Vacances toscanesDepuis que je lis vos histoires, je me suis dit qu'il était temps d'apporter ma petite contribution, en espérant faire bander quelques uns d'entre vous. Moi, c'est laurent 34 ans, brun et poilu d'1,82 m pour 74 kg, pas moche et plutôt bien foutu. Je suis bi et vis avec une nana. L'entente est parfaite, sauf que coté sexe, j'ai besoin de temps à autre d'une bonne bite virile et juteuse. Bien sûr à coté de notre hôte, j'ai l'air d'un enfant de coeur, mais je ne crois pas, non plus, figurer parmis les plus novices, ni les plus chastes... Il y a maintenant 3 ans, mon amie se faisait recaler à ses exam et gagnait le droit de repasser une partie de ses oraux en septembre. Révisions obligent, mes vacances semblaient être compromises, alors que mes chers parents m'invitaient à les rejoindre une 15ène de jours, en Toscane près de florence en Italie. N'ayant rien à perdre ( et rien à payer ..), je débarquais en célibataire dans cette magnifique région, et découvrais au coeur d'un parc très entretenu, la somptueuse villa renaissance qu'ils avaient loué. Sans exagération, on se serait cru dans un film de Visconti ! Ayant sympathisé avec un couple ( H- F) belge, propriétaire de la villa voisine, je fûs invité seul à diner au restau. A 2 h du mat, la nuit était très claire, étoilée, et il faisait encore chaud, je demandais donc à mes nouveaux amis d'arrêter leur voiture au bout du chemin, je remonterais la grande allée à pied pour rentrer. J'arrivais donc incognito et en silence devant la grande grille du parc, la franchis en passant devant la petite maison du gardien. Cette maison est occupée par un étudiant :antonio, qui pour se faire un peu de fric entretient le parc et la piscine durant ses vacances. Accessoirement, il s'occupe un peu de la maison. Je ne l'ai pas vu très souvent depuis mon arrivée, il reste discret; mais j'ai quand même remarqué qu'il était pas mal du tout. Franchement, aucune mauvaise et vicieuse arrière pensée, ne m'avait effleuré l'esprit. Bien au contraire, j'avais décidé en partant de ne pas juter avant 15 jours. J'avais en mémoire, la fois extraordinaire, où contraint à l'abstinence de 15 jours pour cause d'appendicite, ma 1ère éjaculation fût tellement impréssionante; qu'allongé sur mon lit, 2 gros jets de sperme vinrent s'écraser sur le mûr au dessus de ma tête, et que j'en pris 2 autres en pleine tronche, sans compter toutes les éclaboussures m'entourant. Bon ... , je m'éloigne du sujet. Ouf! je suis sauvé quand je vois juste en face de ma position une petite lucarne située en hauteur et masquée par une dentelle grossière et ajourée. Je fais le tour de la maison, grimpe sur un fauteuil de jardin là par miracle, et me voilà aux 1ères loges. J'ai une vue parfaite de la chambre baignée de lumière. Entre la vigne qui entoure la lucarne et la dentelle, je n'ai aucun risque d'être repéré. Je découvre ainsi ce vieux lit, très haut, sur lequel un mec est étendu, le propriétaire des fameux pieds... Mais ce n'est pas antonio. Allongé avec 2 ou 3 oreillers au dos, ses bras sont ecartés, maintenus à l'extrême droite et à l'extrême gauche par les poignets aux barreaux du lit. Ses pieds sont libres, ses jambes entrouvertes, il est nu et il bande. Je lui donnerai 25 ans, il est pas mal, mais assez maigrillo et relativement poilu de partout, sa queue est assez fine de taille moyenne. Bref rien qui ne soit hors du commun, excepté sa position et le fait de bander alors qu'il est tout seul dans la pièce. Pas pour longtemps car je vois sortir de la salle de bain voisine,portant un plateau, Antonio. Tout nu lui aussi. Et là, c'est plus intéressant car je constate qu'il est terriblement bien fait, bronzé à souhait, musclé avec une bite qui n'est pas des plus raides, mais qui semble très prometteuse. Antonio, se penche sur son "prisonnier", lui roule une longue pelle puis fait descendre sa langue lentement jusqu'à ce qu'elle rencontre sa queue raide il remonte la tige et hop, aspire le gland. J'entends l'inconnu gémir, ses jambes s'écartent, ses muscles se contractent, sa queue raide au bout rouge apparait puis disparait entre les lèvres d'antonio qui va parfois jusq'à l'engloutir complètement. A chaque descente, j'ai l'impression que ma propre bite monte d'un cran. Mon gland gonflé à bloc s'est totalement décaloté, il pointe son nez vers la lune, je le caresse tout