Le sport et le resteBen voilà ! Ca m'apprendra à faire de la gonflette... Depuis des semaines, je me disais : "pauvre cloche, t'as les fesses qui tombent, t'es gras du bide, tu t'empâtes, t'es mou... et tout ça, quoi" Le mec de 30 ans qui chie de voir le temps passer et qui est emmerdé par sa fainéantise absolue. Faut se remettre en forme mais, pfff !, quel boulot ! Bref, ma meuf commençait à râler, moi à plus pouvoir me regarder et mes copains à plaisanter ("tu commences à avoir un pneu, neu neu... de vrais copains quoi !). Elle voulait pas habiter avec moi tant que "je n'aurais pas fait l'effort de me reprendre en main". CHIEUSE ! Bref, je me décide et je m'inscrits dans une salle pour me faire suer (et souffrir). Pendant trois mois, j'ai chié des bulles mais quant même, à force d'efforts, j'ai repris forme humaine. C'est vrai que j'avais repris de la puissance et de la viande. Faut dire : j'avais été sportif (foot, natation), la base était bonne. C'était la motivation qui suivait pas. Donc, j'étais devenu fréquentable. Et j'ai eu des conversations totales sur "les tailles de mes cuisses", "vise un peu mes pecs", "aujourd'hui, je fais rien que les fesses". L'ambiance saine et virile que tous les gars du monde recherchent (oups !). Comme toujours dans ce cas et à cause de la régularité de mes entraînements (c'est le secret de la bonne forme), je soulevais de la fonte avec Musclor (c'est moi qui l'appelle comme ça). Un animal de 1, 85 m et TRES musclé, du poil partout et un ligne olympique. C'est vrai que c'était un beau spécimen de mâle, genre taureau. Il avait fait les paras (ben tiens !) et travaillait le jour sur des chantiers et quelquefois le soir comme videur (re bien tiens !). De l'armée, il avait pris une cicatrice sur le groin et, pour tout dire, il avait une gueule à faire peur (quant même). Musclor avait pas inventé la Machine A Plier les Bananes mais c'était un bon gars pas compliqué. On était gentiment copain et à force de se frotter, on s'entendait bien. Musclor avait une copine. Et ça devait pas être Byzance à la maison. Régulièrement, ça castagnait sévère : il la baisait pas assez, ou trop (ça dépendait des jours). Il était pas assez gentil, ou trop regardant sur les autres meufs, etc etc. La belle ambiance des gens qui s'aiment. Moi, de toute façon, après des tonnes de fonte sur les bras, j'étais prêt à entendre la lecture complète de la Constitution. Je m'en foutais pour tout dire. J'avais rien demandé, moi mais il était tellement à la masse que ça valait mieux que je dise rien. On parle donc. Enfin, il parle et j'écoute. Le discours chiant du gars en pétard... Il me vide un casier de bière et s'effondre sur mon lit (j'abrège). LA SOIREE, bordel ! Quand c'est comme ça, les jeans, ça descend tout seul. La découverte. GOSH !! (comme on dit en bd anglaise), c'était pas un spaghetti ! Moi, j'avais jamais touché un homme mais là, c'était le bon moment, la bonne personne, le bon endroit. Faut pas hésiter alors. C'est unique. ARGGHH ! Me voilà avec la queue dans la gueule d'un gars que je n'imaginais même pas. Ca transpirait sévère. Des caresses. Du muscle et de la douceur. Une odeur d'homme. Deux bites et les couilles qui vont avec. J'étais parti. Je savais même pas que c'était si bon... Il m'a léché la rondelle, mis un doigt dans le cul, il m'a donné sa bite en bouche, on s'est frotté, mélangé, éclaté... Comme j'étais un hétéro assez con, je pouvais pas imaginer tout cela. Moi, les PD, ça s'enculait un point c'est tout. Là, c'était le bonheur. J'étais incroyablement aimé. Et j'ai aimé cela, très très beaucoup. Cela ne s'est pas arrêté après un round, bien sûr et il m'a aussi enculé (je rassure les pornographes). Prendre son partenaire de sport hétéro (...) dans son cul d'hétéro (...!!!) est un moment fort de son existence. Mais ça complétait tout dans ma vie. Moi aussi, j'ai léché, sucé et enculé cet homme magnifique. Je me suis rassasié de lui. Musclor est devenu MON pote. On tire encore des filles, c'est pas possible autrement mais à la maison, y en a q'un (pas une). thiernoRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |