à lui bouffer le cul, il n'a pas de poil à ce niveau, c'est très agréable... Il mouille du cul comme ce n'est pas permis, c'est très agréable. Je passe ma main entre ses cuisses pour lui tripoter les couilles et le branler légèrement, il bande dure. J'en peux plus, il faut que la lui mette, c'est une question de vie ou de mort. Je me redresse, me rapproche de lui, toujours en levrette. Je prends ma queue et positionne le gland au niveau de sa rondelle humide de salive et d'excitation. Je me frotte aux plis de son anus, j'en peux plus. Je pousse alors ma bitte d'un seul coup dans son cul, elle glisse sans peine, c'est chaud humide, serré. Il gémit de plaisir. Je commence alors à le limer, d'abord doucement, puis de plus en plus vite en augmentant l'amplitude de mes mouvements. Mes couilles viennent taper contre les siennes. Je le ramone furieusement. Mes mains se balade sur ses hanches. De temps en temps j'attrape sa queue pour le branler, elle est dure et chaude dans ma main, son gland est tout humide d'excitation. Je crache dans ma main, et lui mouille davantage le gland. Mes doigts glissent sur son membre de bas en haut. Je décide alors de changer de position, pour pouvoir être face à face et l'embrasser. Je sors ma queue humide de son fondement. Il se met sur le dos, je lève ses jambes et je le pénètre aussitôt dans cette nouvelle position. Je peux l'embrasser maintenant, ma langue joue avec la sienne alors même que ma queue va et vient dans son petit cul étroit. Je continue de le branler. Je suis au bord de l'explosion, lui aussi. Je me contracte pour éviter de jouir trop tôt, je veux l'attendre ce sera encore plus fort.
Je me blottis contre lui, nous nous embrassons, il continue de me caresser avec tendresse. Je retourne petit à petit à la réalité. Je n'ai jamais pris autant de plaisir avec un partenaire masculin ou féminin. Il est l'amant parfait. Rabbit17Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |