Les ordres de mon maître :Prêté par mon maître : Normalement les ordres de mon maître me viennent par mail, mais ce jour là c'est un courrier ce que je reçu avec un billet de train AR, en voici le contenu : Putain, Comme ordonné, le lendemain je m'épile et me fais un long lavement, m'habille légèrement, (pantalon de survêt, tee shirt, basket et bien sur sans slip ni chaussettes) prend un sac a dos et vais prendre mon train. Il est 22h lorsque je sonne à l'interphone. - allo ? Sans rien ajouter, la porte s'ouvre, j'entre et dans le hall et tout en regardant de chaque coté pour voir si il n'y avait personne je commence a me déshabiller, j'enfourne toutes mes fringues ainsi que mes baskets dans mon sac a dos et monte, je sonne a la porte et m'agenouille mains sur la tête. La porte s'ouvre, le mec me dit de rentrer. (En bon chien dressé je rentre à 4 pattes et me place à ses pieds.) Et referme la porte derrière moi. Alors je pris ma bite dans ma main et me suis branlé jusqu'à juter dans le verre. J'écartais donc mes fesses avec mes mains et pu sentir le plug rentrer dans mon fion. - allez maintenant suce moi salope, et comme il faut... Il se leva alla chercher un parachute qu'il fixa a mes couilles en y accrochant un poids, il se rhabilla pris la laisse et me dirigea vers la porte. Nous sommes sortis et descendu jusqu'à sa cave. Arriver a l'intérieure il détachât mes menottes de derrière le dos, me fit allonger sur le dos, m'attachât les mains au mur au dessus de la tête, me fixa des bracelets aux chevilles et une barre d'écartement qu'il relia au menottes, exposant ainsi mon cul bien en vue. Sortant juste sa bite de son pantalon il se plaça vers moi et me la présenta devant la bouche. Je me suis appliqué à le refaire bander et lorsque sa bite devint dure il m'enleva mon plug pour y enfourner sa queue d'un coup sec ce qui m'arrachât un cri de douleur. N'ayant plus la notion du temps je ne sais pas combien de temps je suis resté dans cette position avant d'entendre la porte s'ouvrir, j'ai entendu quelqu'un s'approcher de moi et une bite se poser sur ma bouche, déduisant que je devais la sucer, j'ouvris ma bouche et la fit bander. Puis la bite est sortie de ma bouche comme elle était venue, j'ai sentis le plug se retirer de mon cul remplacé par cette bite mystérieuse, il me labourant ainsi jusqu'à entendre le mec jouir de plaisir dans mon cul, puis toujours sans rien dire il s'est retiré et y a replacé le plug avant de repartir comme il était venu. Peu de temps après même scénario, j'entends la porte s'ouvrir, une bite sur ma bouche que j'ouvre pour la faire bander, le plug qui se retire faisant place a la bite que je venais de sucer, puis une main vint me tirer les cheveux et entendit : Ils étaient donc 2 ? J'avais alors maintenant une bite dans la bouche et une autre dans le cul, et ils me labouraient fortement avant de me larguer leur foutre, l'un dans ma bouche que je du avaler et l'autre dans mon cul. Il repartir sans oublier de me remettre le plug. Au total une quinzaibe de mecs se sont succédés à me baiser ainsi lorsque le maître des lieux vint me revoir en me disant que j'étais une bon vide couille et qu'il ferait un bon rapport a mon maître de cette soirée. Il me libérât de cette position mais m'enchaînât au mur, mains derrière le dos, toujours yeux bandés et plug dans le cul, fixé a mes couilles pour pas qu'il ressorte et il me souhaita bonne nuit avant de refermer la porte de la cave. Je ne sais pas combien de temps j'ai pu dormir mais toujours est-il que le maître vint me détacher le lendemain, (mais me rattachant les mains derrière le dos) et me refit monter a son appartement. J'ai alors du préparé son petit déjeuner, et pendant qu'il le prenait, mon rôle était d'être entre ses cuisses sa bite dans la bouche et attendre ainsi, puis, au moment ou il a allumé sa clope il m'a ordonné de le sucer a fond jusqu'à ce qu'il me crache sa purée dans ma bouche que je du avaler en guise de nourriture. J'ai passé ma journée à ses pieds comme un bon clébard, invitant 2 potes à lui pour leur servir de vides couilles avant qu'il me relâche pour reprendre mon train du retour. J'ai repris le train en serrant les fesses mais je n'ai pas pu retenir tout le foutre emmagasineé dans mon cul pendant tout le trajet, ce qui fait que j'ai souillé mon pantalon de sperme qui dégoulinait de mon cul jusque chez moi. lope91La suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |