Cyrillo

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Ma première fois (2)

Cela faisait une bonne demi-heure que nous discutions, avachis sur le canapé, Frédéric et moi, lui le slip au niveau des genoux et moi totalement à poil, mon caleçon gisant sur le carrelage au milieu du foutre. Frédéric, qui jusqu'à présent m'impressionnait, me faisait désormais définitivement craquer avec ses superbes yeux, son assurance en lui, et ses talents d'amant. J'étais dans ses bras, la tête posée contre son torse et le contact de sa peau chaude et transpirante, par cette matinée de début juillet, réveillait progressivement ma queue, qui s'était accordée un peu de répit après la jouissance que nous venions de partager à peine trois quarts d'heure plus tôt.

Tout en parlant de nos passions, car même si nous étions cousins, nous ne partagions, jusqu'à maintenant, que peu de choses, ils passa tendrement sa main droite sur mon torse pour me caresser les tétons l'un après l'autre. Cette sensation m'électrisa et finit de réveiller ma queue qui se redressa instantanément contre mon bas ventre.

La vision de mon érection, ainsi que les caresses qu'il me procurait, eurent aussi beaucoup d'effets sur Frédéric, dont la bite se gorgea progressivement de sang. D'un geste rapide, il décida d'ôter son slip, qu'il ba-lança à côté de mon caleçon, et posa tendrement ses lèvres sur les miennes. Par rapport à tout à l'heure, j'avais un peu plus confiance en moi et décida d'introduire ma langue dans sa bouche, comme il l'avait si bien avec moi précédemment. Il sembla apprécier mon initiative et entoura ma langue avec la sienne, tout en descendant sa main sur ma queue qui était dressée comme un obélisque. De mon côté, je fis glisser ma main sur son torse et son ventre pour atteindre son entrejambe et m'attarder sur ses boules qui avaient l'air d'être toujours aussi plei-nes et pendantes.

Nous passâmes plusieurs minutes, assis l'un contre l'autre, bouche contre bouche, à nous caresser tantôt nos queues toutes excitées, tantôt nos couilles. Tout à coup, Frédéric retira ses lèvres des miennes et me dit à l'oreille de le suivre. Il se leva, ramassa son slip avec lequel il essuya grossièrement les traces de sperme laissées sur le carrelage, me passa mon caleçon et commença à gravir l'escalier. Il m'emmena vers sa chambre et, après avoir jeter nos sous-vêtements sur un fauteuil, tout en me prenant dans ses bras et m'embrassant, me fis basculer sur son lit, pour que je me retrouve allongé en travers du lit, sur le dos. Il s'assit près de moi et glissa sa main entre mes cuisses pour malaxer mes couilles et progressivement glisser un doigt vers ma raie.

Lorsque son doigt commença à titiller mon anus, j'éprouvai une sensation étrange, j'étais à la fois très ex-cité et effrayé. Jamais je n'avais imaginé prendre mon pied avec mon cul ! Il avait l'air de vraiment bien s'y connaître dans ce domaine et de comprendre mon trouble. Il écarta mes cuisses pour pouvoir accéder plus faci-lement à mon trou, tout en commençant à lécher mes couilles, ce qui me porta au comble de l'excitation.

Lui aussi avait la queue totalement dressée, son gland semblait même vouloir sortir de son enveloppe charnelle. Alors qu'il se mit à me branler lentement en insistant sur mon prépuce et mon gland, il cracha entre ses doigts pour humidifier ma raie. Ce doigt, enduit de salive, et essayant de me pénétrer, me fit tressaillir. La situation m'excitait de plus en plus, même si je trouvais la présence de ce doigt dans mon anus un peu gênante.
Alors que son majeur était aux portes de mon trou, il titillait mes couilles avec son pouce et me branlait de l'autre main.

Quant à moi, je m'abandonnais totalement entre ses mains. Un deuxième doigt força alors progres-sivement l'ouverture pour se trouver au plus profond de moi. Son majeur et son index faisaient à présent des va-et-vient, ce qui au bout de quelques minutes me décontracta complètement. Frédéric sentit alors que j'étais prêt à l'accueillir en mon sein et ôta ses doigts de mon cul. Après avoir déposer un baiser langoureux sur mes lèvres, il cracha dans ses mains pour mouiller sa queue et mon trou. À nouveau, deux doigts s'introduirent dans mon trou, mais avec plus de facilité que la première fois, pour en lubrifier les parois.

Il me tira au bord du lit et positionna mes chevilles sur ses épaules, sa queue était à présent contre mes couilles, dure, prête à me pénétrer.
À ce moment-là, il m'attrapa au niveau des reins, pour frotter sa queue contre ma rondelle et d'un coup sec essaya de l'introduire en moi. Une douleur vive et perçante me traversa alors le cul et se diffusa dans tout mon corps, comme si on m'avait déchirer l'anus. Je ne pus m'empêcher d'émettre un cri. Frédéric s'arrêta net et me caressa la queue et les couilles pour que la douleur soit dépassée par l'excitation et le plaisir, comme il me l'expliqua plus tard.

Quelques minutes passèrent, mon trou se détendait progressivement, et même si je pouvais encore ressentir la chaleur provoquée dans tout mon corps par la douleur de la pénétration, ma queue était toujours aussi raide sous les caresses de mon amant, et mon esprit s'était remis à désirer cette bite en moi.
Frédéric le comprit, il repositionna ses mains sur mes hanches et commença progressivement des petits va-et-vient pour parvenir à introduire, dans toute sa longueur, sa queue en moi.

La douleur n'avait pas complètement disparue, mais le plaisir de sentir mes couilles heurter son pubis était beaucoup plus puissant. Une goutte de préfoutre perla de ma queue, qui indiquait à mon partenaire que mon cul était prêt à s'offrir totalement à lui. Quel plaisir de le voir bouger des hanches et de sentir sa queue sortir quasiment de mon trou pour ensuite y replonger de plus belle. J'avais l'impression de la sentir de mieux en mieux au fond de moi, et que ses boules frappaient de plus en plus fortement mes fesses.
Frédéric me lima plusieurs minutes dans cette position, il aimait désormais sortir sa queue pour la replonger dans mon orifice un peu moins serré.

Il s'amusait parfois à me baiser, tout en me tenant les chevilles ensemble, à la verticale, ce qui lui permettait de s'enfoncer totalement. Ensuite, il se retira, me caressa quelques instants les couilles et la queue toujours raide et me demanda de m'allonger sur le côté droit dans la longueur du lit. Je m'exécuta, il vint s'installer à côté de moi, de façon à pouvoir me pénétrer, et m'entoura de ses bras. Sa bite n'eut que très peu d'efforts à faire pour entrer dans ma rondelle lubrifiée par la salive, qu'il venait de remettre sur sa queue. Il me fit plier la jambe gauche pour pouvoir avoir plus facilement accès à mon trou, et commença, tout en me limant de plus en plus rapidement et fortement, à m'embrasser au niveau de la nuque et à me caresser le torse.

J'avais l'impression que s'il continuait à me baiser comme cela, j'allais jouir sans même me toucher la queue. Quelle sensation intense ! Mais, visiblement, son projet était de prendre son pied dans une autre position. Après s'être laisser choir sur le dos, il m'ordonna de venir m'asseoir sur sa bite et de m'y empaler, pour qu'il déverse dans mon cul tout son jus. La pensée de son foutre blanc et épais, envahissant mon trou, m'excita encore plus, et me poussa à aller rapidement me positionner au-dessus de sa queue. Comme un con, je m'assis un peu brutalement sur sa queue et ressentis encore un pic de douleur mais qui passa rapidement grâce aux caresses qu'il prodiguait à mon sexe.

À présent, j'avais pris le bon rythme, et nous bougions tous les deux en osmose, pour faire entrer sa queue au plus profond de mes entrailles. Pendant ce temps, il avait commencé à me branler vigoureusement ce qui accentuait mon plaisir et mon excitation. Je pouvais voir la sueur perler sur son torse et son front, et le rictus, qui s'était installé sur son visage, m'indiquait qu'il était proche de la jouissance. J'accélérai alors le rythme de l'enculage et sentit rapidement son corps se convulser sous moi, et sa queue se contracter à l'intérieur de mon anus. Je sentis alors un liquide chaud se répandre à l'intérieur de mon trou, et cette image combinée aux caresses de Frédéric sur ma queue, m'entraînèrent vers l'extase. Ma bite se contracta et largua six jets de foutre qui atterrirent sur l'oreiller, la joue et le torse de mon amant.

Cette sensation était tellement intense, que je me sentais sur un petit nuage. J'avais toujours la queue de mon partenaire dans le cul, et je pouvais même, non sans plaisir, la sentir se rétracter progressivement en moi. Frédéric m'invita à le rejoindre et à m'allonger sur sa gauche, dans ses bras, ma tête reposant dans son coup. Il était à la fois tellement tendre et tellement excitant. Je me sentais totalement épuisé, j'avais chaud, le corps plein de sueur, tout comme lui, mais je me sentais si bien. Il était 12h30 et nous étions nus l'un contre l'autre, couverts et, en ce qui me concernait, rempli du foutre de ce beau jeune homme. Putain ! Cette année, les vacances s'annonçaient vraiment bien !

Vincent24aParis

Etudiant22aParis@aol.com

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