De racaille à lopsa 2De retour du lycée, j'arrive devant ma tour, je monte dans l'ascenseur et arrivé au troisième étage, la porte s'ouvre, effroi et stupeur je tombe sur Roger le facho du troisième il avait du guetter mon retour par sa fenêtre. Je reste bouche béate devant ce colosse au crâne chauve et à moustache, il était simplement vêtu d'un débardeur plein de tache de sauce tomate avec un vieux jogging bleu qui devait sûrement daté de son service militaire et en sandales. Il me dévisage de haut en bas avec son air vicieux, il entre, les portes se referment et bloque l'ascenseur avec le bouton d'arrêt. Je n'ose rien dire, tête baissé, les bras le long du corps. Roger : Alors salope, on rentre de l'école ? Moi je n'ose rien... Roger : Je t'ai posé une question sale pute, réponds ordonna-t-il ! Le tout ponctuer par une énorme gifle. Je me retrouve écrouler dans l'ascenseur la joue en feu et je lui réponds... Moi : vas y bâtard qu'est-ce que tu fais, vas niquer ta mère, la voix serré. Roger : Petite salope, tu fais la fière, on va bien voir si tu vas continuer à me parler comme ça sale bougnoule de merde quand j'aurai afficher ces photos en grand format dans toutes les tours du quartier. Et là il me balança un dizaine photos de moi, sur lesquelles on me voyait accroupit sur le god ventouse le tout à poil, juste en basket et casquette. Roger : Alors écoute moi sale merdeux, si tu veux pas que je peux monter de suite montrer ces photos à ton père et à ta mère et je suis sûr que tes soeurs vont adoré aussi. Tu vas m'écouter. Moi : Non vas-y, fais pas l'enculer merde tu veux quoi à la fin ? Roger : Déjà tu vas me parler sur un autre ton connasse, pour toi ça sera monsieur roger me dit il en me balançant une nouvelle tarte à la face. J'étais en larme, dans l'ascenseur avec ce porc le tout avec des photos de moi à poil partout sur le sol. Moi : Avec une voix pleurnichante, mais qu'est-ce que voulez Monsieur Roger ? Roger : Hé bien voilà c'est déjà mieux, moi je veux faire de toi ma salope, ma pute, mon vide couille de bougnoule. Déjà tu vas me sucer la bite catin. Et la tout s'accéléra, il baissa son jogging en dessous il ne portait, rien et là apparu une chose énorme, on aurai dit un grosse courgette toute blanche, circoncise avec un gland aussi gros qu'une clémentine. Viens téter la bite à papa salope me dit-il. Je me retrouvais à genoux la gueule en larme, face à cette bite de poney. Par réflexe je recula mais il saisit de ses grosses mains ma tête, pinça mon nez avec le pouce et l'index de la droite et poussa avec tête avec la gauche. Malgré moi j'ouvris la bouche et je reçu son gland énorme. Je pouvais à peine téter un quart de sa bite, malgré mon grosse bouche, car il est vrai que j'ai vraiment un bouche très large. On n'entendait plus que les bruits de sucions. Roger : Ohhhh oui salope c'est bon, suce ça comme le god dans la cave, humm hummm, mais quelle bouche de pute, suce ma bite de français, putain, ooooh hummm ouiiii ho connasse je vais juter !!!! Il retira sa bite de ma bouche, m'ordonna d'ouvrir grand la bouche et de tirer la langue, j'obéis docilement au point où j'en étais, je voulais que ça finisse le plus rapidement possible. Et là, il m'arrosa, non que dis-je il m'inonda la face de sperme, au moins 7 à 8 giclées j'en avais partout sur le visage, les cheveux, le menton et évidemment la gueule. Il ricana on voyant ma face, et me dit : Roger : Voilà Hakim, t'es baptisé au jus de français, ahahaha. Ecoute moi salope, je vais pas le répéter, sinon tu sais ce qu'il t'attend, tu vas rentrer chez, toi, prendre une douche, t'épiler tout le corps et surtout ton cul de bougnoule, et tu viendras chez moi à 22 : 00 pile. Si t'es en retard, je montrai te chercher chez toi. Il ouvrit les portes de l'ascenseur sorti, se retourna et me cracha à la gueule en me disant à toute à l'heure, Hakim, ou plutôt Hakima bientôt. Je suis resté là sur le sol de l'ascenseur prostré, la gueule en sperme avec des photos de moi à poil gisant partout. En entendant du bruit qui venait des escaliers, je me suis dépêché de m'essuyer le visage avec mon sweat, j'ai ramassé les tofs et je suis rentré en coup de vent chez moi avant de m'enfermer dans la salle bain. J'avais le goût de son jus en bouche et en regardant les tofs, je me suis à bander c'était un truc incontrôlable. Je n'avais pas le choix, je devais aller chez lui, sinon j'étais foutu, ça aurait été la honte pour moi et ma famille. Je suis foutu à poil, j'étais pratiquement imberbe de toute façon pas de poil aux jambes un peu dans la raie et sous les bras. Je suis sous la douche savonnais et je me suis rasé complétement, je n'avais pas un poil et ma peau était toute lisse. En voyant mon cul de salope, je n'ai pas pu m'empêcher de me doigter, la téhon mais c'était plus fort que moi. A 22 : 00 h pile j'ai sonné à sa porte. Roger : Ah mais voilà ma pute d'arabe, allez Hakima ce soir tu vas prendre un cours pour devenir une bonne salope. Il me plaqua directement contre la porte d'entrée, et me roula une pelle tellement baveuse, que j'en avais sur le menton, il passa sa main sous mon jogging et senti mon slip, il recula et me gifla. Roger : Qu'est-ce que c'est que ça pouffiasse ? Dorénavant je ne veux plus jamais de voir en slip que ce soi, chez moi ou ailleurs. Allez file dans la sale de bain y a un cadeau pour toi. Moi : Oui Monsieur Roger. Sur un petit meuble de la salle bain, il y avait un sac avec des vêtements de femme, j'ai du mettre un soutif, rembourré avec des seins énormes en silicones au moins de 90 D par dessus un t-shirt moulant de gonzesses, celui que toutes les pétasse mettent,t-shirt en lycra tout blanc à manche courte. Stupéfaction dessus il y avait le drapeau d'Algerie, j'ai ensuite enfilé des bas blancs, mon dieu il avait des talons aiguilles d'au moins 8 cm tout blanc, et enfin une mini-jupe toute blanche en lycra aussi, mais elle était bien trop petite pour mon gros cul, elle m'arrivait au ras de fesses et en plus j'avais ma grosse bite de 20 cm sur 6 qui dépassait et me regardant sur la glace, je vous raconte pas l'image on aurait une pute portant des vêtements pour une fille de dix ans.Le blanc contrasté vraiment avec ma peau bronzé. Roger: Alors salope rapplique! J'essaie tant bien que mal à marcher avec ces talons, j'ai vraiment une démarche maladroite et chalouper, mon gros cul se balance de droite à gauche. Et ma grosse bite se balance aussi.Sans parler de ma grosse paire de seins qui détend à mort mon t-shirt le drapeau d'Algerie petit à la base à doublé de volume et ils rebondissent à chaque pas. Roger : Hooo putain ça c'est de la grosse vache de bougnoule hahaha. Allez approche viens voir papa. Hélas pour moi le pire rester à venir. Voilà pour la suite numéro deux, n'hésitez à me donner vos conseils pour la sutie numéro trois, vos kiffes et fantasmes. :) Hakimracaillette93@live.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |