Cyrillo

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Mes patrons

Je travaille dans cette agence depuis peu. Tout le monde est sympa. J'ai 29 ans, grassouillet, sympa, gentil et serviable mais surtout impressionné. Mes collègues sont cool et m'aident beaucoup. Mes deux chefs sont plus bourrus. Deux grosses bêtes impressionnantes. Ils ont monté cette boite il y a 5 ans et ça marche bien. Il y a beaucoup de boulot. Ils sont très exigeants mais compréhensifs. Le premier, Mr G, 49 ans, costaud barbu est imposant. Il est élégant dans ces costumes gris. Le deuxième, Mr T 51 a un abord plus sympathique avec sa moustache et son allure d'ours. Il est habillé décontracté et m'encourage souvent.

Un jour j'ai fait une grosse erreur. J'étais perdu, j'avais peur. C'était évidement un vendredi soir comme toutes les fautes. Une collègue a du resté avec moi et mes patrons pour réparer ma bêtise. Assez vite, mes patrons ont autorisé la jeune femme à rentrer chez elle. Ils m'ont gardé avec eux. Dans la grande salle vide, on a bossé jusqu'à très tard. Je n'osai rien dire même si j'étais fatigué, ils semblaient agacé par ma stupide gaffe. La maladresse réparée on a soufflé de satisfaction. J'étais soulagé mais mes patrons semblaient fâchés. Mr G s'est affalé sur une chaise épuisé. Mr T s'est assis sur la table et moi je suis resté debout sans rien dire ni même oser demander si je pouvais rentrer chez moi. Mr T a brisé se silence en disant :

- Tu sais Fred, c'est une grosse bêtise. A la prochaine c'est la porte ! Tu le comprends !
- Oui, je suis désolé...
- Y a peut-être un moyen d'oublier tout ça !
- Ah ! ?
- Oui, tu vas sucer mon pote !
- Quoi ?
- T'as bien entendu. Allez pompe-le ! Mets-toi a genoux et taille lui une pipe ! Si non c'est la porte immédiatement !

Je ne savais pas quoi faire. J'aurai pu partir mais je me suis agenouillé devant Mr G qui s'est laissé faire. J'ai déboutonné son pantalon, retiré sa ceinture avant de baissé son fut sur ses chevilles. Il avait un slip vert bien moulant. Je devinais un beau paquet. Ses cuisses épaisses et ses jambes imposantes étaient poilues. J'ai embrassé son slip avant de sortir sa belle queue prisonnière de sous-vêtement. Et quelle bite énorme, bien épaisse et imposante. Ses couilles pendaient sous ce chibre attirant. Je l'ai sucé sans comprendre. Sa bite a gonflée dans ma bouche. J'avais du mal à respirer car elle prenait toute la place. Mr T était toujours derrière moi à me dire :

- Allez suce le bien. Si non t'es viré ! Bien, t'es un professionnel de la bite toi ? Je le savais !
Pendant que je suçais ce zob volumineux qui me remplissait la bouche. Mr G a retiré sa veste et sa chemise. J'ai pu voir son corps carré et velu. J'ai très vite caressé son torse et balayé ses poils de ma main. Je bandais bien sur et je commençais à avoir mal. Mr T s'est déshabillé aussi et m'a présenté sa bite un instant pour que je le suce.

- T'a vu, il suce bien le nouveau ! Je le savais ! Aller re-suce mon pote pendant que je m'occupe de ton cul.

Effectivement il m'a fait mettre à quatre pattes et m'a retiré mon jean et mon boxer. Il a aussitôt commencé à me lécher le cul et à m'enfoncer un doigt dans le fion. Un deuxième est arrivé puis un troisième. Et sa bite s'est présentée sans ménagement. J'ai eu très mal quand il m'a enculé mais une fois la douleur passée, il m'a baisé et le plaisir est venu. Il sortait et rentrait sa bite de mon trou sans cesse. Il me disait souvent :

- Allez suce mon pote pendant que t'encule !
J'avais du mal à suivre... Cette grosse bite m'étouffait et cette queue épaisse me défonçait le cul. En plus j'avais mal aux genoux. Enfin, Mr T m'a jouit sur le dos juste avant Mr G qui m'a éjaculé sur la joue. J'ai pu enfin m'affalé par terre épuisé. Je bandai mais j'étais fatigué. Je ne me suis presque pas aperçut que mes patrons sont venus sur moi pour me pomper à deux. Ils étaient accroupis sur mon manche, presque à se " battre " pour me sucer. Je ne me suis même pas rendu compte que je jouissais tellement j'étais épuisé. Et pourtant j'ai éjaculé car Mr T a dit :
- Putain ! Quel jus. Il a aimé le p'tit...
- Bon, allez faut partir maintenant ! Demain y a du boulot ! Fait gaffe de ne pas refaire d'erreur si non tu sais ce qui t'attend ? Et puis même si y a pas d'erreur...
Si tu bosses bien aussi, on te félicitera, en plus d'une augmentation ! Déjà ce soir, on a décidé de te garder ! Allez file prendre ton train...
J'ai eu mon train de justesse ! Je me suis couché de suite sans dîner, avec un mal de cul et une douleur à la mâchoire. Le lendemain j'étais sur les rotules ! Mais j'ai bien travaillé.

Fredo

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