Cyrillo

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Mon stage de sexe sous les serres

À l'âge de dix-huit ans, j'étais sacrément indécis dans tous les domaines. À cette époque, je me cherchais vraiment beaucoup mais que je ne trouvais pas grand-chose. Mes parents et mes profs s'arrachaient les cheveux concernant mon orientation scolaire et je n'arrivais pas à me décider. J'oscillais entre les Beaux-Arts, l'horticulture, le journalisme et la boulangerie pâtisserie...
Et tout le reste était à l'avenant, je ne savais pas qui j'étais ni ce pourquoi j'étais fait...
Comme il devenait urgent de choisir une voie, nous avions pris rendez-vous dans une école d'horticulture et il en était ressorti que le directeur me demandait de faire un stage dans une entreprise, avec un rapport à l'appui et qu'il verrait ce qu'il pourrait faire à la rentrée scolaire suivante.

C'est comme cela que j'ai commencé à travailler chez C., une entreprise familiale d'horticulture à L. que ma grand-mère connaissait très bien.
Monsieur C. était un homme assez bourru, mais qui avait un coeur en or. Sa femme, toute petite et toute rondelette, s'occupait plutôt du magasin. Leur fils François était marié à une jeune femme qui me fascinait. Elle avait des cheveux très longs auburn, était toujours très maquillée et s'habillait hyper sexy surtout pour une petite ville comme L. Il y avait aussi une fille C. qui aidait beaucoup au magasin, s'occupait des bouquets, des couronnes etc...
Le père C. m'avait tout de suite confié à François, son fils, en lui demandant de me prendre en main, de me montrer toutes les facettes du boulot et de m'aider pour faire mon rapport de fin de stage.

François avait vingt-huit ans. Je le trouvais plutôt beau mec, grand, costaud et bien assorti avec sa femme Annick. Je me disais qu'il devait prendre un sacré pied avec une bombe pareille...
À l'époque, je n'étais pas plus mûr question sexe que sur tout le reste Je flashais autant sur une nana sexy, bien foutue et maquillée à outrance, que sur un mec musclé et viril... En attendant, j'étais encore puceau et mes expériences sexuelles se réduisaient simplement aux nombreux fantasmes que j'avais développés...
Une chose est sûre, c'est que François ne m'inspirait rien du tout. Je le trouvais vachement sympa, mais c'est tout.
Les deux premiers jours, il me fit visiter les serres, m'expliqua le fonctionnement de l'entreprise et commença à me faire faire des petits boulots. Moi, je m'appliquais du mieux que je le pouvais et je commençais à penser que peut-être, j'étais vraiment fait pour ce métier-là.

Le troisième jour, François m'emmena avec lui dans une serre pour préparer les boutures de géraniums. Il me montra comment m'y prendre, puis me fit remplir les godets et planter les boutures qu'il préparait. Mais il commença à avoir un comportement curieux, qui me mit très mal à l'aise et que je ne comprenais pas. Quand il m'apportait les boutures, il passait son temps à me toucher. Au début, ce fut simplement les mains et je n'y fis pas du tout attention. Mais quand ce fut les épaules, le dos et jusqu'aux fesses, et que ça devint systématique, je commençai à me demander ce qui m'arrivait, ce que j'avais fait et si je rêvais ou pas... En plus, comme si de rien n'était, il continuait à m'expliquer diverses techniques de bouturages et de multiplication.
François en connaissait un rayon sur le sujet et il était passionné par son travail. J'étais pris entre l'envie de le rabrouer vertement ou le laisser continuer et tenter de mettre à profit tout ce qu'il pouvait m'apprendre. Je poussai un ouf de soulagement quand il me dit qu'il était l'heure de manger. Nous prenions tous le repas de midi en commun chez ses parents, y compris les deux ouvriers horticoles qui travaillaient dans l'entreprise. C'était sympa, il régnait vraiment une bonne ambiance.
L'après-midi, quand nous revînmes dans la serre François et moi pour continuer le boulot, je suffoquai complètement en y pénétrant. Il devait y faire au moins 35° et l'atmosphère était irrespirable.

François se mit à rire et ôta son tee-shirt : "C'est normal avec ce temps... Fais en autant, autrement, tu ne tiendras pas et pense à boire beaucoup..."
Je me mis torse nu et pestai de ne pas avoir pensé à prendre un short au lieu de ce jean qui commençait à me coller partout. François, lui, n'avait qu'un short très léger sur le dos. Nous reprîmes le travail, mais François ne tarda pas à recommencer le même manège que le matin. Si ce n'est qu'il me caressait de manière plus appuyée et qu'il était difficile d'avoir encore des doutes.
Je ne savais plus où me fourrer pour éviter son contact et je pensai même à un moment à tout plaquer pour ne plus revenir.

Il m'apportait une nouvelle cagette de boutures et se pressa carrément contre mon dos. On était tellement en sueur que je sentais sa peau coller et poisser contre la mienne. Il soufflait dans ma nuque et je crus sentir, horrifié, quelque chose de dur se presser à travers le tissu de mon jean au niveau de la raie de mes fesses.

- Tu t'y prends bien, il n'y a aucun problème, fit François dans mon cou. Mais il faut plus tasser la tourbe et faire attention à ne pas laisser de poches d'air pour éviter la pourriture...
Et il passa ses bras de chaque côté de moi pour me montrer comment faire. Mais se faisant, il se frottait contre mes fesses et me pressait fortement les hanches contre la tablette. J'étais complètement pétrifié et n'arrivais même pas à penser. François se déchaînait dans mon dos et je ne sentais que trop bien son sexe dur se frotter sans arrêt contre mon cul. À un moment, il souffla fort et bruyamment, puis se détacha de moi. Je jetai un coup d'oeil vers son short et j'en rougis jusqu'aux oreilles. Tout le devant était dégoulinant de sperme et je me passai aussitôt la main sur les fesses. Mon jean était englué de foutre et je m'en mis plein les doigts.

J'en avais des larmes aux yeux et tout se troublait devant moi.
Je ne vis même pas François s'approcher à nouveau. Mais il me prit par les épaules et demanda doucement : "C'est si désagréable que ça ? J'en ai besoin, je suis désolé..."
- Mais... et ta femme ? Soufflai-je.
- Annick ! Pff, une vraie salope à vous dégoûter complètement des gonzesses... C'est maladif chez elle, je ne connais personne qui ne lui soit pas passé dessus. Même toi, elle va tout faire pour te foutre dans son pieu, je pourrais le parier...
- En attendant, fis-je violemment, ce n'est pas elle qui vient de se soulager contre moi... C'est dégueulasse...
- Et merde ! s'écria François violemment. ...Cette salope ne veut même plus que je la touche... J'en suis malade... En plus, dans un bled pareil, tout se sait, on ne peut rien faire, rien vivre... On crève dans cette ville...

François se remit rageusement à son travail. Il était tellement hors de lui que je n'osai plus lui parler et ça dura jusqu'à la fin de la journée.
Sur le chemin du retour, je n'arrêtais pas de penser à François. C'est sûr qu'il m'avait choqué par son comportement, mais en même temps, il piquait ma curiosité au vif sans que je sache trop pourquoi. En fait, en y réfléchissant honnêtement, j'avais l'impression que ce que je lui reprochais le plus, c'est tout simplement de s'être servi de moi comme si je n'avais été qu'un simple bout de bois. Il ne m'avait rien demandé, rien dit et j'étais humilié qu'il m'ait utilisé comme il l'aurait fait d'un objet quelconque. Mais je ne pensais plus à tout plaquer...

Le lendemain, toute la matinée se passa sans que François n'ait un comportement équivoque en quoi que ce soit. Je me pris à penser qu'il lui était arrivé un simple accident et que cela ne se reproduirait jamais.
Mais cet après-midi là, c'est dans la serre aux chrysanthèmes qu'il me fit travailler. Il fallait pincer les plants et les passer à l'insecticide, à genoux ou accroupi et c'était très fastidieux. Il faisait moins chaud que la veille, mais suffisamment quand même pour que nous ne soyons qu'en short lui et moi. À un moment et sans que je l'ai entendu s'approcher de moi, je me retrouvai plaqué contre lui et il se mit à me peloter les fesses.
- Et merde, François, arrête ! M'écriai-je.
Il passa sa main dans mon short, m'attrapa la queue et commença à me branler. Je me débattais de toutes mes forces, mais il était sacrément costaud et il ne me lâchait pas.
- Arrête, sans ça je hurle et je déballe tout... continuai-je.
- Tu es vraiment sûr de ce que tu dis ? demanda François d'une voix ironique. Moi, j'en suis pas sûr du tout...

