1er Épisode | Épisode précédent Soumission / Domination 72Super partouze de rentrée. Dimanche Lorsque je me réveille, il fait grand jour, il est 10h ! Je descend à la cuisine, je suis le seul réveillé avec Marc qui prend sa douche. J'en profite pour nettoyer les cadavres de la veille et quand Marc me rejoint le séjour et la cuisine sont propre et le café passe. Yes ! il m'aime !! Je me serre encore plus fort contre lui. Puis le charme est rompu par nos invités qui commencent à nous rejoindre. Les têtes sont amusantes, cheveux en pétard, quelques cernes, et yeux bouffis. Dans l'ensemble des têtes de lendemain de fête ! La matinée s'étire jusqu'à 14h et le petit déjeuner se transforme en brunch. Nous voyons enfin arriver Eric et Ric. Ces derniers ne viennent sûrement pas de se réveiller et je pense qu'ils ont déjà remis ça, tous les deux ! L'ambiance est cool, nonchalante, le calme après la tempête. Les uns matent des dessins animés sur le grand écran du salon pendant que d'autres prennent les infos sur les TV de la cuisine ou du bureau de Marc. Vous aurez deviné qui regarde quoi ;-) Dans le salon, les fauteuils et canapés et tapis sont occupés par des corps juste vêtus de slip ou de shorty, collés les uns aux autres, les uns sur les autres. Des têtes reposent sur des cuisses et des ventres. Malgré l'intérêt pour les Chevaliers du Zodiaque et leurs plastiques irréprochables ou grâce à cela, les tissus se tendent sous la pression des bites excitées. Nous sommes bientôt matés par les plus vieux. Après avoir admiré le spectacle, ils nous rejoignent bites au garde à vous. Ric et Jean sont les premiers à se mettre à quatre pattes pour se faire mettre. De vrai chaudasses ces deux là !! Ça ne manque pas d'attirer Eric et Igor qui une fois Kpoté enfoncent leurs queues au plus profond des deux culs offerts. Aussitôt la touze passe à la vitesse supérieure. Tous ceux qui veulent une bite dans le cul prennent position en ligne aux cotés de Ric et Jean. Je prend en photo l'alignement d'enculés en train de se faire mettre par les enculeurs bien calés au fond de leurs trous les mains sur leurs hanches. Quand nous nous décollons, je m'aperçois que tous ont jutés et que les corps reposent les uns sur les autres en pleine récupération. De façon désordonnée, nous allons tous passer un moment sous les douches. Je profite que nous ne soyons pas nombreux pour vérifier l'état de ma " bête de concours ". je lui mets un doigt dans le cul (facilement) et lui demande de serrer. Ça va, il me serre le doigts avec son anus au point que je ne peux le retirer. Il rit et me dit que tous les jours il se muscle l'anneau, maintenant sur un crayon de bois car c'est plus fin que les plugs. ;Je le félicite, il me dit que son père refuse que son cul se transforme en chatte baveuse malgré tout ce qu'on lui fait prendre dedans. Puis les uns après les autres ils se rhabillent et nous quittent. Je retiens un instant Igor et ses jumeaux pour leur demander quand est ce qu'ils peuvent revenir, ça faisait longtemps que l'on s'était vu et ce WE on à pas eu trop le temps de discuter. J'aimerai en savoir plus sur leurs vacances avec les surfeurs ! Quand il ne reste plus que Ric, je m'équipe et je le ramène en moto. Heureusement que le trajet est court car la selle passager de mon monster est plutôt inconfortable pour de tels gabarits. J'ai juste le temps de dire bonjour à son paternel que ce dernier en manque depuis deux jours et alors que nous sommes encore dans l'entrée, pousse son fils à genoux et lui plaque le visage contre son entrejambe. Deux secondes plus tard sa large teub est dans la bouche en train de grossir. J'entend Ric téter comme un malade. A ce stade, son père me demande comment c'est passé le WE. Je lui décris quelques unes des turpitudes de son fils notamment qu'il s'est fait emmancher grave par deux belle bites noires dont je donne les dimensions. La description de Jean Black le surprend, il ne pensait pas possible qu'il existe des engin d'une telle longueur. Je le lui confirme et Ric toujours la bouche pleine hoche la tête pour appuyer mon propos. Spectateur, je commence à me sentir à l'étroit dans mon pantalon en cuir. Le vieux s'en aperçoit et me dit de sortir mon matériel. Je ne me le fais pas dire deux fois et baissant le zip sort l'ensemble bite et couilles avant de commencer à me branler. Je me rhabille et repart lesté de la " pension " du Week End. Quand je retrouve Marc, la maison a retrouvé son état normal. Il me dit qu'il va se mettre à chercher rapidement de tels serveurs afin qu'on puisse les tester avant la prochaine touze. Miamm miammm. JardinierLa suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |