Cyrillo

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Pension

L'histoire se passe lorsque j'étais en pension, je partageais alors ma chambre, avec un autre garçon Alex un peu plus vieux que moi.
À force de veillés et de longues discutions nocturnes, nous en étions vite venu à nous faire des confidences. Je lui avais avoué le premier, m'être fait baiser très jeune par un ami de mon père, que pour mon dépucelage j'avais eu droit à une bite hyper active de mâle en rut.
Que ce salop m'avait initié en me baisant super fort et m'avait immédiatement donné le goût de me faire défoncer le cul à sec et à grand coup de bite, depuis j'adorais me faire limer la rondelle comme une vraie pute.

Il s'est mis alors à me poser milles questions, il voulait connaitre tous les détails. Combien de temps ça avait duré, les endroits où j'avais donné mon cul de femelle, est ce qu'il m'insultait ? (ce qu'il faisait à merveille m'empressais je de lui avouer avec moult détails croustillant) de voir combien mon histoire l'excitait et le faisait bander m'amusait beaucoup. O fur et a mesure je le fi adhérer a mon vice, il devenait aussi salope que moi.

À force de se côtoyer il avait, lui aussi abandonné l'idée de me faire des cachoteries. Il m'avoua lui aussi être hyper excité à la vu d'une grosse bite, et d'en rêver toutes les nuits, depuis très longtemps, mais ne s'être jamais fait baiser.
Le seul Hic ! C'était qu'on aurait pu concourir toutes les deux pour le palmarès de la plus grosse chienne du pensionnat.

Nous en étions arrivés à nous exciter mutuellement la nuit dés l'extinction des feux.
A tour de rôles on se glissait dans le lit l'une de l'autre pour lui susurrer des grossièretés à l'oreille ou se dépeindre des scénarios vicieux ou une salope accro à la teub, finissait immanquablement par se faire littéralement défoncer comme une pute.
Pour que ça fasse plus vrai, on se doigtait nos rondelles énergiquement, sans ménagement comme deux gouines en chaleur. Nous n'étions plus ils mais elles, deux chiennes prêtes à tout qui aimeraient tant se faire féconder par de vrais bourrins.

Nous avions quand même un phantasme commun, Patrick le surveillant de nuit, autoritaire, sévère, tout fait de muscles, et que l'on imaginait volontiers hyper bien monté.
Le nombre de fois que ma salope de copine, était venu se glisser derrière moi la nuit, pour me parler de l'énoooorme bite de notre veilleur de nuit, la salope savait pertinemment que j'adorais ça par dessus tout, qu'il me parle de cette bite qui me semblait si inaccessible.

Patrick était intervenu lors d'un bataille d'oreiller entre deux p'tite catins en chaleur et ça nous avaient ébranlé dans tous les sens du terme...lol Un soir nous avons décidé de passer à l'action, nous connaissions les heures de ces rondes, il nous était facile de faire en sorte, qu'il nous trouve le cul à l'air comme deux bonnes salopes offertes qui se respectent.

Faire semblant de dormir dans des positions qui ne manqueront pas d'être très provocantes pour un mec, même un hétéro pur et dur. Nous sommes deux minets imberbes, la chattes rasées, deux petit gabarit, deux véritables troues à bites.
Le Soir venu à l'h convenu on se prépare chacun dans notre lit, la couette sur les chevilles...
Dés que les pas de notre surveillant se firent entendre o fond du couloir, je sentis l'excitation monter et mon cul mouiller instantanément.

J'avais pris la pose les fesses bien entrouverte tourné vers la porte, le bruit de ces pas se rapprochant faisait monter mon excitation, de plus en plus proche et juste o son des portes qu'il ouvrait je savais où il se trouvait et quand il allait pousser la notre pour venir s'assurer que nous étions bien dans nos lits.

Quand je vis la poigné tourner doucement mon sang ne fit qu'un tour, j'ouvris encore plus fort mon cul de pute en manque de bites....
Ça y est il était dans la pièce .... Je m'étouffais d'excitation, le savoir là derrière ma rondelle offerte me rendait dingue. Le faisceau de sa lampe balaya la pièce, j'avais pris soin de me positionner de façon a pouvoir voir le lit opposé et l'autre pute avait lui aussi le cul en feu, il c'était presque mis à genou dans son lit, la salope allait nous faire démasquer et sa m'excitait encore plus.

Le faisceau cherchait nos lits et quand il illumina le lit de "ma voisine" il s'arrêta net...
Je n'en revenais pas, rien ne se passa, il restait là, la lampe braqué sur cette femelle... immobile...

Puis se fut mon tour d'être inspecté pour paraitre plus salope encore je changeais de position doucement, en gémissant faiblement, comme si je rêvais.
Je rêvais bel et bien, mais de sa grosse pine en érection en ce moment !
de voir le faisceau de sa lampe passer de l'une à l'autre, de bien voir que ma complice se donnait bien a fond, elle écartait les fesses comme jamais, de savoir que lui profitait bien de ces deux chattes en chaleurs... j'étais en transe 10 bonnes minutes plus tard après être resté statique derrière nos anus accueillants, s'être sans doute bien rincé l'oeil sur nos garage à bites il s'en alla... tout simplement, nous laissant dans un état de perplexité indescriptible.
Nous étions o comble de l'excitation comme deux p'tites allumeuses fier d'avoir osé à ce point provoqué un vrai mâle.

Ma voisine de lit plongeât sous ma couette et C'est avec deux doigts profondément enfoncé dans la chatte qu'il me dit "Hannnn si tu avais vu comme il a inspecté ta rondelle"
"De là ou je me trouvais je pouvais le voir, il t'a carrément occulté le fion, j'ai même cru qu'il allait de planter sa lampe dans le cul"

D'entendre ça me rendit folle, j'ouvrais encore plus grand mon cul pour qu'il puisse me le forcer toujours plus violement. Je l'encourageais " tu crois qu'il me ferait quoi ? G bien vu qu'il t'avait toi aussi bien inspecté, le salooo !""
" G bien cru que j'allais goûter a ma première défonce à sec !"
Il me dit tout excité .... "Vient, maintenant on va nous aussi aller le mater" ni une ni deux je saute sur mes deux pieds, on prend chacune nos lampes torches, qui en fait nous servaient de god !

Un gros model de "mag lite" acheté "ensemble" pour pouvoir avoir deux gros god qui passent totalement inaperçu dans un dortoir de pensionnat de garçon.
Après sa ronde Patrick redescend immanquablement le grand escalier et se rend, soit dans sa chambre, soit dans la salle télé.
Le Pensionnat

Ce petit safari nocturne finissait de m'ouvrir les fesses...et un appétit sexuel démultiplié... je chassais le Zob complètement nu, dans les couloirs et les escaliers...Bingo ! Il était bien dans la salle télé, une pièce assez vaste pour contenir une vingtaine de gamins.
Comme la porte était resté largement ouverte nous nous postons accroupi à l'entré, lui se trouvait assis o premier rang, il nous tournait le dos, sans faire de bruits, je saisie la poigné et tire la porte vers moi pour nous permettre de mater en sécurité. Arf j'aurais aimé qu'elle grince, mais non !

Immédiatement je senti un puis deux puis trois pi 4 doigts me branler la rondelle... nan mais quelle salope !
Je me faisais dilater, doigté de plus en plus fort sans pouvoir même soupirer....
Le temps de bien s'accoutumer à l'obscurité et nous détectons une activité suspect... ma copine me susurre "je crois qu'il se branle le salo"

Quand on le vi se lever ... plus de doute il avait sorti sa queue et se la malaxait doucement il se dirigea vers le magnétoscope et appuya sur play...mbre j'étais sous le choc a la vu de son membre, comme dans nos fantasmes, grasse, charnu, légèrement disproportionné, tordu, avec un Gland très très charnu... le rêve absolu de la salope.
Je suis sorti de mes rêveries quand l'écran s'alluma ... je fus soudain prise d'une envie folle de me ruer dans la pièce, de me précipiter la bouche en avant sur son énorme verge congestionné.

