Cyrillo

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souvenir de jeunesse

19 à 24 ans, j'étais inséparable d'Étienne.
On s'était rencontré par l'intermédiaire de sa copine avec qui j'étais en cours.
Le courant était tout de suite passé entre nous, notamment grâce à de mémorables soirées de biture.
J'habitais seul et ma piaule d'étudiant nous offrait chaque week-end un immense espace de liberté pour refaire le monde.

On se connaissait depuis quelques mois déjà quand notre amitié prit un nouveau tournant.
Un soir, chez moi, alors qu'on parlait, pour changer, de cul et de filles, je lui confesse que je suis un grand amateur de porno et que je viens justement d'en enregistrer un qui mérite le détour.
Il me propose de le visionner. C'était un grand lit qui me servait alors de canapé.
On s'y installe chacun à un bout et on commence à mater la télé.
Rapidement, j'ai le paquet qui gonfle sauvagement. Lui aussi puisqu'il me propose, vu qu'on est super pote, de se lâcher.
Chacun ouvre son fut, juste ce qu'il faut pour entrouvrir les caleçons et sortir les queues. On commence à se branler et je ne peux pas m'empêcher de jeter un coup d'oeil à sa queue qui est assez longue.
Alors que je me sens un peu gêné de faire ça, Étienne me demande carrément de lui montrer la mienne et il me lance un " pas mal du tout ". Considérant la mienne moins impressionnante que la sienne, j'ai tôt fait de lui retourner le compliment. On décide alors de comparer nos engins à l'aide de la télécommande qui va nous servir de centimètre.On termine notre petite affaire et on se marre ensuite un bon coup de notre connerie.

Quelques semaines après, alors qu'on était resté tous les deux en ville pour les vacances d'été, on renouvelle ce délire un soir, tout aussi sagement. Une fois soulagés, on part en ville prendre quelques verres avant de rentrer chez moi, bien faits. Il est très tard et malgré l'alcool aucun de nous deux n'a envie de dormir.

Étienne doit rester dormir chez moi et on décide ensemble de regarder la fin du merveilleux porno qui nous avait tant plu quelques heures auparavant.
Là, on est beaucoup moins coincé : on est tous les deux affalés sur le lit. Il fait chaud, très chaud. Voilà donc que je sors : " putain, si j'étais seul Je me foutrais à oilpé, j'ai trop chaud et ce film est trop bandant ". Ni une ni deux, il me répond : " chéla ouat ! à poil ! ".
On se désape donc tout en faisant l'éloge de notre amitié que rien n'arrête. On est donc nus sur mon lit, deux beaux mecs avec les queues dressées vers le plafond. Soudain, mais lentement, il se retourne vers moi tout en continuant de se branler.
Moi, j'ai un peu ralenti le rythme vu mon état d'excitation. Là, il vient prendre ma queue dans sa main, en retirant la mienne pour la poser sur son sexe.
D'abord surpris, je me félicite vite qu'il ait pris une telle initiative.
On commence donc à se branler mutuellement, alternant des va-et-vients rapides puis lents et lâchant de ci de là des " putain ! Qu'est-ce c'est bon ! ".
Chacun récupère sa queue au moment d'éjaculer puis on reste ainsi étendu de longues minutes, se promettant de renouveler l'expérience.

Pour être renouvelé, ce sera renouvelé !
Au minimum une fois par semaine, on se retrouve pour nos séances de branles, parfois à poil, parfois pour des branles mutuelles. Celles-ci vont devenir de plus en plus chaudes.
On avait chacun découvert ce qui excitait le plus l'autre, comme des massages du gland avec le pouce, des couilles, parfois même du dessous des couilles.
Un soir, Étienne s'aventure même à proximité de mon anus, en reconnaissant qu'il était allé, sans jeux de mots, un peu trop loin.
Ce rapprochement allait amener d'autres bons délires les années suivantes, souvent répétés: des bagarres sur les pieux où l'un tentait parfois d'introduire sa main dans le fut de l'autre pour lui saisir le sexe, aller pisser ensemble les bières ingurgitées et jouer avec nos queues, se balader à poil sans gêne dans les vestiaires ou en camping, etc.


L'une des dernières fois où on s'est vu, les choses ont été beaucoup plus loin.
Depuis plusieurs mois, j'avais une meuf avec qui sexuellement tout se passait bien sans pour autant que ça ait stoppé nos délires.
Deux semaines avant cette soirée unique, on avait passé une bien curieuse nuit après une cuite d'anthologie.
À mon réveil, alors qu'on s'était endormi en cale buttes dans le même lit, je n'avais pas pu m'empêcher de lui masser le cul, la main sous le caleçon, de longues minutes. Il s'était finalement réveillé, et m'avait demandé d'arrêter, s'interrogeant sur ce qui me passait par la tête. Sans doute cet épisode ne l'avait-il pas laissé indifférent vu ce qui allait se passer deux semaines plus tard donc .

