Tourné par mon frère et ses potes - 1 -Je m'appelle Alex, j'ai 23 ans, je suis plutôt beau gosse et surtout, je suis réputé pour être une bonne salope. Ca fait longtemps que je ne cache plus à mon entourage (amis et famille) que je suis pédé. Cependant, seules quelques personnes savent que je suis une vraie lope passive au lit et que j'aime être dominé, voire tourné. Parmi ces personnes, 2-3 amis proches, ainsi que mon frère... et 4 de ses potes, depuis cette fameuse nuit que je vais vous raconter. Mon frère (Cyril), je l'ai toujours admiré en quelque sorte, il a deux ans de plus que moi, il a donc 25 ans ; il faut aussi avouer que c'est un réel beau gosse qui cache dans son pantalon un très bel engin de 21 cm dont il sait, apparemment et selon ses très nombreuses conquêtes féminines, très bien se servir. Nous avons été plutôt bien gâtés dans la famille car moi-même, bien qu'au regard de mon statut de salope elle ne serve pas souvent, je suis doté d'une très honorable queue atteignant le double décimètre dans le caleçon (moins épaisse que celle de mon frère). Ce week-end, nos parents n'étaient pas là. Mon frère et moi, qui vivons toujours au foyer familial, avions donc la maison pour nous seuls. Une aubaine ! Ce week-end, je m'en souviendrai toute ma vie. Que ce soit pour mon frère ou bien pour moi, le samedi soir ne rime jamais avec sobriété et tranquillité. Cyril avait décidé d'inviter ses meilleurs potes à passer la soirée à la maison. Ils avaient l'intention de boire jusqu'à plus soif et de fumer des joints jouant à des jeux vidéos. Evidemment, ses copains dormiraient à la maison (on ne manquait pas de place). Il y aurait Jérémy (sur qui j'ai toujours craqué : un super beau gosse au physique de sportif, super bien foutu avec un cul magnifique et qui m'inspirait souvent lors de mes branlettes), Gaëtan (assez mignon, sans être canon), Joachim (pas super beau mais assez craquant et bien foutu et doté d'une très grosse bite aux dires de ses amis) et Kamel (un fantasme, pour moi qui apprécie particulièrement les rebeus style racaille -je me fais d'ailleurs assez régulièrement tourné par des beurs). Bref, que du beau monde. La présence de mon frère faisant que je ne me faisais pas trop d'idées ni de fantasmes, je décidai donc, dès leur arrivée vers 19h, de m'éclipser et de les laisser tranquilles. Je décidai donc de me rendre chez un ami afin de boire quelques coups. 22h30 : les 7 bouteilles de vin consommées à 4 et les quelques joints fumés commençaient sérieusement à faire leurs effets. Bourré et défoncé, j'étais très excité. Je pris mon portable et discrètement envoyai un texto à un plan cul régulier très actif et assez dominateur afin de savoir si je pouvais venir le sucer et me faire sauter chez lui. Sa réponse affirmative immédiate annonça mon départ. Je dis au revoir à mes potes, quittai l'appartement et pris ma voiture (je sais, ce n'est pas prudent dans mon état...) pour me rendre chez Eric, beau black de 27 ans à la queue longue et épaisse, qui comme d'habitude, me niquerait bien... J'arrivai donc chez Eric. Nous fumâmes un joint et bûmes une vodka. Comme d'habitude. Ce rituel terminé, comme d'habitude nous nous déshabillâmes entièrement prêts pour le sexe. Tout en sniffant régulièrement du poppers, je lui suçais sa grosse queue comme si ma vie en dépendait recevant gifles, crachats et insultes. Il me labourait la gueule me tenant par les cheveux et par la tête, imprimait son rythme, me baisait la bouche comme s'il s'agissait d'un cul. Je venais chez lui pour me faire traiter plus bas que terre et comme une pute. Chaque fois j'étais servi. Je n'étais, encore une fois, qu'une chienne en chaleur, présent pour lui vider les couilles. L'ayant longuement sucé, je m'empressai de me retourner, à quatre pattes, le cul tendu, et de lui présenter mon trou. J'étais très excité. Je mouillais comme une femelle en chaleur et je dandinais du cul en gémissant comme un appel à la défonce. Ma chatte de pute, comme il appelait mon cul, allait être bien ramonée. Je sniffais du poppers pendant qu'il me sodomisait, me donnait des fessées et m'insultait sans relâche et sans retenue. Il m'encula longuement dans de nombreuses positions puis me retourna, me cracha son jus dans la bouche, me fit nettoyer sa bite et m'ordonna d'aller dans la baignoire où il me rejoignit rapidement. Il me pissa dessus en me traitant de sale pédé, de sale pute et de sac à foutre. Il me mollarda à la gueule, me gifla en me traitant de sale chienne et m'ordonna : " Lave-toi sale pédale, décrasse-toi sale pute et casse-toi. Je vais me coucher, tu récupères tes affaires, t'embarques la fiole de poppers avec toi si tu veux (sous entendu, si tu veux encore te faire donner), tu claques la porte derrière toi en sortant et tu m'appelles la prochaine fois que t'as envie de ma queue dans ta bouche et dans ton cul de putain ". J'exécutai ses ordres. Encore bourré et défoncé par les joints et le poppers et surtout ravi de m'être encore bien fait niquer par ce bon mâle actif, je rejoignis ma voiture sur les coups de 1h45. Vu l'heure, je décidai donc de rentrer chez moi. Chez moi, je ne le savais pas encore, m'attendait un! Lop@lopavignon@gmail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |