Cyrillo

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Sans sommeil

C'était un soir où je n'arrivais pas à trouver le sommeil.
J'avais des pensées obscènes comme cela m'arrive parfois.
Je descends donc au salon pour allumer le pc et me connecte direct sur msn pour voir si mes contacts préférés sont connectés.

Heureusement je ne suis pas le seul à la quête d'un bon plan q pour soulager mes hormones. Cool, mon petit Damien est aussi là et visiblement a l'air bien chaud si on se fie à la photo de son petit cul qu'il a mise en avatar. Putain, mais c'est un appel au sexe qu'il me lance là. Etant tous les deux très chauds, le RDV est pris pour l'heure qui suit vers minuit chez lui.

Je fais vite un brin de toilette pour honorer mon mec d'un soir et ne pas trop l'asphyxier par mon odeur virile. Je m'habille donc en conséquence pour le plan. J'enfile vite un joli boxer noir avec un liséré bleu pour bien mettre en valeur ma pine d'éléphant, qu'il ne manquera pas de sentir, gober et engloutir. Je mets ensuite un jean qui moule bien mon cul musclé et un t-shirt aussi très près du corps.

Je suis prêt maintenant pour le départ. Je prends ma caisse pour aller direct chez lui, en pleine campagne.
Quand j'arrive devant la longère, tout a l'air éteint.
Je sors donc de ma caisse et me dirigeais vers la porte d'entrée avant d'entendre un bruit venant de la grange juste en face.
C'est alors que j'aperçois un filet de lumière qui filtre par le bas de la lourde porte et je comprends que le plan que je m'apprête à vivre va sans doute dépasser toutes mes attentes.

Je décide donc de pousser la porte coulissante et de pénétrer l'endroit de luxure.
Et là c'est le choc, mon Damien est allongé dans le foin et semble dormir.
Je dis bien semble parce qu'une seule chose le trahit : il a son putain de morcif super tendu dans son jean.
Il reste imperturbable au bruit que je fais et ne bouge pas d'un cil.
Je m'approche donc de l'objet de tous mes désirs et ne résiste pas à l'idée de m'allonger à côté de lui.

Je commence donc à le caresser tout d'abord sur son torse nu halé et merveilleusement sculpté par des années de sport intensif.
Je vois qu'il n'est pas insensible à mes caresses car il a les tétons qui pointent et il tourne la tête vers moi.
Quand il ouvre les yeux, je vois un tel désir que je ne résiste pas.
Je le fixe droit du regard et approche lentement ma tête pour atteindre ses lèvres chaudes et humides tout en continuant à caresser ses formidables pectoraux. Je sens comme un frisson qui me parcourt le corps tout entier quand il ose pénétrer ma bouche de sa langue plein de promesses. J'avale littéralement sa langue pour accentuer son désirs et vérifie instantanément l'effet que je lui fais en posant ma main sur sa braguette.
Je comprends alors qu'il m'appartient et qu'il ne pourra pas échapper à l'étreinte imminente qui aboutira inévitablement vers la jouissance extrême.

C'est là que les choses commencent à prendre tournure et s'accélérer.
Il est au comble de l'excitation, surtout quand j'ai commencé à mordiller ses tétons tous durs et que de ma main la plus habile, je me faisais toujours plus entreprenant sur son sexe turgescent.
Excité moi aussi, je dégrafe complètement son jean pour sortir sa queue et libéré l'engin dont la taille pourrait faire pâlir n'importe quel mec.
Je me jette avec avidité sur son sexe érigé et l'avale de toute sa longueur. Il a l'air d'apprécier parce que je l'entends gémir.
Le mec n'en peut plus et commence à tortiller du bassin en m'appuyant bien sur la tête pour que je lui fasse un fond de gorge.
Je manque de m'étouffer et ressors sa queue pour reprendre de plus belle et avaler entièrement sa queue.

Au bout de 5 bonnes minutes, je commence à lui caresser le cul. Il a un petit trou qui ne demande qu'à être dilaté.
J'arrête de le sucer un petit moment pour éviter qu'il jouisse tout de suite parce que le nuit ne fait que commencer.
C'est alors qu'il me demande de le défoncer.
N'en croyant pas mes oreilles, je le regarde à nouveau. Lui qui d'habitude est si timide, semble être complètement submergé par ce qu'il est en train de vivre.
Comprenant qu'il ne bluffait pas, je lui dis de s'allonger complètement sur la paille et de lever les jambes. Je me décide enfin à lui lécher la rondelle et avant qu'il ne se remette de la surprise, j'enfonce ma langue le plus profondément possible dans son petit trou de mec brulant de désir.
Voyant que sa queue étant hyper tendue, je ralentis un peu le rythme de mes coups de langue dans son cul.
Encore un peu de précipitation et il aurait giclé toute sa purée. Pourtant, je ne résiste plus à l'idée de l'enculer comme une pute.

C'est un mec génial, gentil et tout à fait respectable mais putain, c'est une vraie salope ce soir. Il a envie que je l'engrosse ou quoi ? C'est clair, il va être rempli au jus. Je vire mon jean et mon boxer. Pas le temps de retirer le t-shirt. Je suis tellement bandé que ma grosse queue est toute violacée.
Il va bien sentir mon calibre 22, ça s'est sur surtout que j'ai déjà positionné mon gland sur sa petite rondelle déjà bien distendue par mes coups de langue et ma salive.
Avant de continuer, je le regarde à nouveau amoureusement dans les yeux pour avoir le feu vert.
Ce que j'ai vu à ce moment m'a transpercé le coeur, ce n'est plus du sexe que je voyais ni de simple désir mais bien de l'amour et de la dépendance.

Depuis le temps que je suis amoureux de lui, il me fait enfin comprendre que lui aussi ressent les mêmes sentiments. Et là, la donne est changée. Je n'ai plus envie de le sauter comme une salope mais j'ai envie de lui faire l'amour et c'est par petits à-coups délicats que je m'enfonce doucement en lui. Je ressens un tel bonheur à ce moment là, que je lui déclare enfin ma flamme.

Au moment où je suis enfin au comble du bonheur et prêt à venir en lui, il me répond qu'il m'aime aussi. Ça déclenche en moi une telle émotion et un tel désir pour lui, que ma queue semble devenir comme du roc et glisser en lui avec toujours plus de rythme.

Je l'aime et je veux qu'il vienne en même temps que moi.

Après une bonne demi-heure de stimulation prostatique, je sens qu'il est prêt à se laisser aller enfin. J'accélère le rythme tout en l'embrassant sur la bouche puis dans le cou.
Je sens que je vais jouir et au moment où je sens son sperme me gicler sur la gueule, je décharge aussi ma semence en lui, profondément, dans son cul.

C'était un moment de bonheur extrême, que je n'avais encore jamais connu.
Cette nuit là, après l'acte d'amour, il a beaucoup pleuré dans mes bras, tout simplement parce qu'il était heureux et qu'il pensait que l'amour n'existait pas ou n'étais pas pour lui.

Nous avons pleuré ensemble de bonheur et depuis 7 ans, notre amour reste intact. Je t'aime Damien.

Gregderennes

s_rigo2000@yahoo.fr

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