PensionL'histoire se passe lorsque j'étais en pension, je partageais alors ma chambre, avec un autre garçon Alex un peu plus vieux que moi. Il s'est mis alors à me poser milles questions, il voulait connaitre tous les détails. Combien de temps ça avait duré, les endroits où j'avais donné mon cul de femelle, est ce qu'il m'insultait ? (ce qu'il faisait à merveille m'empressais je de lui avouer avec moult détails croustillant) de voir combien mon histoire l'excitait et le faisait bander m'amusait beaucoup. O fur et a mesure je le fi adhérer a mon vice, il devenait aussi salope que moi. À force de se côtoyer il avait, lui aussi abandonné l'idée de me faire des cachoteries. Il m'avoua lui aussi être hyper excité à la vu d'une grosse bite, et d'en rêver toutes les nuits, depuis très longtemps, mais ne s'être jamais fait baiser. Nous en étions arrivés à nous exciter mutuellement la nuit dés l'extinction des feux. Nous avions quand même un phantasme commun, Patrick le surveillant de nuit, autoritaire, sévère, tout fait de muscles, et que l'on imaginait volontiers hyper bien monté. Patrick était intervenu lors d'un bataille d'oreiller entre deux p'tite catins en chaleur et ça nous avaient ébranlé dans tous les sens du terme...lol Un soir nous avons décidé de passer à l'action, nous connaissions les heures de ces rondes, il nous était facile de faire en sorte, qu'il nous trouve le cul à l'air comme deux bonnes salopes offertes qui se respectent. Faire semblant de dormir dans des positions qui ne manqueront pas d'être très provocantes pour un mec, même un hétéro pur et dur. Nous sommes deux minets imberbes, la chattes rasées, deux petit gabarit, deux véritables troues à bites. J'avais pris la pose les fesses bien entrouverte tourné vers la porte, le bruit de ces pas se rapprochant faisait monter mon excitation, de plus en plus proche et juste o son des portes qu'il ouvrait je savais où il se trouvait et quand il allait pousser la notre pour venir s'assurer que nous étions bien dans nos lits. Quand je vis la poigné tourner doucement mon sang ne fit qu'un tour, j'ouvris encore plus fort mon cul de pute en manque de bites.... Le faisceau cherchait nos lits et quand il illumina le lit de "ma voisine" il s'arrêta net... Puis se fut mon tour d'être inspecté pour paraitre plus salope encore je changeais de position doucement, en gémissant faiblement, comme si je rêvais. Ma voisine de lit plongeât sous ma couette et C'est avec deux doigts profondément enfoncé dans la chatte qu'il me dit "Hannnn si tu avais vu comme il a inspecté ta rondelle" D'entendre ça me rendit folle, j'ouvrais encore plus grand mon cul pour qu'il puisse me le forcer toujours plus violement. Je l'encourageais " tu crois qu'il me ferait quoi ? G bien vu qu'il t'avait toi aussi bien inspecté, le salooo !"" Un gros model de "mag lite" acheté "ensemble" pour pouvoir avoir deux gros god qui passent totalement inaperçu dans un dortoir de pensionnat de garçon. Ce petit safari nocturne finissait de m'ouvrir les fesses...et un appétit sexuel démultiplié... je chassais le Zob complètement nu, dans les couloirs et les escaliers...Bingo ! Il était bien dans la salle télé, une pièce assez vaste pour contenir une vingtaine de gamins. Immédiatement je senti un puis deux puis trois pi 4 doigts me branler la rondelle... nan mais quelle salope ! Quand on le vi se lever ... plus de doute il avait sorti sa queue et se la malaxait doucement il se dirigea vers le magnétoscope et appuya sur play...mbre j'étais sous le choc a la vu de son membre, comme dans nos fantasmes, grasse, charnu, légèrement disproportionné, tordu, avec un Gland très très charnu... le rêve absolu de la salope. Il se matait un film gay...! Le titre apparaissait en lettre majuscule sur l'écran : "Minets à défoncer au jus" un gonzo, aucune histoire, juste des putains de scènes où de jeunes chiennes se faisaient mettre par tous les trous. Un véritable étalage de grosses bites bien grasses, un festival de pipes bien baveuses de gorges profondes et d'enculades à sec. Nous somme prise alors d'une frénésie démentiel et je me retrouve vite le cul rempli avec l'énorme manche de sa lampe torche... je manque de pousser un cri de surprise tellement j'aime faire ma salope, c'est vraiment devenu comme une seconde nature. De là ou je suis je vois mal la bite de Patrick, je suis terriblement frustré... Il l'encourageait, lui répétait sans cesse "Vas' y Montre moi comme tu aimes la bite" "monte dessus ! Empales toi ! Salope" "si tu ne te défonce pas assez fort C moi qui V m'y collé !" sur un ton narquois et le minet de se laisser tomber, je jeter littéralement en chute libre sur cette queue le cul en avant ! hannnn le pied de faire ça ! Arrivé en bas de l'escalier il nous braque sa lampe dans la figure "tiens tiens mais qu'est ce que vous foutez là ?" et sur un ton très autoritaire "Venez un peu par là... il nous prend chacun par une oreille et nous fait traverser le long couloir qui mène à sa chambre...mes pieds touche a peine par terre, il nous tire très fort. Je suis encore un peu aveuglé mais très vite je m'habitus et je sens monté en moi une excitation rare quand j'entraperçois, qu'il na pas rangé sa bite et qu'elle est effectivement monstrueuse et turgescente. il nous tient encore fermement les lobes d'oreille et nous agenouille en contemplation de son bon gros zob, Alex commet alors une erreur de débutante et se jeter sur le chibre, il est repoussé prestement il la relève violement la laisse sur la pointe des pieds et lui dit "Qui ta autorisé à sucer ?" il la projette à plat ventre sur son lit....les genoux à terre (comme pour la prière) puis c à mon tour d'être projeté sur le lit pour me recevoir en bonne salope le cul offert !! Il s'adresse d'abord à moi et m'ordonne de tenir la bouche de ma copine fermé à l'aide de mes mains ! À peine ais-je poser une main sur sa bouche que je le sens suffoqué, je baisse les yeux rapidement et j'ai juste le temps de voir disparaitre le chibre surdimensionné bien profond dans le cul de cette salope... (Je m'approche de son oreille et je lui murmure (bennn diii tu en as de la chance pour ta première vrai défonce) il le mérite depuis le temps qu'il en rêvait, je prends mon rôle très o sérieux et je l'empêche de hurler quand il se fait bourrer le cul à grand coup de queue. quelle violence... G hâte qu'il me fasse subir le même sort. Je monte a cheval sur le dos de ma copine de chambre, de cette façon si il avait envie de me la mettre G la chatte déjà en position ! Et lui maintiens la bouche fermé à deux mains les coups de bite redoublent ... elle prend chère la salope ! Elle couine entre mes doigts ! Je ne pensais pas si bien faire... il m'enfonça sa bite d'un seul coup sec et jusqu'o couilles, je me laissais tomber sur Alex qui reprenait son souffle, puis il ressorti aussi brusquement et de nouveau s'enfonça dans le cul du dessous, puis revient m'en mettre un coup magistral, la séance dura 20 bonnes minutes. De temps à autre, prit d'une véritable frénésie il reste dans un des deux troues du cul ...et se met à le limer très fort. Il nous reprend par les lobes d'oreilles et nous force à nous agenouiller devant sa pine qu'il passe entre nous deux avant de nous plaquer la bouche chacune de notre coté, fermement maintenu sur la hampe hyper tendu de sa verge... "Elles aiment ça mes salopes, elles en rêvaient la nuit, régalez vous... !" "Vous n'avez pas fini d'en prendre de la bonne bite bien dur de vrai mec" Puis il bascula en arrière, Il avait remonté les genoux coincé sa grosse bite luisante entre ses cuisse, il nous offrait son cul et sa bite. Il m'attrapa par les cheveux et C moi qui me retrouva la bouche empalé sur son zob, il avait fait de même pour cette salope d'Alex, en lui plaquant la tête entre ces fesses la bouche collé sur sa rondelle... je la voyais s'activer la gourmande elle fouillait ce cul avec un tel enthousiasme, moi aussi je voulais y gouter ! Puis il interchangea les rôles et je compris pourquoi ma copine était si gourmande, cette rondelle m'excitait et j'allais être forcé par une poigne de fer à lui rouler des galoches profondes et à lui bouffer littéralement le cul. J'allais me faire remplir j'étais o ange... j'allais en fait me faire remplir et bourriner pendant 20 bonnes minutes mais ça je ne le savais pas encore.... On y a mit tout notre coeur ... on se regardait s'enfiler de la bite l'une l'autre avec envie, se bousculant presque, celui qui ne suçait pas devait malaxer deux gros sacs à sperme. putain c'est bien moi la plus salope parce qu'à la 5 ou 6 éme relève, je sens cette pine prise de soubresauts elle tremble comme un paratonnerre, alors je prenais mon élan pour me l'enfiler encore une fois en fond de bouche, je senti jet m'asperger les lèvres ... je me jette, me précipite alors la bouche en avant pour lui gober le gland et le garder en bouche, je passe ma langue sur le frein frénétiquement et aspire ce nectar, ne plus en perde une seule goute ... il fut secouer de spasmes, s'affala en ne cessant de déverser son précieux "déchargement" dans ma gueule, ma bouche était devenu une citerne pleine de sperme. Il fini par dire en me claquant les fesses "Allez o lit les salopes" il me pince très fort le cul me forçant à avaler une première gorgé et se tournant vers moi " et toi n'oublis pas de partager avec ta copine quand vous serez o lit" je lui signifiais mon assentiment d'un signe de la tête silencieusement, titubant la gueule et le cul défoncé on a reprit le chemin de notre chambre ... comme deux loques. Depuis ... il n'est pas rare que nous soyons soumises à des fellations brutales et de nombreuses enculades à sec... un véritable festival, il sait trop bien faire de nous ses putes assoiffées de son jus. Ce salo a même réussit à percer un trou dans les chiottes, débouchant dans notre chambré, certain soir il nous à ordonné de nous trouver deux cordelettes de deux couleurs différentes (pour savoir qui était o bout), assez longue pour nous les passer autour du cou et de nous endormir comme ça ! L'autre bout de la cordelette passant par le trou... depuis il nous arrive souvent de nous faire trainer, d'être tiré comme des chiennes en laisse la bouche directement sur le trou et d'y voir sa pine toujours bien raide et même souvent des une bites inconnus... Je n'avais jamais croisé le chemin d'un mâles aussi vicieux... il nous baisait à tour de bras sans se soucier une seule minute de nos douleurs anales. Petit dragonRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |