Aventure dans le RER CVendredi soir je vais rejoindre mon chéri à Jouy-en-Josas pour aller ensuite dîner au restaurant. Depuis le 17ème en transport à commun c'est une véritable aventure. Il me faut prendre le métro ligne 13 puis changer à Invalides pour le RER C direction Versailles Chantier via Juvisy. Dans Paris, il y a beaucoup de monde qui monte dans le RER qui est vite plein. A bibliothèque s'assied en face de moi un petit rebeu d'environ 18 ans tout à fait adorable. Il porte un jogging blanc absolument immaculé. La capuche de son sweat est rabattue sur sa tête. Il essaye d'arborer un regard de gros dure, mais vu la finesse des traits de son visage c'est plutôt raté. Autre chose intéressante, il porte son pantalon de jogging très bas, ce qui laisse apprécier presque 10 cm de son caleçon. A peine installé il joue frénétiquement avec son téléphone, je suppose qu'il chat pas SMS. C'est de son âge ! Il est tellement absorbé que je peux le regarder à l'envie sans qu'il ne me remarque. Il me distrait de ma lecture. Au bout d'un certain temps, tenant toujours son téléphone d'une main, il glisse son autre main sous l'élastique de son jogging et commence à se tripoter le paquet. J'insiste il ne se gratte pas les couilles, car il garde sa main posée sur sa queue. Putain il m'excite le con. J'aimerais bien remplacer sa main par la mienne, la glisser sous son pantalon, sentir sa bite de petit minet bien chaude entre ses cuisses imberbes... *** A mesure que nous progressons sur la ligne le wagon se vide petit à petit. A l'étage supérieur où nous sommes assis il n'y a finalement plus que lui et moi. Lui est toujours absorbé par son téléphone, et toujours une main sur la queue. Moi, je me concentre comme je peux sur ma lecture mais en fait je passe plus de temps à regarder son entrejambe qu'à lire. Enfin il lève la tête alors même que je ne m'y attendais plus. Il surprend sans peine mon regard appuyé sur son bas-ventre où sa main malaxe très lentement son paquet. Au lieu de fuir son regard je le fixe effrontément guettant de sa part une réaction ou bien attendant qu'il baisse le regard. Après tout c'est lui qui se branle dans le RER, moi je ne fais rien de mal, je n'ai pas à me considérer en faute. Et sur ces belles paroles il sort enfin la main de son entrejambe, écarte un peu les jambes, baisse la tête en arrière et ferme les yeux. Je bondis de mon siège et je m'agenouille face à lui. Je baisse un peu plus son pantalon de jogging et son caleçon jusqu'à mi-cuisse et je découvre sa queue bandée. C'est pourtant une petite crevette, mais il a une belle queue le petit salop ! Un bon 18 cm circoncise et bien épaisse comme j'aime. Mais je n'ai pas le temps de m'appesantir, je n'ai que 4 stations pour lui faire cracher son venin. Je prends sans tarder sa bite dans ma bouche. Putain c'est bon. Je le suce avec gourmandise me l'enfonçant jusque dans la gorge pendant que je lui tripote les couilles. Il gémit de plaisir. Il n'est pas farouche ce petit mec ! Se faire sucer comme ça dans le RER ! Le RER s'arrête en station. J'entends des gens qui montent puis des pas dans l'escalier qui mène au niveau supérieur où nous sommes installés et où je suis en train de pomper le plus jeune mec que j'ai jamais eu en bouche ! Je ne m'interromps pas au contraire. Je n'entends plus les pas pendant un moment puis je les entends s'éloigner. Là ou le voyeur malgré lui a fait demi-tour pensant que l'on avait besoin d'intimité. Je continue mon blow job avec toujours plus de vigueur. Quand j'ai sa bite à fond dans ma bouche mon nez vient frotter contre sa toison pubienne aux poils courts bien taillés. J'adore sentir l'odeur de petit mâle excité qui s'en dégage. Par moments je caresse l'intérieur de ses cuisses et surtout son petit ventre musclé et sans poil. Je glisse ma main sous son sweat pour aller pincer ses petits tétons. Il adore ça visiblement. Nous arrivons bientôt au bout du voyage. Il ne reste maintenant qu'une station. Je sens son corps se contracter. Il serre très fort ses petites mains aux doigts fins. Il crie et décharge plusieurs jets de sperme épais dans ma bouche. Je m'empresse de tout avaler. J'adore. Quand il a fini de se vider, je libère enfin sa bite de ma bouche me laissant une impression de vide plutôt pénible. Il se redresse, remonte son caleçon et son pantalon. Il me regarde enfin. " - Putain c'est l'extase comment tu suces mec ! C'est trop de la balle ! Faut que je descende là mais file-moi ton tel, j'ai trop envie de recommencer ça ! " Les portes se referment. Le RER repart. Je garde le goût de son foutre en bouche, le parfum de sa queue dans mes narines et le souvenir de son corps ferme sous mes caresses... Hyperionw01k74@yahoo.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |