Cyrillo

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Tire jus.

Cette histoire est vraie, elle s'est passée dans les années 80, j'avais alors une vingtaine d'années, un corps pas trop mal, un joli petit cul. Nous habitions mes parents et moi en Egypte, au Caire. J'avais une sexualité débordante et adorais me faire des militaires dans la rue, chose très courante là-bas. Il faut préciser que les mecs n'ont pas souvent l'occasion de tirer un coup, étant donné que les relations sexuelles avant le mariage sont quasiment inexistantes.

Comme toutes les nuits, vers 3 heures, je me levai pour aller me faire sauter par une jeune recrue. Je suis sortis de notre immeuble du quartier de Zamalek, fit quelques pas et je croisai un militaire hyper sexy, son pantalon blanc, lui marquai bien le sexe, et d'après son uniforme, il devait être un peu gradé. Je lui souris, il s'arrête, me demande une cigarette, l'allume. Il me sourit, et me demande ce que je veux. Je lui réponds, me faire baiser.

Il fixe son tarif (quelques francs), je fixe le mien, on tombe d'accord, il me tire dans un petit passage non éclairé, ouvre sa braguette, sors sa queue, me pousse la tête contre et me dit suce! il bandait déjà. J'engloutis son bel objet, le suce un peu, il m'arrête, me fait lever, me retourne baisse mon survêt, je me penche en avant, lui offrant ma rosette, il crache sur mon cul, et m'encule. 10 coups de reins et il se répand, reste deux seconde en moi et sort.

Je suis un peu surpris de la rapidité de cette enculade, et lui dit, pour le prix ce n'était pas bien long, tu ne peux pas une seconde fois, il avait l'air embarrassé et surtout vexé. Il me tire au fond de l'impasse, ouvre une porte, allume, il y a là 20 bidasses endormis, en slip, couchés sur des lits. Il me pousse dans ce local, me dirige vers un lit, et me fait engloutir une grosse bite toute molle, le type se réveille, un peu étonné, mais son engin réagi au quart de tour, il bande comme un âne.

Le chef m'arrache mon survêt, m'écarte les cuisses, et dit, vas-y saute le, il demande que ça. Le mec se lève, me tâte le cul, son gros gland me touche la rosette, il pousse, j'avais le fion bien dilaté et tout humide, mon premier enculeur devait avoir craché une bonne quantité de foutre. Ma caverne reçoit sa teube. Il me baise avec force, mes râles ont vite fait de réveiller toute la chambrée. Le gradé dit à une des recrues, bourre lui la gueule, sinon il va réveiller tout le quartier. Une tige bien raide me baisait la gueule.

J'étais couché en travers du lit, le cul bien cambré, offert à ces 20 mecs. Sitôt qu'une bite avait déchargé dans mes intestins qu'une autre prenait sa place. Il y avait des grosses, des petites, ceux qui jouissaient en trente secondes, ceux qui me limaient à fond, mon cul devenait un silo à foutre. J'ai reçu un nombre de coups de reins incroyables. Un zob venait de cracher sa purée, quand un gland énorme essayait de forcer le passage, j'étais hyper dilaté, mais le type devait avoir un gourdin entre les jambes, sous la pression, ma rosette s'ouvrit. L'objet rentrait, il poussait, poussait, soudain je sentis ces couilles sur mes fesses, sa bite d'étalon était complètement en moi, les autres, qui assistaient au " spectacle " n'en croyaient pas leurs yeux.

Le gradé dit, vous voyez bien ce n'est pas un cul, c'est une chatte, il a gobé sans problème celle de Khaled. J'appris donc que la matraque qui me sautait sauvagement appartenait à un certain Khaled. Il me lima longtemps, s'appliquait, se retenait, me faisant jouir du cul. Soudain sans dire un mot, son gland et sa tige grossirent, il était en train de décharger, il m'inondait l'intérieur, mais ces coups de butoirs ne cessèrent pas au contraire, ils redoublèrent, il me baisait comme un malade. Je couinais de bonheur.

Il me disait à l'oreille, que je serais, à l'avenir son vide couille, son puit à foutre. Il lâcha son jus, dans un long râle. Il resta un moment à l'intérieur, en me disant, doucement pour pas que les autres entendent, à demain 16 heures devant l'hôtel Hilton, place Tahir. Sa queue toute raide sortit, mon cul éjecta sur le sol une grosse giclée de yaourt. Le chef me redressa, j'enfilai mon jogging et sortis. Je serrais un maximum les fesses, je ne voulais pas que tout ce foutre accumulé ne se répande dans mon survêt.

Je rentrais chez moi et allai directement aux toilettes, me déshabilla, et constatai que mes vêtements étaient plein de semence. J'en avais partout. Je me suis assis sur la lunette des WC. Toute cette histoire m'avait donné une sacrée trique, je me branlais en pensant à mon bel étalon, je jouis comme jamais, envoyant mon yop sur le carrelage du mur. Mes sphincters s'ouvrirent d'un coup, je me vidais, mon antre éjectait la semence de ces 21 bidasses en rut, mon cul était en feu. J'ai pris une douche, j'asseyais d'effacer les souillures dans mon jogging, puis m'endormis en pensant à mon beau Khaled.

Le lendemain à 16 heures, je rencontrai mon nouvel ami, je lui proposais de venir chez moi, ma mère était en Europe pour l'été et mon père à son boulot, quant à la bonne, elle finissait son travail à 14 heures. On avait donc le temps. Arrivé chez moi, je lui offris une bière, n'ayant pratiquement jamais bu d'alcool, il fut vite ivre, il se déshabilla. Il était assis sur le fauteuil de ma chambre, la bite au garde à vous, j'admirais pour la première fois se matraque, je n'avais jamais vu un engin pareil, il jouait avec.

Il me dit viens d'asseoir sur moi, il me baisa fort et longtemps, dans toutes les positions, on a joui trois fois. Il était encore en moi lorsque j'entendis mon père rentrer. Il dit, Stéphane, tu es là, enfile ton maillot, on va nager à la piscine du club et après on ira manger au resto j'ai pas envie des courgettes farcies que nous a préparé Leila, l'Estoril ça te va ? Khaled et moi nous nous sommes habillés en toute hâte, je le fis sortir par la porte de service, il m'embrassa et me dit à demain même heure, ok ?

En nageant dans la piscine, je constatai que je ne m'étais pas vidé le fion, du sperme s'en échappait et j'avais peur que quelqu'un le remarque, je courus aux WC, la virilité de mon Khaled s'échappait de mon antre, mon amant m'avait bourré comme un étalon. Je me suis nettoyé, et suis retourné près de mon père qui s'inquiéta de mon absence, je lui racontais que j'avais une légère indisposition mais rien de grave. Je pensai que légère n'était pas le mot juste, vu la quantité de sauce que j'avais reçu.

Les mois suivants se déroulèrent de la même manière. Tous les jours sauf le vendredi (jour de la prière) ses couilles venaient se vider dans ma caverne, il était insatiable, et mon cul en voulait toujours plus. Il me disait, j'aime me répandre en toi, c'est si bon et tu ne dis jamais non, au contraire.

Un jour, il emmena un de ces copains. Khaled me dit, Saïd n'a pas juté depuis des semaines, tu serais d'accord pour le soulager, le jeans de Saïd ne cachait pas son érection. Il sortit sa bite, pas très grosse mais bien longue. Ses mains me caressaient les fesses, glissèrent sous ma galabeila, me travaillèrent le fion, il me fit mettre à 4 pattes, et sans même enlever son pantalon me prit, il juta immédiatement, je sentais sa couillure m'envahir, Khaled avait raison, cette bite n'avait rien craché depuis des semaines.

Khaled en me pénétrant a fait la même constatation, sa teube pleine du foutre de Saïd coulissait toute seule, son érection était énorme. Saïd vint se coucher en dessous de moi, et me suçait, il me tira le jus. Il m'encula encore 3 fois, et Khaled 2 fois.

Le dernier assaut de Saïd fut très long, j'étais couché sur le ventre, il me ramonait avec une violence incroyable, Khaled dit arrête, tu vas jamais jouir, il me lâcha une toute petite giclée et sortit.

En partant Saïd me demanda s'il pourrait revenir, eh oui bien sûr, quand tu veux mon cul est également à toi et il ne s'en priva pas.

Fin septembre arriva et j'ai dû quitter le Caire, afin de commencer de nouvelles études en Europe. Je ne revis jamais mon Khaled ni Saïd, mais je pense parfois à eux.

Titouan

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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