Et le salaud, il avait bien raison. Je bandais tellement dans sa main que je n'aurais jamais pu appeler personne pour ne pas avoir la honte d'être surpris dans un état pareil. François fit glisser mon short et se mit à me branler encore plus vigoureusement avec sa grosse main calleuse. Son souffle rauque me chauffait la nuque et le contact de son corps contribuait bizarrement à m'exciter beaucoup plus que je ne l'aurais voulu. Je me mis à décharger dans sa main. Il pressa mon gland et s'amusa à enduire toute ma queue avec mon foutre. Puis il finit par se lécher les doigts.
- Mais t'es vraiment dégueulasse ! M'écriai-je.
- Tu as tort de le prendre comme ça parce que toi aussi, tu vas savoir le goût que ça a...
Je ne comprenais pas, mais il se releva en me maintenant à genoux. Son short était complètement déformé par sa queue en pleine érection et il la fit aller et venir sur tout mon visage. Ça me paraissait être un sacré morceau et elle dégageait une odeur vraiment bizarre qui m'attirait et m'écoeurait tout à la fois.
- Alors, merde ! S'impatienta François. Ne me dis pas que c'est si difficile que ça, je ne te croirais pas...
J'attrapai timidement les bords de son short et le fis glisser. J'en avais la bouche toute sèche et j'avais les idées complètement confuses. La bite de François m'apparu énorme... vraiment rien à voir avec la mienne. Elle se dressait droite comme un I le long de son ventre. Son odeur indéfinissable s'était faite beaucoup plus forte et elle m'affolait un peu sans que je sache pourquoi.
- J'espère que tu comptes t'en occuper avant ce soir, fit François ironique, parce qu'elle ne pourra jamais attendre jusque-là...
Je saisis sa queue et la sentis vibrer dans ma main. "Enfin ! s'écria François. Dépêche-toi de me sucer... je vais pas tenir longtemps à ce train-là..."

Je pris timidement le bout du gland dans ma bouche et un goût douceâtre m'emplit aussitôt le palais. Pas vraiment désagréable, mais très bizarre. François m'enfonça sa bite plus profondément et commença à aller et venir dans ma bouche. Je sentis brusquement que j'avais moi-même un début d'érection et ça me bouleversa complètement. François accélérait sa cadence et me fichait son gland jusque dans la gorge. Ma bouche se remplit tout d'un coup d'un jus épais et abondant qui giclait par saccade. Je voulus me dégager mais François m'immobilisait la tête et je commençai à avaler son foutre. C'était âcre au début, mais ça devenait plus doux et même légèrement sucré au fur et à mesure que j'en absorbais.

François retira son sexe de ma bouche. Quelques gouttes laiteuses suintaient encore : "Tiens, fit-il, lèche un peu pour que ça recommence pas comme hier, où je m'en suis foutu partout...
Je suçai à nouveau son gland pendant quelques instants et il me lâcha pour remettre son short.
- Allez, fini la récré, y a du boulot à finir... et il se remit aussitôt au travail comme s'il ne s'était jamais rien passé.

Je recommençai aussi à pincer les plants de chrysanthèmes et j'étais furieux contre moi. J'aurais trouvé normal d'en vouloir à François et de partir immédiatement pour ne plus jamais remettre les pieds ici, mais je n'y arrivais pas. Ça me mettait complètement en rage et François me rappela même à l'ordre en me disant de surveiller ce que je faisais...
Le lendemain, je m'attendais à chaque instant à ce que François me saute dessus, mais comme la veille, la matinée se passa normalement.

C'est à nouveau dans l'après midi qu'il me surprit à un moment où je ne l'attendais pas. On travaillait à nouveau dans la serre des géraniums et on dégoulinait de sueur. J'étais en train de prendre une pelleté de tourbe dans le coin de la serre où elle était stockée en y formant un grand monticule. François était déjà sur moi et je me retrouvais à quatre pattes, le nez dans la tourbe chaude. Il arracha à moitié mon short et m'écarta les fesses. Je me débattais violemment mais je n'avais aucun moyen de lui échapper. Je sentis sa langue passer sur mon anus et j'étouffai un cri. Il m'écartela davantage et se mit à me lécher en me mouillant abondamment de salive. Je trouvais ça franchement dégoûtant et je cherchai par tous les moyens à lui échapper sans y parvenir.

Quand il força l'entrée de mon sphincter avec la pointe de sa langue, je sursautai et poussai un cri. Il me pénétra davantage et fit tourner sa langue pleine de salive. Je la sentais me fouiller le cul et m'ouvrir désagréablement. Puis j'entendis François se cracher dans les doigts et il m'en enfonça doucement un dans le corps. Il se mit à masser mes muscles et mon colon. Je n'osais même plus bouger de peur de me déchirer les chairs si je continuais à me débattre. Je sentais mon cul s'ouvrir plus grand sous les doigts de François et j'étais littéralement mort de honte. Il m'enfonça deux, puis trois doigts en les inondant de salive. Il ne me faisait même pas si mal que ça et en fait, il s'y prenait très bien, mais ça me remplissait de dégoût.

Quand François m'attrapa par les hanches et appliqua son gland à l'entrée de mon sphincter pour me pénétrer, je recommençais à gigoter dans tous les sens et à me débattre comme un beau diable.
François me dit simplement et très calmement : "Si tu continues, ça va te faire mal alors que j'ai tout fait pour éviter que tu aies mal. Mais c'est toi qui vois..."
Je me calmai aussitôt et François commença à me pénétrer. Tout mon corps se contracta aussitôt. J'attendais la douleur, j'étais sûr d'avoir horriblement mal et j'en avais une trouille bleue. Mais François s'y prenait d'une étrange façon. Il s'enfonçait imperceptiblement et j'avais l'impression qu'il me pénétrait pendant des heures et des heures et qu'il n'avait toujours pas fini de m'enfouir sa queue dans le corps. Mais à part cette impression odieuse d'avoir quelque chose d'étranger qui s'insinuait en moi, je ne ressentais aucune douleur.

- Tu vois, fit François, je suis complètement à fond... et je suis sûr que tu n'as pas eu mal du tout...
Il se mit à me faire coulisser très doucement sur sa bite et à me fouiller très lentement l'intérieur du ventre. C'était tellement lent que mon corps n'avait aucune difficulté à s'adapter et à épouser ce corps étranger. Et puis, petit à petit, il se mit à faire des vas et viens un peu plus rapides, un peu plus profonds... plus rythmés aussi. Je commençais à comprendre ce que le terme défoncé pouvait vouloir dire. J'avais bien l'impression d'être pilonné en profondeur et que cette bite me remplissait tout le corps.
Brusquement, je sentis un liquide chaud m'inonder complètement et François râla bruyamment. Il sortit aussitôt sa bite et continua à faire gicler son sperme sur mes fesses. Je sentais sa semence couler sur mon dos et le long de mes cuisses et j'en étais mort d'humiliation.

Quand François m'approcha fermement la tête de son sexe dégoulinant de foutre, j'ouvris la bouche sans même résister. Je le léchai et retrouvai ce même goût bizarrement âcre, sucré et doux de la veille. Mais j'y sentais aussi le goût de mon cul et je faillis vomir.
François me caressa la tête et me renversa brusquement dans la tourbe. Elle nous collait à la peau et on en était recouvert de la tête aux pieds. Je me demandais seulement quel supplice il allait encore m'infliger...
François s'allongea à plat ventre, me prit fermement la queue et se mit à la branler vigoureusement. Sa main calleuse et dure m'astiqua jusqu'à ce que mon jus explose le long de ma verge. Il appliqua alors juste le bout de mon gland entre ses lèvres entrouvertes et il pompa tout mon sperme sans qu'une seule goutte ne s'échappe de sa bouche.
Puis il remonta tranquillement son short et se remit au travail...

C'était le week-end et je ne travaillais évidemment pas. Mais il m'arriva plusieurs fois durant ces deux journées de repos de me demander si je ne devenais pas complètement fou. Les mains calleuses de François sur mon corps me manquaient. Son odeur aussi... je sentais parfois le goût de son sperme me remonter dans la bouche... J'oubliais complètement mon humiliation et je ne ressentais plus que le besoin de ses mains sur moi...

Je décidai de ne pas revenir le lundi et de prendre immédiatement un billet de train. Mais je n'arrivai jamais jusqu'à la gare et le lundi, j'étais à mon poste de travail...
C'est bien la première fois où, dès le matin, il porta directement les mains sur mes fesses et se mit à les pétrir sans vergogne. Et moi, c'est bien la première fois que je portai directement les mains à la braguette d'un homme et que je me mettais à lui pétrir la queue sans vergogne. François eut un mouvement de surprise, puis il sourit largement. "Il y a du boulot, aujourd'hui... fit-il narquois... Il y a deux jours de travail à rattraper et j'ai rien pu y faire du tout..."

Je m'agenouillai aussitôt et je m'emmêlais en voulant lui défaire la braguette trop précipitamment. François s'appuya contre la tablette et se laissa faire en respirant un peu plus fort. J'étais tellement impatient de sentir cette curieuse odeur qui imprégnait sa queue et qui agissait bizarrement sur moi que j'enfouissais complètement mon nez dans son slip et que je m'en remplis complètement les narines. Je savais maintenant que je raffolais littéralement de l'odeur d'une queue alors que celle d'une chatte m'avait toujours paru plutôt écoeurante...

Quand je baissai le slip de François, ce fut encore pire. J'avais tous les sens en ébullition... je bandais, je mouillais et j'en frémissais de la tête aux pieds.
Je me jetai sur sa bite et la suçai en la pompant à fond. François se contentait de me caresser les cheveux, bien campé sur ses jambes, sans dire un mot.
Sa verge se gonfla encore et une giclée épaisse fusa dans ma gorge et me remplit toute la bouche. Je lui pris la queue à pleines mains et me mis à la branler et à la presser comme pour en extraire tout le foutre et j'avalai goulûment tout ce que je pus.

François éclata brusquement de rire : "Bah dis donc, dire que ce week-end, j'ai eu des scrupules et je me suis dit que mon état de manque m'avait peut-être aveuglé et que je pouvais t'avoir traumatisé... J'ai pas arrêté de me poser des questions..."
- C'est vrai que jusqu'à maintenant, je ne savais pas par qui j'étais le plus attiré," remarquai-je en relevant la tête. Je me mis à rire aussi : "Une chose est sûre, c'est que j'adore ça..." et je lui pris à nouveau la queue à pleine main.
Elle se mit aussitôt à enfler et à durcir. "Merde ! fit François. Je suis tellement en manque qu'il va encore falloir me soulager..."

Il m'entraîna vers le monticule de tourbe et je me déshabillai prestement. Je m'y roulais aussitôt en riant : "J'adore ça... c'est tellement chaud, doux et léger, on dirait que c'est vivant..."
- C'est vivant, dit François en m'attrapant par les hanches. C'est même une matière noble pour moi... qui met des centaines d'années à se former...
Il forçait déjà mon sphincter et s'y prenait moins délicatement que la première fois. Ça me défonçait le corps et ça me faisait un mal de chien. "Détends-toi, fit-il en m'appliquant une grande claque sur les fesses. Plus on se contracte, plus ça fait mal..."
J'essayais tant bien que mal de me relâcher mais je sentais sa queue m'écarteler les chairs et s'enfoncer douloureusement tout au fond de moi. Puis elle se mit à coulisser dans mon corps à une cadence de plus en plus rapide. Je n'avais déjà plus mal et surtout, j'en avais envie de cette bite à l'intérieur de moi. Je sentais que je mouillais beaucoup et je me cambrai au maximum pour bien la sentir aller et venir et me procurer un sacré plaisir.

François m'inonda de semence et je trouvais cette sensation vraiment géniale. Quand il sortit de mon corps, je me jetais sur sa bite pour la nettoyer de tout son foutre, et le goût de mon cul ne me gêna même plus.
- Bon, on a perdu du temps... Mais c'est entièrement de ma faute..." et François se rhabilla rapidement et se mit immédiatement au travail.
Mais c'est moi, maintenant, qui pelotait François à chaque fois qu'il était à ma portée... et je ne m'en privais pas. Il faisait exprès, d'ailleurs, de me fournir des occasions de le tripoter. Lui aussi me passait souvent la main aux fesses ou me palpai les couilles, tout en continuant à bosser sur le même rythme.
L'après-midi, nous sommes retournés nous occuper des chrysanthèmes, mais un des ouvriers travailla avec nous jusqu'à la fin de la journée.
J'avais commencé depuis un moment à comprendre que dans ce boulot, c'est la loi du travail qui rythmait absolument tout. J'étais certain que François avait passé son week-end entier à trimer comme un malade et en fait, je n'étais plus certain du tout d'être vraiment fait pour être horticulteur.
L'ouvrier partit à 18 h et François me demanda aussitôt : "Tu veux bien faire un tout petit peu d'heures sup. ?"

Cette question ! J'allais carrément lui sauter dessus, mais il se mit à rire et me fit : "Viens... suis-moi..." et il sortit en courant pour s'engouffrer dans la serre tropicale. Quand j'y entrai à mon tour je ne le voyais pas mais j'entendis sa voix qui provenait du fin fond de la serre : "Alors ! Tu vas me faire attendre combien de temps ?"
Je le retrouvai à l'endroit le plus touffu, au milieu des monsteras, des philos et des bouquets de ficus. Je me jetai sur lui et fourrai mon visage dans sa poitrine. Je n'avais pas respiré son odeur de toute l'après-midi... Il sentait toujours un mélange de sueur, de terre et de végétaux avec en plus quelque chose de subtil que je qualifierais d'un effluve de mâle qui se dégageait de tout son corps.
Je sentais sa queue toute dure contre moi, et je passai ma main dans son short pour la caresser. Il soufflait et m'embrassa brusquement dans le cou. C'était bien la première fois qu'il m'embrassait quelque part et j'en fus vraiment heureux.

Mais François commençait à haleter bruyamment. Il envoya aussitôt voler son short et son slip et me déshabilla en un tour de main. Il me plaqua le dos au sol, dans la terre meuble et remonta mes hanches en les ramenant sur ses cuisses. Je sentis aussitôt que je mouillai et que mes fesses s'ouvraient largement. François me pénétra profondément et haussa encore mes reins pour se ficher plus loin dans mon corps. C'est la première fois que je le voyais en train de me prendre et j'y prenais encore plus de plaisir.

Il prit ma verge qui était en pleine érection et se mit à la branler en même temps qu'il allait et venait dans mon corps et me faisait coulisser sur sa queue. Je commençais à me tordre et à gémir doucement sous l'intensité du plaisir que je prenais. Pour la première fois aussi, mes hanches suivaient sa cadence et s'empalaient complètement sur sa bite quand il revenait au fond de moi.
François me pilonnait toujours plus vite et il me masturbait au même rythme. Je jouis en lui remplissant la main de sperme et je sentis ses giclées m'inonder tout le corps. Il porta sa main en coupe à ses lèvres, leva la tête et laissa couler mon foutre dans sa gorge. Ça lui dégoulinait des lèvres, tout le long du menton et jusque sur la poitrine. Il me fit un sourire narquois et se retira en s'allongeant au-dessus de moi, tête-bêche. Il prit mon sexe dans sa bouche et je me jetai sur le sien. Je suçai tout le sperme qui engluait sa queue et je continuai à lécher longuement son gland bien après qu'il soit parfaitement nettoyé.
François se redressa et sourit : "Excuse-moi pour les heures sup. Tu n'auras qu'à partir plus tôt un autre jour..."
- Fous-toi de moi, fis-je en riant. Je ferais bien des heures sup. comme ça tous les jours..."

Et c'est exactement ce que je fis durant tout le temps qu'il me restait à passer dans l'entreprise C. François m'offrit une éducation sexuelle complète et me fit découvrir ma vraie nature. Peut être que sa personnalité affirmée a déteint sur moi. Peut être que si sa femme Annick m'avait ouvert sa chatte, je serais un pur hétéro aujourd'hui. Qui peut savoir...

pierre75
SAPEURHOT75@YAHOO.FR

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