Ce soir-là, plus par habitude, on se met un porno. Rocco s'agite comme un veau avec un pote sur la même meuf. une double pénètre vraiment top ! On est en train de se branler et l'excitation montante, on se prête nos queues. Étienne me dit alors qu'il aimerait qu'on fasse des trucs plus sérieux. Quand je lui demande quoi, il me dit de proposer. On a les chemises ouvertes, gardé nos chaussures, qu'on retire, et nos futs sont baissés jusqu'aux chevilles. Je me tourne alors complètement vers lui et je lui dis de faire pareil pour être face à moi. On se colle et je prends d'une main nos deux queues que je commence à branler.
C'est extra. On fait ça quelques minutes et puis j'arrête. On se remet sur le dos et je lui demande si ça a été. Il me réponds oui et là il se relève de moitié et penche son visage sur ma queue. Là je repense à une branle du mois passé, où il s'était ainsi approché, mais juste pour masser mes couilles à deux mains comme s'il s'était agit d'une séance de poterie !
Son visage m'avait paru un peu gêné, comme son petit rire d'ailleurs. Cette fois, il va plus loin.

Il approche sa bouche de mon gland et le lèche. En moi, je suis aux anges ! Je réalise que j'attends ça depuis des mois ! Il gobe le bout de ma queue et fait quelques tours de langue autour, avant d'engloutir l'intégralité de l'engin en le pressant contre son palais. Deux va et vient et il se dégage. Un filet de mon lubrifiant naturel réunis un court instant ses lèvres à mon gland.
Il se reprend et lâche : " désolé, j'sais pas c'qui m'a pris ". Je lui réponds : " attend ! C'était d'enfer ! Pour sucer, tu suces ! Comme un Dieu ! ".
Je connais mon lascar et je sais qu'il a besoin d'encouragements. Il retourne donc à sa tâche et la dextérité de sa langue me prouve que ça lui plaît presque autant qu'à moi. Pendant qu'il s'agite dans mon entre jambe, je me dégage un peu de côté pour pouvoir lui masser son cul, superbe. Je glisse mes doigts dans sa fente et je viens lui masser les couilles.
Les minutes passent ainsi et je fais tout pour contrôler mon souffle et empêcher les litres de sperme qui me brûlent les couilles de sortir.

Il arrête et je reprend mes esprits.
Il se réinstalle et n'est pas long avant de me demander si moi aussi je ne veux pas m'y mettre.
Un peu mon neveu ! Je me mets bien en position et je me dis : " putain, après des kilomètres de porno visionnés, je dois bien être capable d'assurer en tant que maître ès suceur !
Je commence donc par lui lécher les couilles en m'arrêtant systématiquement à la naissance de la verge histoire de l'exciter davantage.
Je remonte ensuite le log de sa tige, lentement, et je mords son gland avec mes lèvres. Jusque là, tout est calme.
D'un coup, j'engouffre dans ma bouche toute sa longueur et bien que je manque l'étouffement de peu, je la garde intégralement plusieurs secondes, et je masse cette queue chaude avec ma langue. la ressors et la lèche fougueusement sur tout son long. Étienne n'en peut plus.
Sa respiration est rapide et il peut à peine me dire : " waouh ! jamais, jamais on m'a sucé comme ça. Comment tu fais ça bien ! ".
Moi, modeste, je lui réponds que c'est p't-être sa meuf qui s'y prend moyennement.
Et je retourne à l'attaque ! J'astique, je masse, je compresse.
On se termine chacun mutuellement par une branlette terrible :
nos queues sont rouge vif, on branle à la vitesse de la lumière, on se pétrie nos couilles et, fait rarissime, on éjacule au même moment : on lâche prise pour attraper le papier sur lequel on décharge ensemble. On s'affale et on reste là, hagards...

Quelques jours plus tard, peut-être soucieux de nos hétérosexualités remises en question ( ?), on s'est frité pour une histoire de tunes qui a en peu de temps détruit notre amitié. Dommage. C'est avec un autre pote que j'ai poursuivi le délire, plus vicieux encore. C'est une autre histoire que je vous réserve si celle-ci vous a plu. Faites le moi savoir.

romuald752000@yahoo.fr

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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