Il se matait un film gay...! Le titre apparaissait en lettre majuscule sur l'écran : "Minets à défoncer au jus" un gonzo, aucune histoire, juste des putains de scènes où de jeunes chiennes se faisaient mettre par tous les trous. Un véritable étalage de grosses bites bien grasses, un festival de pipes bien baveuses de gorges profondes et d'enculades à sec.
Mon cul prenait alors presque toute la main et se faisait travailler comme jamais.
Moi aussi j'allais t'ouvrir la rondelle ma salope et nous voilà comme deux gouines en train de nous branler le cul mutuellement en tentant de nous faire crier l'une l'autre.
Je n'en revenais pas Patrick ne se branlait pas, il jouait avec sa teub la claquant pour la faire grossir et ne la lâchant pas des yeux.

Nous somme prise alors d'une frénésie démentiel et je me retrouve vite le cul rempli avec l'énorme manche de sa lampe torche... je manque de pousser un cri de surprise tellement j'aime faire ma salope, c'est vraiment devenu comme une seconde nature.
J'aimerais moi aussi, lui faire tâter de ma lampe torche et c'est en gardant deux doigts dans son fion dilaté que je présente le manche de ma torche...
À l'aide de mes doigts je lui écarte bien la chatte je m'aide de se repère pour lui carrer le manche presque en entier dans le cul ... cette salope couine et j'ai bien peur qu'elle ne nous ait faite repérer... mais non tjrs rien.

De là ou je suis je vois mal la bite de Patrick, je suis terriblement frustré...
Comme j'aimerais être surprise dans cette situation ! Nous avions lâché nos lampes et nous nous étions toutes les deux accroupi et littéralement assis dessus, en tenant le renflement de nos lampes bien collé o sol, exciter par le dvd. Une scène ou un mec demande a une salope de venir se déchirer le cul toute seule... comme une grande.

Il l'encourageait, lui répétait sans cesse "Vas' y Montre moi comme tu aimes la bite" "monte dessus ! Empales toi ! Salope" "si tu ne te défonce pas assez fort C moi qui V m'y collé !" sur un ton narquois et le minet de se laisser tomber, je jeter littéralement en chute libre sur cette queue le cul en avant ! hannnn le pied de faire ça !
Bientôt le générique de fin apparu et ce fut la panique quand Patrick se leva pour éteindre le magnéto... on extirpe nos lampes torches du fin fond de nos chattes, on se redresse brusquement et on se précipite comme on peu dans l'escalier ... Mais trop lentement apparemment, il est déjà sur nos talons et nous interpelle du bas de l'escalier...
"Je sais que vous êtes là!, ne m'obligez pas à venir vous cueillir dans vos chambres".
On se rend sur le champ et sans condition, C l'air honteux et toujours nu, qu'on rebrousse chemin et que l'on se livre à notre surveillant.

Arrivé en bas de l'escalier il nous braque sa lampe dans la figure "tiens tiens mais qu'est ce que vous foutez là ?" et sur un ton très autoritaire "Venez un peu par là... il nous prend chacun par une oreille et nous fait traverser le long couloir qui mène à sa chambre...mes pieds touche a peine par terre, il nous tire très fort. Je suis encore un peu aveuglé mais très vite je m'habitus et je sens monté en moi une excitation rare quand j'entraperçois, qu'il na pas rangé sa bite et qu'elle est effectivement monstrueuse et turgescente.
Je suis comme hypnotisé par cette pine je ne la lâche plus des yeux et je me fais trainer comme une pute o fond d'un sombre couloir, qui mène surement à la réalisation de tous mes fantasmes, en entrant dans sa chambre il dit " vous croyez que je vais laisser deux salopes me faire triquer sans réagir ?"

il nous tient encore fermement les lobes d'oreille et nous agenouille en contemplation de son bon gros zob, Alex commet alors une erreur de débutante et se jeter sur le chibre, il est repoussé prestement il la relève violement la laisse sur la pointe des pieds et lui dit "Qui ta autorisé à sucer ?" il la projette à plat ventre sur son lit....les genoux à terre (comme pour la prière) puis c à mon tour d'être projeté sur le lit pour me recevoir en bonne salope le cul offert !!
Instinctivement ont redressent les fesses pour qu'il voit bien nos chattes ouverte.
" Mais qu'est ce que c'est que ça...! " il venait de découvrir nos anus dilatés, rougis et mouillé "Mais dites moi, ça fait longtemps que vous êtes dans cet état ?"

Il s'adresse d'abord à moi et m'ordonne de tenir la bouche de ma copine fermé à l'aide de mes mains ! À peine ais-je poser une main sur sa bouche que je le sens suffoqué, je baisse les yeux rapidement et j'ai juste le temps de voir disparaitre le chibre surdimensionné bien profond dans le cul de cette salope... (Je m'approche de son oreille et je lui murmure (bennn diii tu en as de la chance pour ta première vrai défonce) il le mérite depuis le temps qu'il en rêvait, je prends mon rôle très o sérieux et je l'empêche de hurler quand il se fait bourrer le cul à grand coup de queue. quelle violence... G hâte qu'il me fasse subir le même sort.

Je monte a cheval sur le dos de ma copine de chambre, de cette façon si il avait envie de me la mettre G la chatte déjà en position ! Et lui maintiens la bouche fermé à deux mains les coups de bite redoublent ... elle prend chère la salope ! Elle couine entre mes doigts !

Je ne pensais pas si bien faire... il m'enfonça sa bite d'un seul coup sec et jusqu'o couilles, je me laissais tomber sur Alex qui reprenait son souffle, puis il ressorti aussi brusquement et de nouveau s'enfonça dans le cul du dessous, puis revient m'en mettre un coup magistral, la séance dura 20 bonnes minutes. De temps à autre, prit d'une véritable frénésie il reste dans un des deux troues du cul ...et se met à le limer très fort.

Il nous reprend par les lobes d'oreilles et nous force à nous agenouiller devant sa pine qu'il passe entre nous deux avant de nous plaquer la bouche chacune de notre coté, fermement maintenu sur la hampe hyper tendu de sa verge...
;Il s'active déjà il nous tient bien la tête et nous fait lécher sa queue sur toute la longueur... mais quel salop !

"Elles aiment ça mes salopes, elles en rêvaient la nuit, régalez vous... !" "Vous n'avez pas fini d'en prendre de la bonne bite bien dur de vrai mec"
On glapissait de petits "wouiiiii wouiiiiii hooo wouiii" sans cesser de lécher et sucer faire des petits bruits de salope excite le mâle C tout bénef pour celle qui aiment se faire baiser sans retenu.
Il s'amuse à nous faire téter son gland nos deux bouches se touchant parfois, je suçais et léchais comme une truie en furie et mon vis à vis faisait de même, c'était moi sa pute favorite pas elle.
De temps en temps, il nous amenait jusqu'o bout de sa pine pour nous faire goûter nos langue... on se roulait des pelles avec une bite qui venait nous limer les lèvres à grand coup de reins... commença alors la séance individuel il s'agenouilla sur le bord du lit et nous fi signe d'approcher, pour qu'il encule nos bouche à tour de rôles. Il enculait nos bouche profondément tout en nous tenant la tête.

Puis il bascula en arrière, Il avait remonté les genoux coincé sa grosse bite luisante entre ses cuisse, il nous offrait son cul et sa bite. Il m'attrapa par les cheveux et C moi qui me retrouva la bouche empalé sur son zob, il avait fait de même pour cette salope d'Alex, en lui plaquant la tête entre ces fesses la bouche collé sur sa rondelle... je la voyais s'activer la gourmande elle fouillait ce cul avec un tel enthousiasme, moi aussi je voulais y gouter !
En attendant j'avais la mâchoire prête à exploser il me forçait la gorge en me secouant énergiquement par les cheveux, sans ménagement.
L'idée ma traversé l'esprit, qu'il était juste en train de branler son gros Zob en se servant de la bouche de sa putain.

Puis il interchangea les rôles et je compris pourquoi ma copine était si gourmande, cette rondelle m'excitait et j'allais être forcé par une poigne de fer à lui rouler des galoches profondes et à lui bouffer littéralement le cul.
A certains moments je m'activais tellement que je pouvais sentir les lèvres d'Alex toucher les miennes, c'est dire comme il lui baisait profondément la gorge, j'étais en train de le rendre fou !
Puis il mit fin à ce délicieux repas... me fi me mettre à 4 pattes en me demandant de tirer la langue .... Je m'exécutais en bonne chienne obéissante il ordonna a ma copine d'aller me sucer la langue, qu'il allait me défoncer et que comme ça, il me serait impossible de crier ...
Il fit une pose pour bien voir ma langue disparaitre dans la bouche d'Alex, il ajouta "wouiiiii pipe moi cette langue de salope".

J'allais me faire remplir j'étais o ange... j'allais en fait me faire remplir et bourriner pendant 20 bonnes minutes mais ça je ne le savais pas encore....
Il ma tellement enculé que G failli tourner de l'oeil... et Alex n'en pouvait plus de me sucer la langue tellement excité par ce que me faisait subir notre salop de mec.
Pour finir, il nous dit qu'il allait nous faire" jouer à une sorte de jeu", qu'il appelait ça "la roulette russe"... on allait devoir a tour de rôles se déchainer sur sa pine et la plus salope prendrait tout le jus ! Mais attention interdiction d'avaler.

On y a mit tout notre coeur ... on se regardait s'enfiler de la bite l'une l'autre avec envie, se bousculant presque, celui qui ne suçait pas devait malaxer deux gros sacs à sperme. putain c'est bien moi la plus salope parce qu'à la 5 ou 6 éme relève, je sens cette pine prise de soubresauts elle tremble comme un paratonnerre, alors je prenais mon élan pour me l'enfiler encore une fois en fond de bouche, je senti jet m'asperger les lèvres ... je me jette, me précipite alors la bouche en avant pour lui gober le gland et le garder en bouche, je passe ma langue sur le frein frénétiquement et aspire ce nectar, ne plus en perde une seule goute ... il fut secouer de spasmes, s'affala en ne cessant de déverser son précieux "déchargement" dans ma gueule, ma bouche était devenu une citerne pleine de sperme. Il fini par dire en me claquant les fesses

"Allez o lit les salopes" il me pince très fort le cul me forçant à avaler une première gorgé et se tournant vers moi " et toi n'oublis pas de partager avec ta copine quand vous serez o lit" je lui signifiais mon assentiment d'un signe de la tête silencieusement, titubant la gueule et le cul défoncé on a reprit le chemin de notre chambre ... comme deux loques.
Ma salope de copine envieuse de ce que j'avais pris en bouche... ne me lâchait plus du regard.
Une fois dans la chambre, nous nous sommes couchés dans le même lit, face à face pour nous rouler de langoureuses pelles o jus de mec et de nous endormir comme ça en nous partageant la semence !

Depuis ... il n'est pas rare que nous soyons soumises à des fellations brutales et de nombreuses enculades à sec... un véritable festival, il sait trop bien faire de nous ses putes assoiffées de son jus.
Souvent les nuit on se relève pour aller chacun de notre coté ou ensemble se poster sur le chemin de sa ronde, le cul tendu dans des positions de chiennes en chaleurs.
Quand il ne nous demande pas de le suivre dans sa chambre pour parfaire notre éducation, comme il dit !

Ce salo a même réussit à percer un trou dans les chiottes, débouchant dans notre chambré, certain soir il nous à ordonné de nous trouver deux cordelettes de deux couleurs différentes (pour savoir qui était o bout), assez longue pour nous les passer autour du cou et de nous endormir comme ça ! L'autre bout de la cordelette passant par le trou... depuis il nous arrive souvent de nous faire trainer, d'être tiré comme des chiennes en laisse la bouche directement sur le trou et d'y voir sa pine toujours bien raide et même souvent des une bites inconnus...
Je crois qu'il nous offre...!

Je n'avais jamais croisé le chemin d'un mâles aussi vicieux... il nous baisait à tour de bras sans se soucier une seule minute de nos douleurs anales.
Nous ne voulions même plus quitter le pensionnat le week-end.

Petit dragon

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