Premières expériences avec un ami. J´avais 18 ans et Christian, mon meilleur ami, aussi. Moins beau que lui, je n´étais pourtant pas, selon les dires de mon entourage, dépourvu de charme. Si nous partagions tout, nous parlions assez peu de sexe, hormis bien sûr les éternelles blagues et autres histoires salaces. Nous étions convaincus d'être de parfaits hétéros, ou nous voulions le croire. Si certaines douches prises ensemble en différentes circonstances (piscine, sport, chez lui ou chez moi) s´étaient accompagnées de masturbations, nous n´échangions pas de caresses. Cette activité masturbatoire partagée relevait pour nous d´une simple pulsion sexuelle qu´il nous fallait assouvir. A deux ou trois reprise cependant j´ai été troublé par son état d´abandon et d´extase au moment de l´éjaculation. Une semi érection vient en témoigner de ce trouble. Je suis un peu gêné, mais il ne peut pas la voir puisque il me tourne le dos. Pour m´éviter une érection complète je me concentre sur les tâches de peinture que je tente d´enlever à l´aide d´un gant de toilette tout en feignant de pester contres ces tâches qui ne veulent pas partir. Mais, mon effort pour me détourner de mon émotion sexuelle est rompu quand Christian me déclare "putain ce n´est pas désagréable de se faire laver par quelqu´un d´autre, j´avoue que ça me fait bander, faut dire que ça fait un moment que je n´ai pas baisé". Cette franchise me surprend, mais elle me met aussi à l´aise. La peinture a dégouliné sur et entre ses fesses. En même temps que je le lui signale, je les lui savonne et glisse ma main entre ses deux fesses. Mon érection est maintenant à son comble et Christian pousse un léger gémissement de plaisir. Encouragé, je fais glisser ma main d´entre ses fesses vers ses couilles et sa bite effectivement en érection. Il gémit à nouveau comme pour me signifier de continuer. Toujours le dos tourné je commence une douce masturbation en frottant mon corps contre lui. Ses gémissements se font plus francs, il ne se retient plus, j´accélère mon geste masturbatoire. Et, la tête rejetée en arrière venant se poser sur mon épaule il jouit de tout son corps. Je sens son sperme dégouliner sur mes doigts et ma main. Mon désir est à son comble. J'enveloppe Christian, qui me tourne toujours le dos, de mon bras gauche, et pose la main sur son pénis encore honorablement érigé. Je m´active sur mon sexe et je ne tarde pas à jouir, mon sperme venant s´éjecter contre ses fesses et son dos. Au moment de ma jouissance je l´ entends à nouveau gémir et son pénis encore dans ma main gauche reprend une totale érection. Toujours de dos il me pousse et me bloque avec son corps contre la paroi de la douche et commence à se masturber avec force jusqu´à une deuxième jouissance. Notre jouissance et notre excitation passées, notre gène et notre honte réapparaissent soudain, mais nous les masquons aussitôt par des propos du genre "c´est moins bien qu´avec ma copine, mais enfin quand on a vraiment envie de baiser." Les semaines se sont écoulées, nous n´avions jamais reparlé de cette histoire, sauf une fois peut-être lorsque dans une conversation portant sur le cul il avait lâché, "oh ! quand on est en manque on est prêt à tout pour une petite jouissance". Sous-entendu, une fois n´est pas coutume... Cependant, notre relation avait changée, la gène de cette expérience sous la douche avait été vite évacuée, et au contraire nous nous sentions plus proche n´hésitant plus, comme auparavant, à se toucher à se faire la bise quand nous ne nous étions pas vus depuis quelques jours. Nos discussions autour du sexe étaient plus sincères, délivrées de toute forfanterie. Cette période a coïncidé avec ma rencontre avec Laure. Laure une jolie fille brune, sensuelle, intelligente et drôle. Je suis littéralement tombé amoureux. Heureusement mon sentiment était partagé. Je passais désormais le plus claire de mon temps avec elle. Je voyais cependant encore souvent Christian, nous étions dans la même classe de terminale. Les mois s´écoulaient, le bac arrivait. C´est tout naturellement que Christian et moi révisions ensemble pour s´encourager mutuellement dans l´effort. La chaleur estivale avait pointé son nez précocement en ce mois de juin. Nous interrompions nos révisions par des baignades dans la piscine. Souvent seuls à la maison, à l´abri du regard du voisinage, la pudeur entre nous n´étant plus de mise, c´était nus que nous nous baignions. Un dimanche, il s´est passé quelque chose que je n´aurais jamais imaginé. Pour toute réponse il se lève, se met face à moi qui me suis assis, et offre son bas ventre à mon regard. Je suis troublé, mais pas assez pour ne pas constater que sa queue plus longue que d´habitude pendait entre des poils pubiens non rasés mais coupés très court. Il soulève sa queue et me montre ses bourses débarrassées de toute pilosité. Je suis plus étonné quand il n´hésite pas à se retourner pour me montrer son cul en écartant bien ses fesses tout en me disant, "tu vois j´ai bien rasé tout autour de ma rosette." J´étais perplexe à l´époque, je n´avais jamais pensé qu´il fut utile de procéder à une telle dépilation, ni que cela se faisait. Je lui répondis "ça ne doit pas être évident de se raser les bourses et surtout le cul sans se blesser?" J´étais troublé par cette situation, Christian proposait-il ça en toute innocence sans que cela ait pour lui une connotation sexuelle ou au contraire cherchait-il un prétexte pour provoquer un contact dans le but d´aller plus loin? Moi-même pourquoi avais-je accepté? Etais-je physiquement attiré par lui? L´épisode sous la douche était-il un accident lié à une libido débordante ou correspondait-il à une vraie attirance? Ces questions, je me les posais. Christian allait bien vite m´en donner les réponses. Christian revient et me dit "allonges toi sur le ventre". Ce que je fais. Lentement avec une main caressante il m´étale du savon en m'écartant bien les fesses, il s'éternise sans doute plus que de nécessaire, puis l'air de rien, il caresse doucement ma rosette. Mon excitation commence à monter, mais je ne sais pas encore si je peux l´avouer. Il continue ses caresses en s'attardant de plus en plus sur ma rosette. "J´insiste un peu sur ton trou du cul car pour tout le monde, homme ou femme, c´est une zone érogène, alors autant joindre l´utile à l´agréable!", me dit-il. Puis il m´enfonce délicatement un doigt dans mon anus, je gémis un peu, il en profite pour insister et commencer un doux va et viens. Dernière pudeur, je lui prends le bras pour lui signifier d´arrêter. "Laisse toi faire, laisse toi aller, je ne ferais rien qui te soit désagréable". Il enfonce ensuite un deuxième doigt dans mon trou du cul, je ne retiens plus un râle de plaisir. Il me pilonne doucement ainsi, puis comme pour faire durer le plaisir, il interrompt ses caresses et entreprend le rasage. Son ouvrage achevé, " retourne toi" me dit-il. Si l´excitation a un peu baissé après la courte séance de rasage, mon sexe presque en érection d´ou se sont écoulées quelques perles de désir est ainsi montré au regard de Christian. Il y pose un baiser puis badigeonne de savon, avec ses mains expertes, mes couilles et mon membre viril rendu au sommet de sa forme. Je me laisse glisser dans la volupté. Mon sexe ne perd pas de sa vigueur lorsqu´il passe au rasage. M´ayant débarrassé de toute trace de savon, Christian commence alors une merveilleuse pipe, enfonçant ma queue profondément dans sa gorge. Tout en continuant à me pomper, il me soulève les jambes pour m´introduire un puis deux puis trois doigts préalablement lubrifiés avec un gel à disposition. Décidément Christian a tout prévu! Tout mon corps entre en transe. Ses trois doigts toujours dans mon cul, Christian interrompt la fellation pour m´embrasser langoureusement et me glisser à l´oreille "je t´aime". Je n´aurais jamais cru pouvoir me laisser enculer ainsi, mais il m´avait si parfaitement préparé avec ses caresses expertes que je n´avais pratiquement pas ressenti de douleur initiale. Christian m´avoua par la suite, que depuis notre première expérience sous la douche, il n´avait jamais cessé d´y penser et avait toujours rêvé qu´une autre occasion se présente. Celle-ci tardant à venir il avait eu des expériences homos dans des endroits "spécialisés" qu´il avait découvert, tout en continuant à avoir des relations avec des filles. Je comprenais maintenant pourquoi il m´avait sucé puis pénétrer comme s´il avait fait ça toute sa vie. Il m´avoua aussi qu´il avait de moins en moins envie de filles et qu´il allait rompre avec sa copine. J´aimais Christian, J´aimais Laure et je voulais les deux. Ma vie sexuelle s´est épanoui ainsi pendant quelques années. Maintenant les années ont passées, nos chemins ont divergés, Laure puis Christian m´ont quittés la même année. Si j´ai fait d´autres rencontres, ils gardent une place encore dans mon coeur. Si tu reviens Christian je voudrais que nous refassions l´amour comme si c´était la première fois. seb30Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |