Le steward.Voulant ne plus penser à l'histoire que j'avais vécue avec Cédric, je me mis à chercher un vol pour un pays lointain. Le choix immense en matière de voyage, dans des contrées paradisiaques me coupa l'effet d'enthousiasme que j'avais. Le taxi se dirigea alors vers le périph. J'ai regardé à travers la vitre du taxi le paysage qui défilait à toute vitesse, me laissant sans réaction, jusqu'au moment ou le chauffeur me demanda, à l'approche de Roissy, à quel terminal de départ il devait me déposer. Un rêve ! Je passe la porte de la First Lounge et là un jeune homme en uniforme de la compagnie s'approche, vérifie furtivement mon billet, et me demande se que je voudrais boire. Dans ma tête je lui répondis, ton jus mon grand, ton jus... Mais mon esprit repris le dessus et j'ai demandé un café. Je me suis assis près des baies vitrées donnant une vue imprenable sur les avions, et sur celui que j'allais prendre. Mon café arriva, servi avec un sourire des plus charmeurs. Regardant à nouveau à travers la baie vitrée, je le voyais s'éloigner de moi pour aller chercher ces petits gâteaux. Il avait un air d'Andrew Keegan, que je venais de voir dans un film qui m'a rappelé, des moments tristes de ma vie... Mais ce n'est pas le sujet... Mes pensés allaient donc du steward de la compagnie aux avions en manoeuvres sur le tarmac mais elles revenaient toujours sur lui. Mon regard venait de faire une moue, qui ma foi n'aurait pas invité à me suivre, mais lui avait toujours ce sourire charmeur. Je revins à la charge... Là je ne pouvais retenir mon rictus. Il venait de le voir aussi, mais ne dit mot. Le vol risque d'être intéressant. Nous venions d'arriver au comptoir d'embarquement, il me conduisit vers l'hôtesse qui s'occupait des premières classes. Il l'embrassa, il devait la connaître ou c'était d'usage, peut importe. Il échangea quelques mots avec elle, et elle me regarda, son visage s'illumina, il devait lui avoir dit un truc marrant, puisqu'un grand sourire s'afficha soudain. Je me suis donc mis à mon aise. Pendant ce temps le reste des passagers arrivèrent à bord. Nous étions proches du départ. Je n'arrivais pas à le quitter des yeux. Il avait cette grâce, de se déplacer dans l'avion sans toucher les sièges, comme s'il était en apesanteur... Il ne me répondit pas et pour seule réponse, il colla ses lèvres sur les miennes, essayant de m'embrasser. Moi dans un mouvement de recul j'essayais de le repousser, en vain, il s'approcha de plus en plus de moi et j'ai cédé... Je rejoignis ma place, le cherchant du regard, mais je ne le trouvais pas. Cette étreinte venait de me bouleverser. Je me rassis dans mon siège, un sourire aux lèvres. Je fermis les yeux pour repenser à cette scène. Une telle intensité s'en était dégagée. Je sentis un déplacement à côté de moi, j'ouvris les yeux et je le vis disparaître dans la cuisine de bord. Devais-je le rejoindre, je ne savais plus ! Je nageais en pleine confusion. Je venais de sortir de ma relation tumultueuse d'avec Cédric. Et ce baiser furtif... Pourquoi ? Il me caressa le dos. Mon baiser fut lent et sensuel, il en était presque tremblant. Je pense que cela venait de le surprendre. Nos lèvres se séparèrent... Le rideau s'ouvrit, un des passagers de première venait de passer pour aller aux toilettes. Ce fut une rupture ! Je lui rendis son sourire et je retournai à ma place. Je me suis alors levé, je l'ai suivi vers la cuisine de l'avion où se trouvait l'ascenseur, je suis descendu le premier dans la soute, il arriva quelques instants après. Il m'entraîna vers une couchette assez large pour deux. On se regarda, il m'embrassa. Mes mains parcoururent son corps, les siennes le mien. Je déboutonnai sa chemise, lui enlevai sa cravate, il fît de même avec ma chemise. Mes mains effleurèrent ses hanches, ouvrirent sa ceinture et firent glisser son pantalon, laissant son caleçon moulant dévoiler les formes généreuses qui s'y cachaient. Ma main se dirigea vers ses fesses, les malaxant tendrement. Je remontai le long de son dos et me glissai dans ce caleçon qui resta le seul obstacle entre ma main et sa peau. Il effleura mes joues, tendrement, nos baisers langoureux dégagèrent une chaleur sensuelle. Celle dont les couples en pleins ébats peuvent dégager. Il me coucha sur le lit, continuant à m'embrasser, et de sa main libre me caressa la jambe jusqu'à prendre dans sa main ma bite. Elle était dure et était dressée, dans l'attente de l'acte. Lorsque sa main effleura ma hampe, j'eus comme un frisson qui me parcouru le corps, mes tétons s'étaient durcis. Il en profita pour les lécher, les mordiller. Le contact de sa langue sur mon corps me fit encore plus frissonner... Son étreinte se fit plus pressante, il me malaxa les couilles tout en continuant à m'embrasser. Ma main parcourut son corps pour en toucher tous les recoins. Ces fesses étaient fermes et rondes. Il dirigea alors sa bouche vers ma bite droite, sa langue effleura ma hampe, le bord de mon gland et il l'avala d'un trait. Cela me surpris et je fus traversé par ce frisson magique du " enfin la torture prend fin. " Mes yeux mi-clos, je succombai à ce traitement. Je me mordillai les lèvres et il reprit de plus belle sa succion. Sa main me caressa le ventre, je lui caressai les cheveux, il me rendait fou... Je l'ai alors ramené vers moi pour l'embrasser et sentir son corps sur mon corps, sa chaleur et ma chaleur ne faire plus qu'un. Le faisant glisser sous moi, j'entrepris de lui faire de même. Ma langue se promena sur son corps, de ces tétons vers ses pectoraux direction ces abdominaux, je jouais avec son nombril. Sa queue était dressée au firmament de l'envie. Mon menton effleura la hampe, ma langue se dirigea vers ses couilles. Je les gobai avec délectation. Son corps se raidit, ma façon de faire le torturait. Délaissant ces couilles pour sa bite, je la lui gobai lentement pour faire durer le plaisir de la prise en main. Sa main sur ma tête devenait plus ferme, je l'ai repoussé aussi fermement. Le désir devait lui venir lentement... J'en étais fou. J'avais une emprise sur lui, je pouvais le dominer. Je repris mon travail sur cet engin dressé comme un mat, fier. Ma main parcourant son corps nu, arriva au téton, que je pris entre les doigts et je les triturai. Son gland avait ce goût de précum, ces gémissements ne laissaient pas entrevoir d'autre échappatoire que de jouir, là dans l'instant, dans ma bouche. Un premier jet puissant vint au fond de ma bouche, il s'était agrippé au mur et au bord de ce petit lit. Les jets suivants arrivèrent sur ma bouche que j'ouvris à nouveau, ne voulant pas perdre une goutte de mon steward... Il s'était vidé et gisait sur le lit. Je le regardais avec une envie de l'embrasser qu'il ne refusa pas. Nos langues se mêlèrent et sa salive et son jus aussi. Un régal de plaisir, tendre et sensuel à la fois. En le retournant je lui caressais le torse, ma main alla fendre ses fesses. Il se cambra et compris que je voulais le posséder. Ma queue se frottant contre et dans ces fesses, il me voulait en lui au plus vite... Et mes mouvements devinrent un peu plus rapides. En même temps nous sentions l'avion prendre un virage et nos corps devinrent plus légers. Le pied ! Enfin tout était génial, le fait de le posséder, le fait de lui faire l'amour dans l'avion, le fait qu'il soit en transe... J'ai donc changé de position et il s'est assis sur moi, lui laissant ainsi le choix de la vitesse. Et sans mot dire, il s'empala doucement sur mon pieu. J'en prends plein la vue et la sensation de son corps sur mon manche, glissant lentement, le rendant tout chose et me faisant fondre. Mes mains parcourrant son corps, des tétons à sa queue en érection je ne pouvais pas m'en empêcher, il se pencha en arrière et nos bouches se trouvèrent. Un patin d'enfer, tout en continuant à faire ces mouvements lents sur mon chibre. Je sentis tout de même une pression lente monter en moi. Je le pris par la taille et commençai à réguler les mouvements. Il ne faillait pas qu'il soit trop brusque sinon... Nous nous sommes alors rhabillés, il monta le premier par l'ascenseur et me l'envoya, il m'embrassa alors lentement avant de me laisser partir vers ma place. Nous étions restés ensemble près d'une heure trente. Les autres passagers n'avaient rien vu, puisque la première classe n'était pas complète. C'est un de ces collègues, qui ayant remarqué son absence, le lui fit remarquer. C'est en me servant une coupe de champagne qu'il me glissa l'info. Un sourire sur mon visage, le fit sourire aussi. Il se pencha au-dessus de moi pour déposer une couverture sur le siège d'à-côté, j'ai alors senti son odeur, son corps encore en sueur, cette sueur de mec venant de faire l'amour, celle des étreintes sensuelles, masculines, torrides. Mes yeux clos, je pris une pleine bouffée de cette odeur et il prit tout son temps pour la déposer. Il se pencha à nouveau vers moi et me glissa encore à l'oreille de ne pas quitter l'avion trop vite. Il m'embrassa sur les joues, son collègue se pencha vers lui après que je les ai quittés et lui chuchota un truc à l'oreille, qui le fit rire et moi me retourner. Il me fit un petit signe et m'envoya un bisou. Les formalités passées, je pris un taxi pour l'hôtel. Arrivé là-bas, la clé de ma suite en poche, je contemplais la vue de mon balcon, donnant sur le front de mer de l'Anse Marcel... Un rêve. Avec un soleil couchant flamboyant. Je voulais défaire ma valise, mais je ne pouvais plus tenir pour prendre une douche, je me déshabillai et n'étant plus qu'en boxer short je me dirigeais vers la salle de bain, spacieuse comprenant une douche et une double baignoire. Je fis couler l'eau dans la baignoire, le soleil couchant me donnant des envies de bain... L'eau tiède et moussante me fit frémir. On toqua à ma porte. Je pris un peignoir, je venais d'enlever mon short et me dirigea vers la porte. Je l'ouvris et quelle ne fut pas ma surprise en voyant Greg, deux flûtes et une bouteille de champagne à la main. Il n'était vêtu que d'une chemise et d'un pantalon en lin blanc, très sexy. Il me poussa, entra et posa le tout sur la table du séjour, écartant mon peignoir, le fit tomber, me retrouvant nu, il m'embrassa tout en ouvrant sa chemise et son pantalon pour aussi les faire tomber. Nous étions nus, dans le hall de ma suite en train de s'embrasser... Il est resta durant tout mon séjour dans ce paradis et nous avons passé des moments d'une rare intensité. Il fut tendre, charmant, prévenant, aimant et quelquefois chiant, mais nous avons passé une semaine torride en tous sens. Il est reparti avec moi sur Paris à contre coeur, mais il le fallait... J'ai évacué mes problèmes de rupture sans trop de problèmes. Nous sommes restés ensemble près d'un an et demi, l'une de mes plus belles aventures. Nous sommes toujours amis, de bons amis. FredRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |