Le soi disant hétéro de ma classeBonjour tout le monde, je lis depuis longtemps les histoires du site et enfin je me décide à écrire une histoire qui me tient particulièrement à coeur, celle de l'histoire d'amour que je vis actuellement avec D. Nous nous sommes rencontrés lors de notre dernière année de lycée, en terminale littéraire, nous venions d'avoir tous les deux nos 18 ans. J'y étais depuis 3 ans et lui arrivait. Il faut dire que la venue d'un nouveau garçon dans une classe de fille principalement était la bienvenue. Passons... D. est donc un petit nouveau, arrivant tout droit d'un pauvre bled pommé dans notre grand lycée à Lyon. La première fois que je le vois, un frisson entier me parcourt et je ne peux m'empêcher d'avoir un coup de chaud à chaque fois que je le vois. Pendant les premiers jours, je ne lui parle pas spécialement bien qu'il soit très ami avec une de mes amies. Puis enfin, nous commençons à bavarder ensemble. Il se révèle alors très gentil, attentionné, drôle, et tiens parfois pour m'embêter des propos homophobes. Il en tient alors tellement que j'en viens à me demander si finalement il n'essayerait pas de se refouler. Nous devenons très amis, passons beaucoup de temps ensemble, on s'appelle beaucoup : on dirait un vrai couple. Il me dit même des fois qu'il m'aime pour plaisanter et m'envoie toujours un petit bisou avec ses lèvres lorsque j'ai la bonté de lui rendre un service (sauf d'ordre sexuel, l'occasion ne s'étant alors pas présentée). Un soir, une soirée de lycée est organisée. Habitant loin, il me demande si je peux l'héberger. Bien entendu, sans aucune idée derrière la tête, (quoique...) j'accepte volontiers. La fête se passe très bien, mais bizarrement, lui qui ne danse pas beaucoup (contrairement à moi qui passe mon temps sur le dance-floor) ne cesse de me fixer en me lançant des sourires d'anges qui me font toujours craquer (et il le sait...). Vers 3h30 du matin, nous rentrons chez moi, puant la clope, mais évidemment très sexy, lui habillé pour trouver une fille et moi un mec, mais nous sommes revenus tous deux seuls. Bredouille, nous nous couchons rapidement et commençons à discuter, bien qu'un peu fatigué. Mon lit deux places me paraît alors beaucoup moins vide et je sens que sa présence ne m'est pas indifférente. Je pense alors à lui, beaucoup, pendant qu'il me parle et je réalise alors que mon sexe est au garde à vous. Heureusement, la lumière est éteinte. Et comme je n'écoutais pas ce qu'il disait, voulant me toucher la jambe -croyant que j'étais endormi-, il effleure mon sexe dur. Il ne dit rien. Je sens alors sa respiration contre moi, il s'était approché pour voir si je dormais. Il se recouche sur le dos, toujours sans un mot. Quelques instants plus tard, il me dit finalement "Bonne nuit". Je lui réponds. Puis je sens tout d'abord un doigt timide m'effleurer l'épaule. Il insiste ensuite et c'est toute une main qui me caresse le dos. Je n'en reviens pas... D. que je croyais pourtant totalement hétéro aurait il ce soir un faible pour moi ? Ses mains parcourent mon dos et finalement je me retourne et me rend comte qu'il est si près de moi, qu'alors nos lèvres se touchent. Puis, nos bouches s'appuient et s'ouvrent l'une contre l'autre, nos langues se touchant tendrement et sensuellement. Il m'entoure de ses bras et je me mets couché sur lui. Lui sur le dos, continue à caresser mon dos. Je crois rêver mais je me laisser aller à ce rêve si délicieux, à ce moment que je n'osais plus espérer. Notre baiser dure et dure ; je ne peux plus me détacher de lui. Puis je reprends mes esprits, sur lui, je me rends compte que je ne suis pas le seul à bander. Lui aussi bande totalement et je n'imaginais pas qu'il serait aussi bien doté. Alors, je descends ma langue le long de son cou, il frissonne, je sens qu'il n'est pas sûr qu'il est perdu, mais je suis là pour le guider à travers cette découverte du plaisir entre hommes. Je descends doucement jusqu'à ses tétons. Je les lèche un par un doucement, avec ma langue, et je sens D. gigoter totalement, gémissant de plaisir. Mon dieu ! Il n'a encore rien vu ! Il me regarde avec ce même petit sourire qui me fait craquer et que je perçois avec la lumière de la lune. Quel délice, messieurs, quel délice ! Sentanta alors l'explosion proche, je décide de l'arrêter. Puis il me demande s'il peut me prendre. J'accepte. Il enfile une capote pendant que je saisis le lubrifiant. Une fois prêt, il commence à s'introduire doucement, et sans douleur, je l'accepte dans mon antre. Son chibre, fort, transperce mes entrailles dans un plaisir resté inavoué et indescriptible. Parvenu au maximum, son visage détendu est celui du plaisir et de ce que j'appellerai le "vrai pied". Je le voyais dans ses yeux, être en moi lui faisait autant de bien qu'il m'en faisait. Il commença alors à me limer, je le sentais aller et venir en moi. Sa respiration et son rythme qui s'accélérait. Je perdais la notion du temps, je perdais la notion du lieu. Le 7ème ciel était à portée de main. Il gémissait de plaisir tout comme moi. Sur le dos, je ne pouvais que ressentir au plus profond de moi, le chibre qu'il enfonçait dans mon intimité, alors que D était sur moi. Le plaisir durait, son coup de reins était magistral, ses boules frappaient contre mes fesses. Je le sentais au plus profond de moi. Alors, je bandais fort, toujours pas remis de la pipe qu'il m'avait taillée auparavant. Soudain, la cadence s'accéléra, les coups étaient plus puissants, plus déterminés, les gémissements plus fort, et des gouttes de sueur perlaient sur son front : l'explosion n'était pas loin. Moi aussi j'allais jouir. Et comme dans un fantasme, il se retira, retira sa capote et se branla sur moi pour jouir sur mon torse. Je fis de même. Il laisse échapper ce cri de plaisir que vous vous plaisez tant à entendre. Alors il joui et son sperme vint s'écraser sur mon ventre, tandis que je giclais également. Nos spermes se sont donc mélangés sur mon ventre. Il fit alors la chose la plus inattendue. Après un baiser langoureux, il me lécha le ventre tout entier (le gourmand...) et vint, une fois sa tâche terminée, déposer un léger baiser sur mes lèvres, dont le goût salé mais délicieux se fit sentir. Nous finîmes finalement la nuit dans les bras de chacun. Quel paradis ! Nous ne parlions pas, le silence était complet. Le trouble de notre acte d'amour laissait alors place à une sérénité et une joie intérieure. Puis il brisa le silence : Salocin Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |