Initiation au saunaJe n'y comprends rien, je ne me suis jamais fait baiser par un mec et pourtant j'ai mon anus qui bat la chamade. Il se contracte, il s'humidifie dans l'attente d'une intrusion. Mon bas ventre me fait mal, j'ai mon sexe qui est tendu, c'est clair, j'ai envie d'un mec. Je me sens prêt à tout, le désir est trop fort, trop impérieux. Je sors. Depuis longtemps, l'idée d'aller au sauna m'attire. J'ai lu dans des revues de sexe des récits de types se faisant sodomiser. A chaque fois, je constatais que ces lectures me procuraient un sentiment indicible, j'étais tout chose, pantelant. Je tentais d'imaginer ce que pouvait être le sexe d'un homme en soi ou à sucer. Puis, je me suis acheté mon premier god. Je me suis dépucelé le cul avec. C'était bon. Ensuite, j'ai essayé les poppers. J'aimais bien, je reniflais fort, tout en me pénétrant avec le god. L'effet était immédiat, à quatre pattes, la tête dans l'oreiller, les yeux fermés, je ressentais une grande bouffée de chaleur qui irradiait tout mon corps, avec une espèce de flash au niveau des yeux, dans le cerveau. Une poussée et le god lubrifié franchissait le sphincter. J'adorais quand je le sentais passer l'obstacle, que d'un coup il s'ouvrait de nouveaux horizons. L'impression était sublime. Me limer aussi. C'était trop bon. Je savais que mon cul était manifestement érogène. Mais je voulais un vrai sexe, chaud, vivant, actif dans mon cul. J'ai enfin osé. Je suis allé au Continental. J'avais le ventre noué en rentrant. J'avais l'impression d'être rouge de honte. J'ai payé, pris la serviette et la clé de mon casier. Je me suis mis nu, attachant maladroitement la courte serviette autour de mes reins. Et je me suis lancé à la découverte de l'établissement. Il se déclinait sur plusieurs étages. Il y avait des couloirs sombres avec des cabines ouvertes pour certaines. A l'intérieur, un type attendait un amant éventuel, d'autres étaient occupées avec des couples qui se caressaient à la vue de tous. Enfin, des cabines étaient fermées. De celles-ci, on entendait des gémissements et des halètements de plaisir accompagnés de bruits sourds et rythmés. Manifestement, des mecs s'enculaient à l'intérieur. Cette manifestation sonore provoqua en moi une érection vivace. L'endroit me plaisait. Je savais que j'allais me trouver dans cet antre un ou plusieurs amants. J'étais bien décidé à me faire sodomiser et si possible plusieurs fois. En découvrant au fur et à mesure les installations, l'excitation montait inexorablement en moi, je sentais les palpitations de l'anus qui devenaient de plus en plus impérieuses. Je découvrais le sauna où je restais quelques minutes. Puis ce fut le tour du hamann. Tout de suite, je sus que c'était mon endroit préféré. Avec cette vapeur qui envahissait la pièce au point qu'on ne voyait pratiquement pas les occupants. Il fallait s'approcher pour voir un visage, un corps. La chaleur humide saisissait tout le corps. C'était éminemment sensuel comme impression. Je remarquais des types en train de se caresser et de se sucer. Je m'installais sur une des banquettes de faïence blanche. Nu, le corps semi allongé, les cuisses ouvertes, offert aux regards. Je n'attendis pas longtemps. Un homme d'une quarantaine d'année se présenta devant moi. Je lui souris. Il posa sa main sur ma poitrine, à plat. Il caressa successivement mes deux seins. Sa main descendit, glissa sur le ventre humide. Tout en enserrant d'une caresse enveloppante mon sexe, il se pencha pour m'embrasser à pleine bouche. Je répondis à son baiser, mon premier baiser d'homme. Son autre main était partie en exploration sous mes fesses. Il titilla doucement l'oeillet avant d'enfoncer un doigts et plus deux dans l'anus humidifié par la vapeur. Je me contractais pour mieux l'enserrer en moi. C'était nouveau et surtout très excitant. Je me faisais branler la queue et le cul simultanément et j'avais surtout conscience que ma pose était obscène. Je bandais comme pas un. Il s'agenouilla et pris ma queue dans sa bouche. Ma première pipe. Et toujours, il me pénétrait avec deux puis trois doigts. Je n'ai pas pu me retenir, j'ai joui à longs traits. Le quadra a tout avalé. Nous nous sommes embrassés. Le goût de mon propre sperme dans sa bouche eut pour effet immédiat de me faire rebander. L'homme me proposa d'aller ailleurs, dans la salle vidéo qui servait de lieu d'orgie. On s'installa sur une banquette, dans une semi obscurité. Je me suis assis sur lui, sur ses cuisses, son