doucement pour ne pas juter trop vite- n'oublions pas qu'on en est qu'aux préliminaires- Il a suffit qu'Antonio change de position, pour que je mouille encore. Bon là, je me calme sinon je ne vais plus rien controler. Antonio est en 69. Il maintient ses fesses ouvertes avec ses mains. Son cul est calé et je vois très bien la langue de son prisonnier fourrager la dedans et lui tamponner la rondelle. Je connais bien cette douce sensation, et quand je vois Antonio s'intérrompre de sucer pour savouver cet instant, se redresser et m'offrir en toute impudeur sa grosse teub; je l'envie. Cela dure un moment, puis Antonio, se redresse, se fait sucer un peu mais pas trop. Il relève le bassin de son camarade de jeux, et le maintient en l'air à l'aide de coussins. Le cul est en l'air, il est aussi poilu que le reste, les pattes sont écartelées. Pauvre mec !t'es R I D I C U L E... mais comme j'aimerais être à ta place ... Antonio commence à lui lecher la raie, puis s'attarde sur la rondelle, et lui bouffe bien le cul. Il le doigte, et l'autre apprécie manifestement. Il souffle sur l'entrée de son trou, le chatouille avec une plume. Je n'ai pas encore l'oeil bionique doté d'un zoom integré, mais je devine qu'il s'ouvre doucement. Ils jouent encore un petit temps puis antonio prend sur le plateau, un god ( tient ! on dirait mon zob ! Antonio plante l'engin à l'endroit voulu. Il joue avec, ça rentre , ça sort etc. Et puis ça rentre pour ne plus ressortir. L'inconnu reprend sa position allongé légèrement surélevé par un coussin, empalé sur le god. Antonio lui écarte bien les jambes sans les lier, le pompe encore un instant, se refait sucer à son tour. Il a pris sur le plateau un bol, en tant qu'homme à tout faire, il est outillé. Je le vois ainsi étaler au moyen d'un blaireau de la mousse à raser sur les couilles, le pubis de son ami. Puis, rase très délicatement mais intégralement tout ce qu'un slip de mec peut contenir comme poils. Le mec bande toujours, entre 2 passages de lames, un coup de langue vient lui titiller le méat. Je me demande si à sa place je n'aurais pas déjà juter au moins 2 ou 3 fois. La nuit porte conseil et au matin, je me dis qu'après tout, moi aussi, j'avais droit à ma part de bonheur, et qu'en plus, sans m 'la péter, j'étais bien beau que cet asticot ficelé, et avais des attributs génitaux beaucoup plus intérressants. Le hic, c'est que je ne suis pas du tout un grand dragueur, à 34 ans, je ne crois pas avoir déjà branché quelqu'un, par contre je me suis fait abordé plus d'une fois, ce qui flatte mon ego d'ailleurs. Je laisse venir, et les mecs tombent comme des mouches .... ( là j'exagère ok ) quoique... Il fallait donc trouver le moyen de me faire draguer, pas évident avec papa, maman dans les pattes, mes voisins et Antonio souvent invisible. j'allais quand même acheté un nouveau maillot de bain, un slip moulant et blanc, le plus fin possible, mettant au maxi en valeur mon corps d'athlète. Je pris soin de découdre la doublure du devant. Le résultat convoité était là : mouillé, c'était transparent. Le jour se présenta enfin, où esquivant une excursion, je me retrouvais seul à la villa pour toute la journée, comme par hasard Antonio devait tailler les buis autour de la piscine. Je faisais une toilette très approfondie puis j'enfilais mon slip prenant soin de disposer mon sexe de la meilleure façon possible, m'enroulais d'une serviette éponge et armé d'un livre j'allais faire quelques brasses... L'étudiant regardait l'air de rien, moi je n'y prêtais pas plus d'attention. j'attendais. Si ce con ne fait rien, je l'ai dans le cul, mais pas au bon sens du terme me disais-je. Heureusement, c'est ma copine qui m'a donné un sérieux coup de pouce, en ayant l'idée de me teléphoner. Je sortais de l'eau pour répondre, poutre complétement apparente, le slip un peu baissé, j'arpentais de long en large le bord de la piscine en discutant avec mon portable à 3 m d'antonio. Décidement, je dois avoir une chance de cocu, il me fallait noter un n° de tel. Je demande donc à Antonio, qui parle relativement bien le français, un papier et un crayon. Il me dit dans la maison. Cette petite maison de gardien à 2 pas de la piscine. Je le suis, entre et prends note. Alors que Sophie commence à me souler avec ses histoires d'assurance auto, je vois qu'Antonio me mate à mort, et que de mon coté, le lit me rappelle quelques souvenirs. Franchement, je suis un peu gené. Je me gratte les couilles machinalement, comme tout mec normalement constitué. Mon italien aurait-il pris ce geste pour une invitation? Il s'avance, et me colle direct la main au paquet. Palpe ma queue, mes burnes. Je commence à bander dure entre ses doigts, il baisse mon slip, ce penche et me suce. Je dis à ma copine que je n'ai plus de batterie et referme mon portable. Je m'assieds sur le lit, complètement à poil, mon suceur s'acharne sur ma bite qui enfle sous la pression de ses lèvres. Mon gland grossit encore et je suis plutôt fier de mon engin car il n'arrive pas à l'avaler tout entier. Je vais lui faire voir à cette petite salope ce que c'est qu'une vraie queue de mâle. Il me pompe très bien et se déssape en même temps. on se met en 69, et je lui tête le noeud à mon tour. Je sens sa langue qui dérape et qui vient me petrir les couilles et descendre vers mon trou. Putain, il me bouffe le cul divinement bien, sa langue, fine, chatouilleuse semble être partout. Mon trou s'ouvre et sa langue se glisse aussi loin qu'elle le peut. Je continue tant bien que mal de le pomper, lui claque les fesses et le doigte avec son gant de cuir de jardinier. Je l'amène jusqu'à la table, debout, le penche en avant épaules plaquées, jambes écartées, la queue maintenue à l'arrière par le rebord de la table. Je l'encule sans vergogne. Ca lui plait ça, une bonne bite dure qui le ramone, plus je lime, plus il est raide et pousse des cris de plaisirs. 10 mn plus tard, je ressors ma pine de son trou, retire la capote, le retourne et lui plonge ma queue bouillante dans sa bouche. J'astique sa tronche de jeune premier avec ma queue et la pousse au fond de sa gorge. Je sens la sève monter, monter... Je peux ? lui dis-je ? oui !!!! Je décharge dans sa bouche une partie de mon foutre, je me branle sur son visage pour faire jaillir le reste et frotte ma queue sur ses joues, son cou. Il l'a reprise en bouche pour extraire les dernières goutes. Je le vois ultra excité, je l'allonge donc sur la table, il se branle et ne va pas tarder à jouir. Pour l'aider, je lui roule un de ces patins, où nos langues emmelées savourent mon jus. J'ai saisi sa queue et le masturbe, tout en continuant à fourrer ma langue dans sa bouche. Je passe ma main sous ses couilles et lui colle deux doigts dans le fion. Il se branle et gicle à son tour. Son torse est inondé, sa queue fébrile engluée de jus glisse entre mes doigts que je lui fais lecher. On reprend nos esprits, on va faire un plongeon dans la piscine, en échangeant quelques baisés passionnés et caresses vicieuses. Je reprends ensuite mon bouquin et ma place sur la chaise longue, et lui reprend son travail. La seule différence avec avant, c'est qu'on est resté tout les deux à poils, et qu'on se mate mutuellement et que l'on se parle un peu plus. 2 heures après cette coupure il revient vers moi, sans rien dire, soulève une de mes cuisses pour la poser sur l'accoudoir, puis la seconde. Je laisse faire. Enduisant son doigt de salive, il me l'introduit dans mon trou. Il me doigte bien et me dit : tu ne crois quand même pas que tu ne vas rien prendre ! Après ces 2 doigts, je recevrais sa langue, puis le manche de la pelle, encore sa langue dans un trou aussi dilaté que possible ( pour moi, c'est pas encore le fist ) et enfin sa bite. Je me fais enculer assez durement mais j'aime les rapports virils. Il pousse des râles et moi, je sursaute à chaque coup de butoir qui vient me defoncer le trou. Il se retire juste à temps pour oter son capuchon plastique et décharger sur mon ventre, mes couilles et mon sexe. Allez finis-moi, lui dis-je pompe encore. Je jutais à nouveau dans sa bouche. Certes pas aussi abondament que la 1ère fois, mais suffisament pour lui remplir sa jolie gueule. Et bien voilà ! j'étais à 5 jours du départ, et nous n'avons eu ensuite qu'une seule fois la possibilité de remettre nos sexes en contact. Fois où d'ailleurs, dans l'euphorie du moment j'acceptais bêtement de me faire raser les boules et le pubis Merci, amis lecteurs d'être allé jusqu'au bout de cette histoire, digne d'un clip de chez Falcon, mais vraie. Merci à Cyrill de l' accueillir sur ce site très sympa. laurt@hotmail.frRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. 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