Pendant l'Orage...Je l'avais rencontré à l'école de musique, en cours de batterie... il s'appelait Kevin et portait sportivement ses 19 ans. Garçon paisible, nous avions sympathisé rapidement et notre intérêt commun pour les virées en VTT avait fait le reste. Châtain clair, yeux verts, c'était un beau garçon, mais étrangement je ne fantasmais même pas sur lui. Notre amitié était on ne peut plus platonique... Ce jour là, il m'avait rejoint au pied de mon appart pour une virée sur le col le plus proche. Les nuages étaient lourds, comme cela arrive parfois en été, avec une chaleur moite palpable à même la peau. Évidemment, après 7 km, un éclair fut le brusque prélude à un rideau de pluie opaque dont le vrombissement nous annonçait la violence et la densité. Un rapide coup d'oeil suffit à nous faire faire demi-tour... peine perdue car le déluge nous rattrapa aussi surement qu'un tsunami sur une plage de Bornéo... Et c'est trempés comme on ne peut l'être plus que nous rentrions en catastrophe nos VTT dans mon entrée... Une fois dans mon salon, nos mines déconfites avec nos shorts et tee-shirts détrempés fut l'occaz d'un bon fou rire. Après quoi il fallut se résigner à les enlever car, été ou pas, le mouillé fait froid... et mon tapis n'aimait pas plus que ça les gouttes d'eau... Kevin, tout comme moi, était mouillé jusqu'au caleçon. Ce fait anodin fit que 2 culs nus et tout blanc apparurent dans mon salon tout rouge. Afin d'éviter tout mal-être, je lui proposais un caleçon tout en enfilant un rapidement... mais il ne semblait pas si pressé que ça d'en mettre un... C'est vrai que la chaleur était très lourde pendant cet orage véhément. Douche rapide prise pour chacun de nous, on se retrouvait dans mon salon, sous le bruit de l'orage tonnant dehors. Il n'avait toujours pas accepté de caleçon, prétextant une chaleur pénible... il n'avait du reste pas tort... C'est donc nu qu'il s'allongeait sur mon canapé, tout en me parlant d'un mal de dos qui le faisait régulièrement souffrir. "Tu sais masser ?" me demanda-t'il avec l'air d'un gamin timide... "Heu... oui, je me débrouille pas trop mal" fut ma réponse. Et c'était vrai d'ailleurs. "Ben franchement, si t'es OK je suis prêt ! Et comme on est entre mecs, on se gêne pas, d'ac?"... je restais scotché. Je n'avais même pas eu le temps de lui proposer un coca... Il se détend alors et écarte ses jambes, me laissant voir sa raie complètement ainsi que l'hombre de sa rosette... Aucun poil n'est visible, c'est hallucinant ! Devinant l'encouragement et avec une boule d'émotion à la gorge, je passe franchement ma main dans sa raie et caresse sa rosette, tout en écartant un peu plus ses jambes. Me plaçant derrière, je glisse ma main sous son ventre et effleure son sexe raide et palpitant. Face au spectacle de ce cul délicat qui m'est offert, je pose alors mes lèvres dessus et baise doucement cette peau albâtre et si soyeuse. Ma langue vient rapidement humidifier cette superbe raie imberbe et je finis par m'engouffrer dans sa rosette. Il se dandine en gémissant sous mes coups de langue. Et sa main vient fébrilement chercher mon sexe étiré au maximum. Alors que je reviens sur ses fesses, Kévin se retourne brusquement, et me prenant par la taille, enfourne mon sexe raide dans sa bouche ! On se retrouve plus en moins en 69, pose que je confirme rapidement en avalant goulûment son sexe, pas très large mais tout en longueur. Sans doute sous l'effet d'une excitation mal contenue, il se vida d'un coup dans ma gorge... je me retrouvais à tout avaler. Voyant cela, il se donna encore plus à fond sur mon sexe, pompant comme si sa vie en dépendait ! Évidement, sa vigueur me fit jouir très vite, et c'est avec un regard complice qu'il me fit de même en valant mon jet d'amour... Je m'exécutais, non sans aller me rincer un rapide coup, histoire de ne pas tout salir... Lui nu, et moi lavé, on se prit à jouer... On se voit Samedi prochain... ZeqmanRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |