Cyrillo

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PAYSAN

Je marche sur ce chemin. C'est l'été, il fait chaud.
Cette campagne commence à me faire chier. Je m'emmerde sec. Ca fait une semaine que je n'ai pas touché un mec.
Je me branle trois fois par jour, mais c'est pas pareil.

Je suis torse nu sous le soleil, je transpire. Dans le champ, un peu plus loin, il y a un tracteur qui avance en faisant je ne sais pas quoi .

La campagne , c'est vraiment pas mon truc. J'arrive à la hauteur du tracteur. Le paysan assis sur son siège me salue d'un signe de la main. C'est un mec dans la cinquantaine. Pas rasé, débardeur crasseux. Je marche un peu. J'entends le tracteur qui tourne au bout du champ. Je l'entends qui arrive derrière moi. Je ne me retourne pas. Le paysan me dépasse. Il fait environ cent mètres et s'arrête vers un bosquet. Le paysan descend de sa machine. Il farfouille dans un sac et sort je ne sais quoi. Il va le poser sous un arbre et revient chercher un autre truc. Ah la vie mystérieuse des paysans !!! ... Je soupir. Il s'est assis sous l'arbre et il boit du gros rouge qui tache à même la bouteille.

J'avance, j'arrive à sa hauteur. Lui sous l'arbre, moi sur le chemin pierreux. Il m'appelle.

Tu veux pas boire un coup ?

j'hésite, mais il est sympa, je m'approche de l'arbre.

Merci, c'est sympa.

Je bois, c'est tiède, c'est dégueux, mais bon je ne vais pas faire ma chochotte on n'est pas au Coste. Il reprend sa bouteille et bois à nouveau plusieurs gorgées. Il pose le récipent par terre.

Tu veux manger un morceau mon gars ?

Je n'ai pas très faim, mais il est sympa, j'accepte. Je m'assois a côté de lui, je m'adosse contre l'arbre. Mon épaule touche la sienne. Il me tend un bout de pain et du fromage. Je mange. C'est meilleur que son vin.

T'es pas d'ici toi ?

Non, je suis de Paris

ah bon.. je me disais aussi,... par ici y a pas de gars aussi musclé que toi .

Ah bon ?

non, par ici on fait pas de sport ; a part le foot quand on est jeune, tu sais.

Et il rit.
Je ris aussi parce que je ne sais pas quoi faire d'autre.

Il me parle de son champ, il boit, il me parle de sa femme qui est morte voilà cinq ans. Il re re re boit. Je bois un coup pour lui faire plaisir.

Il se met à pleurnicher que la vie est dur, qu'il est vieux, qu'il n'a pas de vie sexuelle. Je commence a m'emmerder, mais je suis poli, j'écoute. Soudain il me dit, tout net :

Tu va être choqué mais... tu voudrais pas te laisser toucher un peu, y a si longtemps que j'ai pas toucher quelqu'un ?

Je suis surpris, je le regarde droit dans les yeux.

Il dit

T'es fâché ? ... tu sais, ... je suis pas une tapette tu sais, c'est juste que j'ai envie de toucher ta peau, elle a l'air si douce.

Ses yeux de chien battu me font pitié. Je dis

Ok monsieur, mais juste un peu alors.

Il souri gentiment et pose sa main sur mon pec droit, il le malaxe, il touche mes abdos, il tâte. Il tâte aussi mes biceps. Il sourit plus. Il a l'air d'aimer ça. Je commence a avoir, non plus de la pitié, mais comme de l'affection pour ce paysan. Sa main tremble.

Je lui dis

Si vous voulez, on va dans les buissons et je me mets tout nu pour vous.

Il me regarde, la bouche ouverte, les yeux tout ronds. Il est interloqué. Je me lève, il me suit. On est dans le bosquet d'arbre, il fait meilleur ici, il y a de l'ombre plus que sous l'arbre. Il dit

Tu sais mon gars, je suis pas une tapette. T'es une tapette toi ?

Je dis

Non monsieur, je veux juste vous faire plaisir.

Il a l'air rassuré, il n'est pas une tapette, et je ne suis pas une tapette. Tout va donc être "normal".
Je descends mon fute, je l'enlève complètement, je suis en slip devant cet inconnu. Il regarde avidement. Il a ses longs bras qui pendent de chaque côtés de son vieux corps. Il respire fort. Je baisse mon slip, ma queue est molle et longue entre mes cuisses d'athlète. Je me retourne pour qu'il voie mon cul, il s'approche

Merci mon gars, merci merci !

Et il me couvre de caresse avec ses mains câleuses, je commence à bander sec. Il soupèse mes couilles, je vois bien qu'il n'a jamais fait çà de sa vie.

Il est un peu maladroit. Je me laisse faire. Il a même pas l'idée de me sucer la pine. Il me masturbe doucement en me malaxant les pecs.
Il sait plus ou donner du regard, il gémit, il grogne. Je ne comprends pas ce qu'il dit, mais des fois j'entends des trucs dans le genre :

Merde... Je fais quoi, je suis fou... merde pas possible, oh la la !! Merde

Je n'ose pas lui toucher le sexe. D'ailleur il ne l'a pas sorti de sa salopette. Je dis

vous voulez que je vous touche aussi ?

Il dit fièrement

Non, je suis pas une tapette.

Il masse mes muscles

J'ai tellement envie d'une queue dans le cul. Une semaine dans me faire enculer, c'est long

Je lui dis

Si vous voulez, vous pouvez m'enculer, on n'est pas des tapettes, mais si vous voulez je m'offre à vous pour le plaisir

Il ôte ses mains de moi, me regarde, l'air fâché et dit :

Mais je suis pas une tapette, toi t'en ai une.

Je dis :

Oui monsieur, pour vous je suis ce que vous voulez

Alors il fait quelques pas à reculons, il se gratte le menton. Il revient vers moi. Il prend mon visage, l'attire à lui et poses ses lèvres contre les miennes, j'entrouvre ma bouche et je sens sa langue entrer dans ma bouche ça sens le mauvais vin et le fromage. Mais putain que c'est bon de faire plaisir a ce vieux.

Je risque ma main entre ses cuisses, il se laisse faire tout en me roulant une pelle baveuse. Je sens qu'il bande et qu'il est bien monté, je défais sa braguette, je sors sa pine raide et monstrueuse, je quitte ses lèvres et je prends sa bite dans ma bouche.
Ca sens moins mauvais que sa bouche. Je le suce, il prend ma tête et accélère le va et vient. Je masse ses burnes. Et soudain il me crache toute sa purée dans la gorge.
Merde ce salop aurait pu m'avertir. Je me relève avec du sperme sur le menton.

Il s'excuse.

c'est parti tout seul, on m'a jamais fait ca, c'est vachement bon ,ça. Je savais pas qu'on pouvait faire ça..

Il rentre sa queue dans sa salopette. Il me regarde et dit

J'habite la ferme juste après le village à droite.
Si tu veux, tu viens ce soir, et je te payerai, j'ai rien sur moi.

Monsieur, vous ne me devez rien. J'ai eu beaucoup de plaisir avec vous, je vous aime bien. Je viendrai, mais pas ce soir ; je ne peux pas ce soir. Mais demain soir si vous voulez, je viendrai.

Merci mon gars. T'es gentil toi et pis... qu'est ce que t'es beau !

C'est ainsi que j'ai fais connaissance avec la France profonde. Si tous les paysans sont aussi sympas que lui, je sens que je vais faire le tour de France l'été prochain. Écrivez-moi pour me dire ce que vous en pensez.

A plus,

Pascal

sport852753@aol.com

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