Cyrillo

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Une soirée en boite.

Les boites de nuit, c'est vraiment pas mon trip. Mais ce soir-là, j'ai accompagné un pote en pleine séparation d'avec sa copine. Il voulait sortir pour se changer les idées. J'ai suivi...
Au bout d'une heure d'ennui et trois bières avalées, j'ai pris la direction des toilettes.

En chemin, je croise deux mecs, deux musclors transpirants qui faisaient manifestement un concours du plus con en lançant des commentaires sur les gens présents dans la boite.
Je venais de me soulager et de me rafraichir, lorsque je me trouvai nez à nez avec l'un des deux gars en question. Son pote était juste derrière avec un sourire qui ne présageait rien de bon.


- Dis donc mec, t'as demandé la permission à qui pour venir dans ces chiottes ?
- Pourquoi ? bredouillais-je sans trop savoir si c'était sérieux. Il faut une permission pour venir pisser ici ?
J'esquissais un petit léger sourire, un peu pour me rassurer et tenter de détendre l'atmosphère. J'entrepris de contourner le mec pour sortir.
- Excusez-moi, je dois y aller...
- Ta gueule !

me poussa en arrière d'une main. Ce qui me fit reculer contre son pote qui ne tarda pas à me tenir les bras pour m'immobiliser.
- Faut que tu paies le prix maintenant, me lança l'autre en se continuant à se marrer et en me planquant le dos contre son torse. Je sentais déjà sur mes fesses une bosse bien rigide dans son pantalon.
Le mec en face de moi se retourna en sortant un trousseau de clés de sa poche et verrouilla la porte des toilettes.
- Hey ! Vous faites quoi, là ?
- On t'a pas déjà dit de la fermer, salope ?

En rangeant les clés dans sa poche, le mec s'avança vers moi et me mit d'entrée la main au paquet pendant que de l'autre me tirait les cheveux en arrière, plaquant ainsi ma tête contre son épaule. Je pouvais sentir leur odeur virile. Je commençais à transpirer...

- Tu vas commencer par nous sucer et, si tu fais ça bien, peut-être qu'on te baisera en douceur.
Le mec derrière moi me força à m'agenouiller devant son pote qui était en train de défaire sa ceinture de pantalon. Il dégrafa ses boutons de braguette et sortit une queue à moitié bandée mais déjà très volumineuse. Il me la mit dans la bouche en appuyant ma tête contre lui.
- Vas-y ! Suce-moi la bite, salope ! J'ai envie de gicler !
J'ai senti sa queue gonfler dans ma bouche. Ce n'est que quand elle a atteint sa taille et sa raideur maximale qu'il commença à bouger son bassin pour me baiser la bouche avec des va-et-vient dépourvu de toute douceur.
- Et tu fais pas de connerie, t'as compris ? Tu suces et tu t'appliques !
Son pote, relâchant son étreinte derrière moi, s'accroupit et commença à défaire mon pantalon. Puis il y glissa une main pour me rentrer un puis plusieurs doigts dans mon trou.
- Tu mouilles déjà, salope, me susurra-t-il, approchant sa bouche de mon oreille.
Celui qui me baisait la bouche se mit à gémir en poussant des râles virils.
- Ouais, ma salope, tu vas me faire jouir ! Ouais... Et je pris tout son jus au fond de ma gorge. Comme il ne s'était pas retiré, j'ai été forcé de tout avaler pour ne pas m'étouffer.
- Mais dis donc, on dirait qu'elle aime ça en plus. Elle a tout avalé.
- Elle a intérêt d'aimer ça parce que c'est mon jus qu'elle va avaler maintenant.
Ils se mirent à rire ensemble. Celui qui était derrière moi me fit pivoter vers lui et me fourra directement sa queue dans la bouche.
- Ah ! Putain, c'est bon ! C'est pas Valérie qui me sucerait comme ça !
Et ils rirent de plus belle.

L'autre, visiblement pas entièrement satisfait de s'être soulagé dans ma bouche, entreprit de s'intéresser à mon cul. Il me prit par les hanches et me fit mettre debout, me faisant lâcher pour le coup la queue que j'avais en bouche. Il me fit pencher le tronc vers son pote qui me prit la tête entre les mains pour la diriger à nouveau vers sa queue. Il me serra la tête dessus, me forçant à engloutir son sexe prêt à éclater. Je me tenais à ses hanches pour ne pas tomber. Le mec derrière moi me fourra sans précaution pendant que je m'occupais ainsi de son pote. J'étais déjà bien lubrifié et ses doigts avaient préparé le terrain. Sa pénétration se voulait féroce mais, en réalité, je l'accueillis avec plaisir. Ils déchargèrent presque en même temps. L'un dans ma bouche et l'autre dans mon cul.
- Tu vois, on n'a pas été méchants, dit l'un d'eux en se rhabillant.
- On va même te laisser le temps de te rhabiller comme il faut avant d'ouvrir la porte.
- Ouais, faudrait pas donner des idées à d'autres mecs. Faudrait pas qu'ils mélangent leur jus au nôtre.

Ils se mirent à rire bêtement. Quand j'ai eu fini de me rhabiller, celui qui avait les clés ouvrit la porte, me lança un clin d'oeil, et ils sortirent sourire aux lèvres. Je rejoignis mon pote sans rien oser dire de ce qui m'étais arriver. J'affichais moi aussi un grand sourire...

Starbuck

starbuck_69@hotmail.fr

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