Cyrillo

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Du sperme dans les bois...

J'ai l'habitude d'aller dans la forêt de Y...
C'est un coin sympa où des mecs de tout âges s'exhibent en se masturbant,
baisent de temps en temps. C'est un coin connu pour l'exhib et le voyeurisme.
La faune y est constituée autant d'homos que d'hétéros. J'y ai eu de très bonnes
rencontres à se branler et à discuter, l'air de rien, en matant des bouquins de
culs. personne n'est agressif ici: tu veux ou tu veux pas...

Quand je penses aux litres de sperme qui ont été déversés dans cette forêt avec
le temps!

Ce soir-là, en été, je décidais à regagner mon petit coin de forêt masturbatoire
pour voir les allée-venues de chacun, qui suce qui, qui se montre...

J'arrête ma bagnole, me mets un peu de musique et allume une cigarette pour
contempler les passages de toutes ces bites et culs à l'air. je me dis, comme
d'hab, que cela va se terminer part une bonne branlette (c'est courant ici de
se masturber dans sa bagnole)...C'était bien vite jugé...

J'aperçois alors une fourgonnette d'artisan qui se gare à quelques mètres de moi.
De manière bizarre, le conducteur sort de sa voiture, ouvre le capot et s'assoit
sur l'avant de sa voiture en contemplant le même spectacle que moi. C'était un
homme d'une bonne cinquantaine d'année, bedonnant, à moustache et à lunettes, le
cheveux grisonnant.

J'ai toujours eu un faible pour les hommes mûrs grisonnants, et je me décide, par
curiosité, à aller vers ce curieux personnage qui simulait une panne.

-"Vous êtes en panne?" lui dis-je.
-"Euh..oui oui... un échauffement du radiateur"
je rigole, ayant aperçu un bouquin de cul par la fenêtre de sa bagnole, et je lui
décrit ce qui se passe içi. Et qu'il peut se masturber librement si il veut.

-"on peut voir ce bouquin?" lui dis-je en lui montrant le bouquin.

Il acquiesça, voyant qu'il pouvait se libérer ici. Nous nous installons dans sa bagnole,
nous commençons à feuilleter la revue.
La revue contenait des fellations entre mecs, des plans baise hétéros & homos...

Là, je me dis que c'est le moment ou jamais de se faire une bonne queue d'homme mûr.
Toutes ces images nous excitait terriblement...Et je m'aventure à lui passer la main
entre les jambes. A ma grande surprise (et espérance!) lui fait de même.

En lui passant la main sur l'entrejambe (lui était assis coté conducteur et moi
passager), il me confie en regardant une photo de fellation que madame ne veut plus
entendre parler de fellation depuis des années... Et là, je prends, une nouvelle
fois, dans quelle misère sexuelle vivent les hommes "mûrs": En général: madame ne
veut plus entendre parler de rien sur le plan sexuel...

Sa timidité vis à vis du lieu et ce fait sur sa femme m'ont fait y aller (à quoi?:
à la fellation!). Je m'active à ouvrir la braguette de mon brave homme: il était
déjà demi-mou. La situation avait commencé à le chauffer. C'était une belle bite
molle, le gland recouvert. Je commence à poser mes lèvres sur le bout de sa bite.
Je commence à le sucer et je sens sa bite molle devenir dure. son gland se décalotte
dans ma bouche tellement il bandait. Sa queue est maintenant dure comme un barreau
de chaise. Je plonge alors ma main droite dans son slip où sont restées ses couilles.
Et là je découvre une odeur de pisse, de sperme, de sueur ultra excitante. Ce sont
de grosses couilles velues d'un beau poil gris. Je fais des allez retours sur sa
bite avec ma bouche, le nez dans cette odeur "mâle" qui m'excite à mort. Cette odeur
sent le "vécu": par la sueur: la journée, par l'ensemble: un homme mûr.

En condition "normale", j'aurais trouvé l'odeur écoeurante. Mais là, excité comme
une puce, je trouvais ça hyper excitant. (Quand j'y repenses, je bande).

Je continue à sucer et savourer la bite dure de mon brave artisan quand son envie
se fait sentir, par ses spasmes du bas ventre et ses grognements, qu'il va éjaculer.
Je redouble d'application à le sucer, accélère le rythme sur sa queue et sur ses
couilles. Ma bouche se rempli alors de 3-4 giclées de sperme chaud. J'en laisse
dégouliner un peu sur sa queue encore droite. Je sens alors cette curieuse sensation
de "frais" à l'odeur de ce sperme éjaculé. De cette belle bite, à l'odeur de cochon,
sort un odeur fraîche qui n'a fait que me pousser à nettoyer cette belle queue
luisante avec ma bouche. Il faut le reconnaître, j'avais trop de sperme dans la
bouche. J'avoue avoir ouvert la porte de la bagnole pour cracher. Mais c'était génial.

Je penses qu'avec une personne de confiance j'aurais avalé (j'avales bien souvent
le mien! ce n'est pas une histoire de goût, juste une question du risque). J'ai pris
en bouche le sperme de ce monsieur que je ne connaissais pas, mais son attitude et
son âge m'ont fait croire à une certaine forme de sécurité. C'était risqué, je le
conçois. Cette histoire à plus d'un an...Et je ne suis toujours pas séro-négatif
(pas de VIH). Alors quelques soient vos trips....faites gaffe! Ne tentez pas le
diable pour votre seul plaisir! Votre entourage vous aime pour ce que vous êtes
pas pour ce que vous faites.

Juju

Si, comme moi, vous aimez les jeux de sperme et la branlette,
n'hésitez pas à me laisser un petit message:
Julien.nl@caramail.com

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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