sexe se glissant entre mes fesses. Nous nous sommes embrassés langoureusement. Ses mains, ses doigts partaient à la découverte de mon corps. Ma bite était devenue dure comme de l'acier sur son ventre. Je sentais sa chaleur. Il mordilla la pointe de mes seins. Je n'en pouvais plus de désir, c'était trop bon. Tout se passait merveilleusement bien, sans fausse note. Je découvrais, enfin, le plaisir de l'étreinte avec un homme. Je soulevais mes fesses. L'homme comprit le message. Empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit trou. Son gland s'enfonça doucement. Je contrôlais la pénétration. Il buta conte le sphincter. J'arrêtais la progression pour reprendre ma respiration. Je contractait le conduit anal en rythme pour mieux le détendre. Le gland progressa, il passa l'obstacle du sphincter, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de moi. Pour la première fois, j'avais un sexe d'homme dans mon cul, ses couilles plaquées contre l'oeillet. On s embrassa à nouveau, longuement tandis que je montais et je redescendais sur sa tige. Le baiser, la pénétration, et les caresses sur tout mon corps me firent défaillir. Je perdais pied, j'étais pantelant de plaisir. Ma jouissance montait progressivement. Elle irradiait tout le corps, le cul, le ventre. C'était incroyable et diablement bon. Avec l'homme, on éjacula ensemble. Je sentis dans mon cul, un puissant jet de foutre. On resta quelques minutes ainsi, lui encore en moi. Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la marque de la queue du type qui venait m'enculer. J'aimais cette sensation, d'avoir le cul ouvert au yeux de tous. Je me découvrais exhibitionniste. Quelques heures plus tôt, jamais je n'aurais soupçonné faire l'amour ainsi, quasiment en public. L'homme se dégagea. Il m'embrassa d'un léger baiser sur la bouche tout en me donnant une légère tape sur les fesses. Plusieurs fois, j'ai senti que des types regardaient. Mais ils n'insistaient pas. Je commençais à être déçu quand j'ai senti une présence. Un homme venait me rejoindre. Je plongeais mon visage dans mes bras repliés. Offert. Dans le petit espace, l'inconnu me rejoignit. Il me caressa la nuque ce qui eut le don de me faire frissonner. Il fit de même avec sa bouche tout en me caressant les fesses. Je découvrais que j'étais sensible des fesses, les caresses me procuraient un plaisir indéniable. Il me glissa un doigt dans le cul. Satisfait par le trou dilaté, il se positionna sur moi, pesant de tout son poids. Son sexe s'enfila sans problème dans l'anus lubrifié par le foutre du quadra. J'appréciais aussi cette position où j'étais abandonné à son étreinte. Il se souleva, les bras et jambes tendus. La pénétration fut différente. Il me souleva pour que je me mette à quatre pattes, en levrette. Il me chevaucha, ses cuisses entourant mes fesses, ma croupe. La pénétration était profon! de, puissante. Je râlais de plaisir. Un autre homme, attiré par mes gémissements, nous avait rejoint. Il s'était glissé devant moi, m'offrant sa queue. Je pris en bouche, le suçant au rythme des coups de butoir de l'autre inconnu qui me défonçait littéralement. J'étais aux anges. Les deux types éjaculèrent en même temps, comme s'il s'était donné le mot. Les deux jets de sperme dans ma bouche et mon cul me tétanisèrent littéralement. Un orgasme d'une sauvagerie intense me fit perdre toute notion du temps. Je ne bougeais plus, le cul toujours plus ouvert, évasé par les deux sexes qui m'avaient pénétrés. Les deux inconnus m'abandonnèrent. Epuisé, je fermais la porte de la cabine afin de me reposer. Je comptais bien ne pas m'arrêter en si bon chemin. Il m'a poussé légèrement me faisant comprendre d'avancer. Nous sommes rentrés dans la pièce obscure, lui toujours en moi. J'étais aux anges. Je me sentais obscène totalement d'être dans cette pose, le cul dilaté totalement par une bite sublime, en train de marcher à petit pas pour ne pas déculer. Il m'a dirigé vers le fond de la pièce plutôt qu'un matelas. Il s'est plaqué contre un mur et là il a commencé à me limer sérieusement, avec vigueur. Ses mains parcouraient mon torse, ses doigts titillaient mes seins, enserraient ma verge, flattaient mes couilles. Des types nous regardaient. L'un est venu se placer devant moi. Il a placé sa bite contre la mienne et m'a embrassé. J'ai répondu à son baiser. Il s'est accroupi et a pris mon sexe dans sa bouche. C'était délicieux comme impression. OrlaneRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |