surpriseIl y a quelques jours, je chattais sur Internet, un peu désoeuvré. Un mec m'aborde ; son pseudo est très classique : " Bruno 31a ", et sa description est d'une banalité absolue : quelques détails physiques (1m85, musclé, mat de peau), accompagnés d'un message indiquant qu'il cherche " un mec cool ". Rien de vraiment très excitant, en dehors du fait qu'il a l'air plutôt viril, mais rien n'indique s'il est actif, s'il est bien monté, s'il aime dominer... Je ne sais même pas s'il veut du cul, du dial, une histoire sérieuse... Moi, je suis plutôt branché cul, évidemment. Mais je n'ose pas le lui dire directement, alors on commence à discuter de façon très soft. Je lui donne ma description, 23 ans, mince, imberbe, je lui transmets des photos ; il se décrit aussi un peu plus, mais toujours sans détails sex ; il me raconte qu'il vit seul, m'envoie quelques photos à son tour, il est très, très bandant, Je finis pas comprendre qu'il est actif, mais il me parle câlins, tendresse... Bon, il n'a pas l'air d'être dans le trip domination, je ne vais pas lui faire peur en lui disant que j'adore être soumis. Alors je n'insiste pas trop là-dessus, et puis finalement, peut-être que quelques caresses et mots tendres pourraient me faire du bien aussi ! On décide de se voir, et je me rends immédiatement chez lui. Une demi-heure plus tard, je sonne à sa porte. Il m'ouvre, aussi beau gosse qu'en photo, avec un grand sourire accueillant et une carrure de mec rassurant. Il m'offre un verre, on discute un peu de soi sur le canapé, il se rapproche, pose une main sur ma cuisse, m'embrasse... Il est tendre, il me caresse le visage, glisse une main sous mon pull, passe ses doigts sur mes tétons, m'embrassant toujours en me mordillant les lèvres... Moi qui d'habitude aime la soumission, je commence à gémir sous les caresses délicates d'un mec d'une gentillesse et d'une prévention inouïe. Doucement, il enlève mon pull, puis, après une légère hésitation et un regard qui ressemble à une question, il commence à défaire mon jean, le fait glisser le long de mes jambes, me caresse encore de longues minutes avant de se décider à m'ôter mon boxer. Je sens toujours la douceur de ses lèvres contre les miennes, il promène ses mains sur mon corps, des pieds jusqu'à la tête, sans toucher à mon sexe et en ne passant que rapidement sur mes fesses ; ses caresses sont totalement dénuées d'obscénité, ce n'est presque pas sexuel. Il y a de la sensualité, de la tendresse, du respect dans ses gestes. Il me prend dans ses bras et me soulève pour me porter, en m'embrassant toujours, jusqu'à sa chambre, où il m'allonge sur le lit, et reprend ses caresses. Lui ne s'est pas déshabillé, et je suis tellement pris par la légèreté et la douceur de ses doigts sur ma peau que je ne pense pas à chercher à découvrir son corps. Mon sexe est en érection depuis le début de nos contacts physiques, et ce n'est que maintenant qu'il laisse sa main l'effleurer, passant sur mes couilles, remontant le long de ma verge jusqu'à mon gland, puis humidifiant ses doigts avec sa salive pour me masturber tendrement, lentement, en jouant de sa langue sur la mienne, sur mes lèvres... Je prends un plaisir incroyable à accepter ses caresses, et le doux mouvement de vas et viens de sa main sur mon sexe ne tarde pas à faire venir l'orgasme. J'éjacule sur mon ventre et sur ses doigts, non sans gémir de plus belle. Il se redresse, détache doucement sa bouche de la mienne ; je ferme les yeux, je sens toujours sa main qui caresse ma peau, humide à présent. Je me sens bête : c'est tellement rare qu'un mec me fasse jouir en premier ! Du coup, évidemment, je n'ai plus tellement envie de lui rendre la pareille, pas tout de suite en tout cas. Mais soudain, sa main glisse de mon sexe à mes fesses, écartant doucement mais fermement mes cuisses ; puis il passe un doigt dans ma raie et la tapisse de mon sperme qui couvre sa main. Je n'ose rien dire, mais quand il pousse plus loin et commence à me doigter avec mon propre sperme, je proteste doucement : " Non, attends, pas tout de suite... Attends, s'il te plait... " Une douleur atroce m'envahit, je veux crier mais il me maintient le visage enfoncé dans le matelas. Et, sans plus s'occuper de ma douleur, il me pilonne sauvagement en faisant des mouvements profonds de sa queue dans mon cul. Je ne l'ai évidemment jamais vue, mais elle m'écarte tant le trou que je l'imagine faire 5 bon centimètres de large ; et quand ses couilles viennent claquer contre ma peau, qu'il enfonce sa bite bien raide toute entière dans le fond de mes entrailles, je sens qu'elle est longue d'une vingtaine de centimètres au moins. Il me défonce comme un fou avec cette bite de cheval à laquelle mon cul commence à s'habituer. La douleur fait place au plaisir de me faire prendre comme une chienne ; malgré mon éjaculation l'excitation revient, d'autant que cette bête en rut a complètement éclipsé l'amant tendre et doux que j'avais rencontré, et que je n'ai pas le choix : il me bourre le cul sans savoir si ça me plait ou pas. Il a toujours une main appuyée sur ma nuque, et de l'autre il commence à me donner des coups sur les fesses, en faisant claquer sa paume sur ma peau ; il se met du même coup à me traiter de salope, de chienne en chaleur, de vide-couilles... Je gémis sous ses coups de queue dans mon petit cul qui me font un effet de dingue, je suis complètement soumis à ce mâle dominant qui me force à prendre sa bite dans mon cul alors que je n'en avais pas envie. Il accélère la cadence de ses mouvements, va et plus en plus vite, et se retire soudain : je l'entends qui enlève la capote et éjacule longuement sur mes fesses. 5 jets de sperme giclent sur ma peau. Il ne bouge pas pendant deux ou trois minutes, laissant son jus couler sur mes fesses et le long de mes cuisses. Puis, sans plus parler, il me tire vers lui en me tenant par les cheveux, et me met sa bite encore à demi dure dans la bouche. Je lèche cette énorme queue en prenant soin de ne pas laisser une goutte de sperme, j'avale tout ce qui reste sur son sexe, jusqu'à ce qu'il le ressorte de mes lèvres. Il me regarde alors tendrement : je vois soudain revenir le Bruno que j'ai vu au début de notre rencontre, avec son grand sourire et ses yeux profonds. Il se penche vers moi, dépose un baiser sur mes lèvres, me dit " ça va ? ". J'en reste tout étonné et ne réponds même pas. Il me prend alors dans ses bras, et nous nous étendons sur le lit, enlacés. Il me caresse, embrasse mon visage, mes cheveux, et me serre fort contre lui. Je me sens bien, il me rassure. Il peut bien être brutal et violent quand il me baise : pour le moment, c'est un homme attentionné et affectueux. Pierre23amsndepierre@hotmail.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |