Tournante épisode n°1> n°2 > n°3 Tournante 4 finJ'ouvre la porte et nous rentrons. Je me rue dans la salle de bain ; j'ouvre les robinets, je parfume à la folie l'eau du bain. Ses yeux brillent de plaisir. Avec un sourire narquois au coin des lèvres, il me dit " Je voulais te remercier pour ce que tu as fait dans la cave. C'était vraiment COOL " Je le regarde en souriant et je lui dis " J'en supportais assez sans que toi tu en subisses. C'est moi qu'ils voulaient ! " Il passe ses mains dans mes cheveux caressant ma nuque d'une main, tandis que l'autre descend le long de mon corps, titillant au passage la pointe de mes seings, effleurant mes abdos, mon nombril, écartant mes mains pour saisir ma verge avec deux doigts, tandis que les 3 autres jouent avec mes couilles. Je bande sous l'effet de cette caresse. Il me lâche, je recule. Enfin, je peux le mater : Un corps fin, taillé en V ; une peau fine et mate ; une touffe de poil très brun décore sa poitrine entre les 2 pectoraux bien dessiné mais fin ; de sous ses bras jaillissent des poils frisés mi-longs. Une ligne de duvet court sur ses abdos pour finir dans une forêt vierge abondante, drue, qui entoure son sexe et ses bourses bien remplies par une paire de boulle presque ronde, lourde. Des jambes poilues et musclées achèvent ce tableau. Je rougis, quand je m'aperçois qu'il devine mon intérêt pour son corps. Ce qui m'a empêché de débander. Brutalement il me retourne, me met une claque sur les fesses et me dit " au bain " Je sens que je vais partir dans l'eau tiède du bain ! Je me crispe quand il m'embrasse dans le cou. J'explose, me vidant complément. Il en profite pour accentuer son baiser, en faire un suçon. Heureux, amorphe, je me laisse faire. Il m'essuie et me pousse vers mon lit. - Tu as un corps d'ados imberbe avec du duvet blond. Sur ces mots, je sombre dans un sommeil agité où je rêve de mecs à poil qui m'attachent en m'écartant les bras et les jambes à quatre pattes, me défonçant la gorge avec leurs sexes gros comme mon avant bras, me prenant par la nuque pour que je les avale entièrement. Je n'y arrive pas. José dort à mes côtés en chien de fusil, tourné vers moi. Il a dû se branler sur moi. Il bandait trop hier soir. Dans mon sommeil, il me semble que j'ai vu une ombre qui s'agitait. Cette vision a du entraîné mon délire. Curieux, je soulève légèrement le drap, je vois son pieu gonflé, dur. J'ai envie de le faire jouir ! Je plonge ma main et doucement je le saisis. Tout en faisant attention à ne pas le réveiller, je le caresse, je le décalotte. Sur son gland violacé, quelques gouttes de sperme apparaissent. J'ai envie d'y goûter ! Je glisse ma tête sous le drap jusqu'à son sexe, je lèche son bout juste sur la fente pour récupérer les gouttelettes. Je veux le faire jouir. Sans aucune retenue, je gobe son membre. Je le suce comme un esquimau, maladroitement, l'enserrant entre mes lèvres, ma langue caressant sa veine. Il grossit occupe toute ma bouche se tient prêt à exploser. Brusquement, sa main se pose sur ma tête, bloque mes mouvements. Ses jambes se soulèvent et s'écartent légèrement pour m'offrir complètement ses couilles. Il pousse ma tête vers ses boules pour que je les suce. Je m'exécute ! Je les lèche à grand coup de langue, puis je la glisse entre sa bourse et ses jambes descendant jusqu'à la naissance de son penis. Je remonte le long de son dard. ; Je le reprends et je le mets de biais pour l'avaler entièrement. Dans un râle, il jouit à mort. J'en ai plein la bouche. Il se retire. Je déglutis pour avaler son jus. Son gland est encore congestionné, une goûte perle au méat. Je la récupère. Je lève la tête et je contemple José en moitié endormie, qui sourit, heureux, les yeux mi-clos. Ma main est posée sur son sexe. Il se met à me caresser mes cheveux tendrement. Il pose ma tête au creux de son épaule ; tout en me murmurant : Je le regarde dormir, véritable visage d'ange heureux et amoureux ; tout en somnolant sans bouger, gardant au chaud sous ma main son sexe. C'est tellement excitant que je finis par imaginer tout le plaisir qu'il va me donner et que je vais prendre : un pied d'enfer ! Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |