Ras de maréeLundi passé, j'ouvre mes mails et je trouve un mec qui m'écris qu'il a lu mon histoire chez le kiné. Le mercredi arrive et je sors de chez moi après m'être douché et enduit d'huile chauffante pour me sentir bien. Je suis dans le métro. Je me dirige vers le parking, il me suit, je vais dans un coin tranquille où je sais qu'il n'y a pas de caméra et je m'appuie au mur, je remonte mon pull en découvrant mes abdos et mes pecs. Je la sturbe doucement en me caressant les pecs. Je lui fais signe de s'approcher mais il a peur. Il fait signe que non. Je lèche mes lèvres. Je bande comme un cerf. je me pince un téton et je gémis. Ce petit con n'ose pas approcher je vais jouir tout seul comme un idiot. Il pourrait me sucer la pine me caresser le torse, me faire ce qu'il veut. Quel petit con. Il se frotte la bite. Je rentre la mienne et je redescends mon pull. Je m'avance vers lui, il recule. Je lui dis: Et je marche sans me retourner; je ne sais pas si il me suis. J'entre dans un sexe shop et je descend vers les cabines vidéos. Il y a une douzaines de mecs. Des vieux lubriques, des arabes en manque et des hétéros qui me regardent quand même. Je m'installe sur un banc et j'attends. Au bout de 5 minutes je vois mon mec qui arrive. Il est affolé dans ce lieu sordide. Il me voit. Il s'approche. Je me lève et je me dirige vers une cabine pas trop petite. J'entre et je laisse la porte entre ouverte. Il regarde depuis dehors. Je me fous entièrement nu, lui découvrant la beauté sculpturale de mon torse bardé de muscles roulant sous ma peau imberbe et bronzée, mes cuisse énormes ciselées et mon sexe turgescent. Mes couilles sont pleines d'envie. Je me caresse langoureusement devant lui en me lèchant les lèvres. Il se masse la pine toujours coincée dans son fute. Je lui dis: il se décide et s'approche. Je le prends par le bras et je l'attire contre moi, je sens qu'il frissonne. Il est très ému. le contacte de mon corps musclé et nu contre lui lui fait pousser un grognement de plaisir. Je ferme la porte. On est tous les deux dans la cabine. Ses yeux sont fermés, il a peur et ça se voit. je pose délicatement mes lèvres sur les siennes et je lui entre ouvre la bouche avec ma langue. Il se laisse faire. Je mets ma langue dans sa bouche chaude. Il ne bouge pas. Je roule ma langue autour de la sienne. Il me prend dans ses bras et me sers. Il caresse mon dos, s'arrête sur les muscles le long de ma colonne vertébrale. Il arrive à la hauteur de mon cul, ma langue est dans sa bouche. Il masse mes fesses. J'écarte les cuisses, il masse sans oser toucher mon trou du cul. Je dirige sa main vers mon anus moite de désirs. je sors ma langue de sa tête et je dis: je commence a déboutonner son pantalon je le descends sur ses chevilles, j'ôte son slip. je découvre une pine 'environ 25 cm droite et dure, plantée sur deux énormes boules velues et visiblement pleines. il est super monter le mec. Je me penche et je met cette merveille dans ma bouche chaude et je le suce. Pas plus de 30 seconde et il me gicle sa purée dans la gorge. Il y en a des litres. ce putain de mec n'a pas jouis depuis deux semaines au moins. J'avale le tout. Je me mets debout et je le fout a poils. Il se laisse faire tout en me massant les pecs. Il n'a pas encore oser toucher mon sexe. On est tout nu. Il n'est pas beau, mais sa queue est superbe. Il bande encore. Je le masturbe en malaxant ses couilles. Il me prends la queue. Je dis: alors... il se baisse et me lèche le gland doucement comme si 'était un sucre d'orge . Il aime ca ce petit mec. Il malaxe mes burnes. Il lèche ma tige de viande. Il aime ça. Et tout a coup il se relève et ouvre la porte brusquement, il se tourne vers moi et me dit fermement: Il sort un flacon de poppers de je ne sais pas où, il en snif et me tourne le dos en écartant ses fesses. Il me présente son trou du cul et je présente ma teub devant son trou. Les vieux sont là et regardent en se branlant comme des fous furieux. Je me fou une capote et je mets du gel et je pousse pour entrer en lui, il est étroit, mais ça fini par entrer il grogne et m'insulte. Il se tortille sur mon pieux. Je l'enfile violemment comme une sale pute; Je m'acharne sur lui, il se tient aux montant de la porte et crie: Je n'en peux plus, je largue ma purée. Il se retourne, me regarde et ouvre la bouche. Des flots de ma jute en sort, se rependant sur le sol jusqu'à la hauteur des genoux des vieux qui lapent mon bon sirop de couilles. le mec en a qui lui sort même des oreilles et des narines. J'ai jamais jouis comme ça. Et ma queue est encore prête, raide comme un essieux. Je me branle devant le visage d'un vieux qui a la bouche ouverte et la langue tiré, il veux de mon breuvage couillu dans sa bouche. je lui éjacule dans la tête. C'est Niagara. Il y a des litres de jute qui saute des queues de tous ces hommes, un arabe se suce sa propre queue et se jouis en lui-même. Il avale sa crème qui fini par lui sortir du fion et de tous les orifices. Un hétéro nage dans le foutre. Et soudain un jeune culturiste entre et vient me lècher le torse, il titille mes tétons de salope. Nos vêtements sont tous englués dans la jute. Même si tu ne veux pas que j'en sois une, ton Pascal qui attend un mot de toi et qui veut ta queue au fond de son cul de pute de mec en feu. Pascalpascalsport@orange.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |