Cyrillo

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Pluie magique.

Je suis hétéro, enfin c'est ce que je croyais avant qu'il ne m'arrive cette incroyable histoire.

Je bosse comme secrétaire dans un cabinet d'avocat. Je m'entends très bien avec tout le personnel du cabinet, qui est mixte. Mon patron s'appelle Philippe, on a tout de suite sympathisé, lui n'as que 35 ans et moi 25, nous sommes les deux plus jeunes de la boite, et oui, les jeunes patrons contre les vieux ouvriers.

Un lundi soir, Philippe me demandait si cela ne me dérangeait pas de le remplacer pour faire tout ses papiers et dossiers a remplir, car il avait un rendez vous d'affaire très important.

Comme je suis quelqu'un sur qui on peut compter, j'accepte, je lui demande tout de même si je peux prévenir ma fiancée qui m'attend pour dîner, que je ne rentrerai pas de bonne heure. Il accepte bien sur.

Il part à son rendez vous, et je me retrouve seul dans son bureau, tout le monde parti, et je m'imagine, a sa place, moi patron assis dans ce grand fauteuil noir, et je pense a tout ce que je pourrait faire avec ma femme qui viendrait me chercher le soir, on ferait l'amour sur le bureau, enfin les fantasmes d'hétéro...

Je finissais de remplir le dernier bulletin, quand j'entendis la porte s'ouvrir, c'était Philippe qui rentrait, noyé comme une souche, il pleuvait comme vache qui pisse dehors.

" Tu es trempé!

- oui, il pleut a seau, dans l'armoire du couloirs, il y a un autre costume que je garde au cas ou, passe moi la chemise et le pantalon, je vais attraper la mort sinon!

- oui, attends j'arrive"

J'étais parti dans le couloir, et quand je suis revenu, il était en slip dans son bureau se servant un whisky.

- Tiens Philippe, tes vêtements sont la!

- merci, olivier, je finis mon verre et je les enfile.

- oh, je dis ça pour que tu ne prennes pas froid, tu sais moi je m'en fou

- tu préfères que je reste en sous vêtements?

- non, qu'est ce que tu vas t'imaginer ?

- rien du tout

A ces phrases, mon coeur palpitait, comme si quelque chose était en train de se passer, mais je n'arrivais pas à expliquer. En plus je ne pouvais m'empêcher de le regarder en slip la devant moi, buvant son whisky. Mais j'avais prévenu ma fiancée que je rentrerai plus tard, mais il se faisait vraiment tard, donc je dis à Philippe:

' Philippe, tu m'excuses, mais je vais rentrer, Johana m'attends.

- elle n'est plus à une demi heure près, prends un verre avec moi, détends toi.

- oui, mais...

- c'est moi le patron, et tu a encore du travail !

- bien chef (j'ai répondu comme un bleu)

- et si on faisait un strip poker?

- pourquoi un strip?

- tu as peur de perdre et de te retrouver a poil?

- non, ce n'est pas la question,

- alors je distribue..."

Il était déjà en slip donc si il perdait une seule fois, il serait à poil, je commençais à me dire qu'il le faisait exprès pour me foutre mal à l'aise, ou pour me draguer, ou alors les deux.

On commence la partie, et en moins de deux minutes, il perd la partie, ce que j'avais prédit, mais je décidais de jouer dans son jeu, pour ne pas perdre la face ...

" J'ai perdu, donc je dois enlever un vêtement, et dites donc salopin, je suis en slip ce qui veut dire que tu as déjà gagné !

- oui, j'ai gagné, tu sais tu n'es pas obliger de retirer ton slip, c bon, j'ai gagné, mais je vais vraiment rentré maintenant.

- attends, j'ai perdu, et bien je me plie a tes désirs, je dois me foutre a poil"

et il s'exécute, j'ai mon patron a poil devant moi, et je sens que je commence a bander, alors que jamais avant un mec ne m'avait ;fait de l'effet ;, je rougis et je ne sais plus ou me foutre, il s'avance vers moi et il dis :

" Tu viens de me voir à poil et c'est pas très juste, pour qu'on soit quitte, il faut que moi aussi je te vois nu!

- non, mais tu plaisantes, tu as perdu, c tout, maintenant je rentre"

J'allais me diriger vers la sortie, quand il m'a attrapé les couilles et il me caressait la bite a travers le pantalon, je ne savais plus quoi faire, je bandait a mi temps, par peur et par honte, mais en même temps, je dois dire que ça m'excitait. Ce qui m'a moins excité, c'est le bruit de la porte d'entrée qui s'ouvrit, c'était maxime, je suis vite allé me cacher dans la petite toilette qu'il y a près du bureau de Philippe, j'ai entendu maxime entrer dans le bureau de Philippe,

" Tu m'attendais ? (Dit il en plaisantant)

- non, je suis avec quelqu'un

- ah sacré Philippe !

- qui est?

- tu ne connais pas"

Et maxime interrogeait Philippe sur cette personne qu'il cachait, moi, j'avais vraiment peur qu'on me trouve la, j'aurais ensuite la réputation de la pute du boss, et que dirait ma fiancée si elle entendait parler de ça.

" C'est bon, tu veux sortir oliver, il est parti

- ouf, je ne voulais pas qu'il croyait qu'on ... enfin tu vois

- non, je ne vois pas, "

Et la il s'est jeté sur moi, je me suis débattu, mais je résistais mal, car mon coeur me disait de me laisser faire, en moins de 5 minutes, j'avais le pantalon et le slip entre les chevilles, ses mains parcouraient mon corps de partout, il faisait entrer un doigt puis deux dans mon anus, il me branlait comme jamais moi même je ne me suis branlé ni ma fiancée. Je commençais à vraiment prendre du plaisir, et puis soudain, la porte s'ouvrit a nouveau et maxime en surgit en disant:

" J'en était sur ! "

A ces mots, je ne sentais plus mon coeur battre tant les battements étaient rapprochés, mes jambes me jouaient des tours, je ne pouvais plus sortir un mot, bref tétanisé ...

Maxime ajouta :

- vous ne vous ennuyez pas mes petites salopes !

- qu'est ce que tu crois ! répondit Philippe.

J'ai quand même trouvé la force de me rhabiller, et je suis sorti sans même dire un mot. Une fois dehors, j'ai prit une bonne respiration pour en revenir, je ne savais plus quoi faire, démissionner? Ben oui, j'avais tellement honte de moi, que je n'aurais jamais osé retourné au travail le lendemain, mais en même temps, ma fiancée m'aurait demandé pourquoi je démissionne et je ne peux pas lui dire ....

Je suis rentré chez moi près de 2 heures plus tard, Johanna dormait déjà, j'ai prit une douche, et sous cette douche je repensais a ce soir, a Philippe qui me caressait, et je bandais comme un âne, j'étais excité, et en même temps déçu, que cela n'a pas été plus loin.

Le lendemain, je suis quand même aller au travail, Philippe était parti pour 2 jour à Lyon, il ne restait que maxime et Anne au cabinet, maxime me dit bonjour, comme si de rien était, j'ai fait de même.

Toute la journée, nous avons des coursiers qui viennent apporter des plis pour Philippe, et pour la première fois de ma vie, je commençais à mater ces mecs, pour la plus part bien foutu, je matais leurs petits culs dans leurs jeans, leur paquet, j'en avais pleins les yeux.

Deux jours plus tard, Philippe rentre de Lyon, il dit bonjour a Maxime et à Anne, et à moi, il me lance un sourire qui en dit long, je suis dans son bureau, comme je fais tous les matins pour lui donner le planning de ses rendez vous, et la il me dit :

- ferme la porte !

- oui, que veux tu me dire?

- que tu me fais bander !

- écoute Philippe, ...

- non, toi écoute, maxime l'autre soir, quand tu es partis, m'a parlé et m'a dit qu'il ne dirait rien a ta fiancée si tu couches avec nous deux, qu'est ce que tu en penses?

- arrêtes Philippe, c'est pas drôle, je suis perturbé par ce qui s'est passé, et je ne veux pas que sa aille plus loin, même si j'en meure d'envie je dois te l'avouer.

- fais comme tu veux, mais ne viens pas te plaindre si maxime dévoile tout à Johanna!

- mais ...

Maxime entre et ferme la porte derrière lui :

- vous avez discuté de notre arrangement tous les deux?

- oui, je viens de lui dire, et il est d'accord!

- mais non, je ne veux pas

- bien sur que si il veut, sinon il sait ce qu'il va lui arriver, répondit Philippe

Ils me dirent de rester après qu'Anne soit partie et de prévenir ma fiancée qu'encore une fois j'aurais du retard.

Le soir venu, Anne quitta son poste pour rentrer chez elle, moi, je restais la, perplexe a ce qui allait se tramer ici d'ici quelques minutes, et puis le moment tant redouté arriva, j'entends maxime qui m'appelle du bureau de Philippe.

J'entre, les deux sont la, l'un tape sur l'ordinateur, et l'autre est au téléphone.

Philippe qui est au téléphone, déboutonne son pantalon et laisse sortir sa belle queue de 18 cm au moins et me fait signe de m'avancer pour lui pomper, j'hesite, mais j'y vais et je m'abandonne a eux deux, je me dis qu'après tout, c'est que du plaisir a prendre, je le suce alors qu'il téléphone toujours, sa respiration est quelque fois coupée par le plaisir, mais il continue de discuter, il aime sa.

Il raccroche, et me dit d'aller m'occuper de maxime qui doit déjà bander comme un âne, en voyant la scène, lui voulait que je déshabille complètement, et que je vienne m'empaler sur sa queue déjà sortie, je m'exécute, c'est la première fois que je me fais pénétrer, et je dois dire que la douleur laisse vite place au plaisir intense et profond de chaleur, je prends mon pied, et je suis content, mais la sensation de honte n'est plus la.

Philippe s'est approché et il me suce, je suis assis sur maxime qui me lime comme un malade et Philippe me suce comme un dieu, je suis aux anges, ensuite Philippe voulut lui aussi me limer, alors on a changé nos places, et on a recommencé .....

Vous ne pouvez pas savoir (sans doute que si mais bon,) quel bien ça fait pour un hétéro comme je l'étais de découvrir que le sexe entre homme est finalement mieux que le sexe hétéro,

D'une pluie que je qualifierai de magique, car elle m'a fait découvrir un monde carrément formidable, est né un nouvel homme, moi.

Philippe, maxime et moi, décidions de rentrer ensemble dans un hôtel pour finir la nuit de plaisir, le lendemain, au réveil, j'avais les yeux encore fermés et je sentais que quelqu'un me touchais la bite, je bandait, mais je laisser les yeux fermé, j'essayer de reconnaître le quel des deux était en train de me toucher, mais quand j'ouvris les yeux je vis Johanna.

En fait toute cette histoire n'est qu'un rêve magique et pour moi semi réel tant ça me paraissait vrai, je fus très déçu en me réveillant de constater que tout était imaginaire, mais maintenant j'étais sur d'une chose par rapport à la veille au soir, c'est que j'avais une attirance forte pour les mecs.

En chaque homme sommeil une petite part d'homosexualité. A vous de la réveiller.

Oliviero

owfrane@aol.com

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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