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Soumission / Domination 176

Théo, WE en amoureux.

Un des derniers WE avant la grande Touze, je me fais un exclusif avec Théo, à sa demande. Ce p'tit con arrive presque toujours à ses fins ! Comme Marc est une nouvelle fois en déplacement, j'ai du temps libre.

Quand j'arrive pour le prendre le vendredi soir, j'ai la mauvaise surprise de me faire ouvrir la porte par son père.
Grand type, 50aine bien conservée, il me serre la main et m'invite à entrer.
Avant que je n'ai pu ouvrir la bouche, il me dit que Théo l'avait prévenu que le grand frère de son copain allait passer le chercher. Il me dit d'être prudent sur la route et me laisse seul. Deux minutes plus tard, c'est sa mère qui déboule dans le hall d'entrée. Belle femme dans le type d'Emma (grande bourgeoise), très à l'aise, elle me demande de faire attention elle aussi.
Mais avant de s'éclipser, elle admire ma combi, me demandant si c'était bien du cuir. A ma réponse positive, elle passe sa main dessus. J'ai même droit à une main au cul qui glisse sur mon paquet mis en valeur par ma tenue, et de me l'empoigner tout en me disant qu'elle saurait quoi en faire.
Je pique un fard, ne m'y attendant pas d'une personne que je ne connaissais pas 2 minutes plus tôt.
Elle trouve mignon ma réaction, si elle savait, elle sourirait moins !
J'attends toujours Théo quand son père revient me dire qu'il sera prêt dans 5 minutes. Il reste avec moi, me questionne sur ce que je fais. Je l'étonne quand je lui dis que je suis paysagiste à mon compte. Puis sautant du coq à l'âne, il me parle moto, et m'avoue avoir toujours fantasmé sur les tenues des motards. Sans que j'ai pu l'en empêcher, il me met lui aussi sa main au paquet. Je bande ! Et ce salaud le sent bien qui me le malaxe.
Puisqu'il a l'air libéré, je l'attrape par le cou et rapproche nos visages pour lui rouler un patin. Ce con ne s'écarte pas et me rend ma pelle.
Je sais maintenant d'où vient l'aplomb de Théo, c'est une caractéristique héréditaire !

Il me glisse sa carte professionnelle et me dit de prendre contact avec lui. Il aimerait refaire le jardin de la maison et y ajouter une piscine.
C'est le moment où Théo arrive avec son sac minimum avec sa mère sur ses talons.
De nouveau des prescriptions de prudence.
Quand nous montons en selle, Théo me dit qu'il n'y comprend rien, que d'habitude ils ne sont jamais là et qu'ils se foutent bien de ce qu'il lui arrive. Quand nous partons, ils sont encore sur le perron de la maison à nous faire signe de la main.

Nous passons tout le WE à la maison. Bronzage au bord de la piscine, baise aussi, le tout avec Ammed et Samir pour le service. Jimmy est quant à lui en " location " les deux jours chez André (mon banquier, le père de Ric). Avec lui je n'ai aucune crainte.
Entre sa bouche et son cul, je crois bien que ma bite a du passer presque la moitié du WE dans Théo !
Mais tout au fond de ma tête trottait le comportement de son paternel et de sa mère !
Leurs attitudes avaient été très claires. Me toucher ou malaxer le paquet c'est quand même direct et compréhensif comme message !
Je me demande si je ne vais pas finir en " jambon " entre les deux !!
Elle d'après ce que j'ai pu en voir à l'air très bien conservée pour son âge, pas de ride, la peau encore bien tendue (ou retendue) au décolleté. Lui, la 50aine sans ventre, plutôt sportive selon ce que j'ai senti sous le costume quand je l'ai embrassé.

Il n'empêche, Théo est insatiable. Il n'a pas fallut longtemps pour qu'il ne réagisse plus aux allées et venues de Samir et Ammed même lorsque nous baisions. Je pense que la moitié de nos baises ce WE là ont été des viols de sa part. N'ayant pas les contraintes des hôtels, nous avons fait l'amour à chaque fois que je bandais ou qu'il me faisait bander. J'ai perdu le compte dès le premier soir ! Il a acquit maintenant une bonne pratique de la gorge profonde et sait parfaitement jouer de sa glotte pour me masser le gland.
Quand à son cul, un bijou ! Il sait le garder ferme avec un anneau bien nerveux comme j'aime. Une rondelle qui se laisse perforer mais avec retenue. Un anus qui, malgré mes nombreux va et vient, sait rester fermement collé autour de ma queue.

J'ai fini le WE les couilles à sec comme jamais je ne l'avais été, même dans les grandes touzes passées. Il faut dire qu'avec Théo je ne suis qu'actif.

Quand je reconduis Théo le dimanche soir, ils sont là à nous attendre. Théo les insulte en aparté car il ne va pouvoir me rouler un patin et me glisse qu'il ne les comprend plus. Montée du perron, ils embrassent leur fils et lui disent d'aller défaire son sac. Je vais pour m'éclipser après les avoir salué quand ils me retiennent en me demandant si le WE s'était bien passé, si Théo s'était bien tenu.
Cela me fait sourire, je ne peux pas leur dire qu'il est une parfaite petite salope et que ma bite à été à la fête pendant deux jours !
C'est à ce moment là qu'elle me colle et, son visage à 2 cm du mien, me demande si j'aime aussi les femmes. Sans attendre ma réponse elle écrase ses lèvres sur les miennes et pousse sa langue entre mes dents.

Je la repousse doucement et leur dit que oui j'aime la baise avec les deux sexes mais qu'avec moi c'est tarifé.
Il sont surpris. Le père de Théo réalise plus vite que sa femme. Il me demande mes tarifs, on reconnaît là l'homme d'affaire ! Je leur donne le chiffre pour une personne seule et le prix pour un couple. Il s'étonne que ce soit plus du double. Je leur glisse alors qu'avec moi, il n'y a ni rabais, ni soldes, ni séance gratuite au bout de 10 passes.
Monsieur me demande combien je suis monté. Mes 20 x 5 ont l'air de leur convenir. J'en suis même sûr quand elle s'écrie que c'est un cm plus gros que les godes qu'ils utilisent.
Par politesse, je lui retourne la question. Il m'avoue un 19 par un peu plus de 5. Je leur demande s'ils se sont déjà fait sodomiser. Réponse positive pour elle qui me dit qu'il l'encule régulièrement et négative de lui. Je me penche en avant, lui effleure les lèvres avec les miennes et lui souffle qu'il va aimer cela.
Il me demande si je suis libre dans deux jours. Rapide remémoration de mon planning, à part les conduites de Jimmy que Samir peut assurer, je peux me dégager. Théo est étonné de me voir encore en discussion avec ses parents alors qu'il redescend de sa chambre 1/4 d'heure plus tard.
Il me raccompagne à ma moto et ne peut s'empêcher de me sauter au cou et de me rouler un patin. Je lui dit d'arrêter, qu'il va mouiller son slip. Il me quitte en me disant que c'est trop tard, que c'est déjà fait.

Quand je rentre à la maison j'appelle Marc et je lui raconte tout comme toujours. Il est mort de rire à l'autre bout du fil. Je lui dis que je vais tenter le coup, après tout ce n'est qu'un travail pour moi, il n'y a pas de sentiment, pas comme avec lui ou même Théo. Ce n'est qu'au bout d'1/4 d'heure que je lui demande si lui ça va.
Il me dit alors qu'il est allongé sur son lit et que le garçon d'étage est en train de le caresser et le sucer avec beaucoup de dextérité. Je le fais le décrire et reconnais là les goûts de mon homme. Il me dit qu'il va bientôt couper car il va passer à la phase enculage. Je l'embrasse et me retrouve seul bandant au film que je me fais de Marc avec sa conquête.
Je croyait que je ne pourrais plus bander de la soirée avec tout le jus que m'avait fait produire Théo mais ce n'était pas le cas !

J'appelle Samir et lui demande si Jimmy est rentré. Réponse positive, je lui demande de me l'envoyer. Quand il voit mon shorty déformé, il sait pourquoi j'en ai besoin.
5 minutes plus tard Jimmy était devant moi en short spécial (décousu à la couture arrière), tout frais sortant de la douche.
Il me saute au cou pour me remercier du WE. Quand je lui demande si c'est pour l'argent qu'il a pu mettre de coté, il me détrompe en me disant que c'était pour la méga-bite d'André et de ses pratiques perverses. Je lui demande lesquelles, soudain effrayé de ce qu'il aurait été trop loin.
Il me rassure en me parlant de bondage, menottes, godes... ouf rien que de très " normal " pour un mordu du sexe.

Il est assis sur mes cuisses et sent bien la barre qui déforme mon boxer. Il glisse au sol et se retrouve entre mes genoux. Il tire mon boxer et au fur et à mesure qu'il dévoile mon sexe, il le recouvre de sa bouche. Quand le tissu passe sous mes fesses et mes couilles, mon gland joue entre ses amygdales. Je ne saurais maintenant me contenter d'une simple pipe ! Ou alors uniquement d'un mec en formation. Mais ce qui est sûr c'est qu'il faudrait alors qu'il progresse vite !
En attendant je me délecte grâce à l'élasticité de sa gorge. Il a complètement retiré mon shorty et j'écarte les jambes pour pouvoir s'occuper aussi de mes couilles.
Là, il y va doucement, elles sont hypersensibles d'avoir du produire du sperme presque deux fois par heure pendant plus de deux jours. Il les prend en bouche toutes les deux, les fait rouler doucement avec sa langue avant de refaire le vorace sur ma bite.
Je lui dis/demande si c'est ce genre de traitement qu'il a fait au sexe d'André. La bouche pleine, il me fait un signe de la tête. Je lui dis qu'il a du apprécier. Là il redresse la tête et me dis qu'effectivement ça l'a bien fait durcir.
Je pose ma main sur son crane et pousse pour le faire se re-empaler la bouche sur ma queue.
J'ajoute ma deuxième main et maitrise le mouvement. Une fois, je reste au fond un peu trop longtemps et le fait tousser, sinon je lui lime la gorge un bon moment, cessant tout mouvement dès que je sentais le jus monter.

A genoux devant moi, Jimmy ne pouvait s'empêcher de tortiller du cul. Penché en avant, j'ai tendu le bras pour pouvoir glisser mes doigts dans sa raie.
J'ai testé son anus élastique. J'y entre un puis deux doigts facilement. Je lui demande de serrer. Il emprisonne alors mes doigts au point que je ne peux les retirer.
Je suis content et le lui dit. La plus part des mecs ne souhaitent pas retrouver la béance d'une chatte en lieu et place d'un anus bien nerveux.

De lui-même, Jimmy se, redresse, me kpote et saute sur mes cuisses, ses genoux de chaque coté, sur le canapé. Il se redresse une nouvelle fois et s'asseye cette fois sur ma bite.
Raah que c'est bon ! Il descend tout doucement serrant bien son anneau pour que je sente chaque millimètre de son boyau. Moins de fraicheur que Théo mais un savoir faire diabolique !
Jimmy avait un " inné " prometteur qui s'est agrémenté de toutes les expériences sexuelles glanées auprès de mes clients. A y réfléchir je crois que nous allons pouvoir augmenter ses prestations. Pour ne pas l'oublier j'appel de suite André.

C'est Ric qui répond. On cause 5 mn il me demande si ça va et comme je lui dis que Jimmy est sur ma queue, il en déduit que oui, ça va. Il me passe son père. Avant que j'ouvre la bouche, il me remercie pour Jimmy. Il me dit en avoir bien profité seul le samedi et avec Ric le dimanche.
Il me demande ce qu'il fait. A lui aussi Je dis qu'il se lime sur ma bite.
Eclats de rire de sa part. J'entame le sujet de mon appel. Je lui dis que cela faisait quelques moments que je n'avais baisé Jimmy et que je le trouvais très pro dans la prestation qu'il était en train de me faire. Je lui demande si je ne pourrais pas augmenter ses tarifs.
André me confirme que sans problème je peux doubler mes exigences sans perdre un seul de ses clients. Surtout auprès des mieux membrés incapable de trouver seul ailleurs une prestation de ce type.
Avant de raccrocher, je lui souhaite une bonne baise dans le cul de Ric.

Jimmy me questionne d'un regard. Je lui dis qu'il avait fait bonne impression ce WE comme toujours et qu'à partir de la semaine prochaine nous demanderons le double pour ses prestations. Ça augmentera d'autant plus vite son pactole. Il me demande combien il a et siffle au montant que je lui annonce. Il faut dire qu'il ne dépense rien, tout ce qui le concerne est pris en charge par moi ou son tonton Samir.

Je le sens s'appliquer encore plus à me faire plaisir et il prend tout son temps pour masser ma bite avec les serrements plus ou moins forts de son anneau.
Il se penche sur mon torse et suce/tète/mordille mes tétons l'un après l'autre. Il m'octroi une pelle de temps à autre, préférant sucer ma langue que de me rouler un véritable patin. Finalement, cette pratique (me téter la langue) s'avère super excitante et bien complémentaire à la chevauchée de ma queue.
Ses mains ne restent pas sans rien faire et me caresses les pecs et pincent mes tétons.
Il me fait exploser comme jamais je n'aurais imaginé pouvoir le faire après un WE complet de baise !

Jardinier

sasha72@hotmail.fr

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