Cyrillo

Page précédente

Trio - Best friend 3

Ce samedi, nous avions prévu une soirée jeux vidéo. Nous avions donc invité tout les membre du groupe à venir. Mais bizarrement personne n'est venu. Normal puisque nous ne les avons pas réellement prévenus mais que c'était juste une excuse pour nos parents.

J'arrive donc chez lui avec ma console. Il vient m'ouvrir et monte dans sa chambre. Connaissant le chemin, je le précède. Il me suit et rentre dans la chambre et ferme la porte. A peine l'a-t-il fermée que je suis déjà sur lui, entrain de l'embrasser dans le coup. Mes bras l'enlace et finisse par arriver à son paquet que je sens déjà bien dure. Sans attendre, une main soulève un petit peu le t-shirt qu'il a sur lui et rentre dans son pantalon en suivant le chemin de poils.

Elle attrape sa queue et surtout ses couilles qu'elle commence a malaxer. Pendant ce temps là, il s'est retourné et nous nous embrassons, notre salive se mélangeant. ;Lui a placé une main sur mon sexe avec lequel il joue à travers mon pantalon et avec l autre main, il me malaxe les fesses.

J'avais tellement envie de son corps que je commençais à le déshabiller. Il m arrêta.

Je supposai que ces parents allaient rentrer ou quelque chose dans le style. Mais il me dit de fermer les yeux et d'attendre. Je m exécutais, mais j avais tellement envie de voir ce qu il me préparait que je faillis ouvrir les yeux. Il mit de la musique pour m'empêcher d'entendre ce qu il préparait. Il me dit de me retourner en gardant les yeux fermés. Puis de les ouvrir. C'est alors que je découvris un gâteau. Mon anniversaire était dans une semaine et je m'attendais a quelque chose la semaine suivante, mais pas aujourd'hui.

Et pas un gâteau comme celui la. Il était couché sur son lit, il avait mit du chocolat sur son sexe et ses couilles, avec tracer un petit ruban avec de la crème fraîche, qui remontait le long de ces abdos, se séparait au niveau de ces pectoraux, tournai autour de ses tétons. Une petite ;montagne de choco recouvrait ceux-ci.
Il me dit " bon anniversaire un peu en avance, quel meilleur cadeau pouvais-je t'offrir que mon corps.
Je crois que je n'ai jamais été aussi vite pour me déshabiller tellement j avais envie de lui.

Je me précipitais d abord sur la bougie qui se dressait au milieu de se gâteau humain et commençais a enlever la crème chocolatée située sur son gland gonflé de plaisir. En ayant plein la bouche et autour, je me décidais lui rouler une pèle, afin qu il en profite aussi. Comme nous en avions partout sur le visage, je quittai celui si et m'attaqua a un de ces tétons. Je gobais tout son tétons, crème fraîche et choco compris, je léchais donc le reste de son corps laissant le bas pour la fin.
Je me levais et m'enduisais le sexe avec du choco, afin de pouvoir partir en 69, ce que nous fîmes avant de prendre une douche ensemble.

Comme nous étions la pour faire une soirée vidéo nous avons quand même jouer un peu a la console avant et après le souper. Mais après le souper son grand frère est venu jouer avec nous. Il était assis entre nous deux sur le lit, nous avions tout les deux une manette en main. Nous discutions de choses et d'autre comme des gens d'une vingtaine d'année.

Etant en plein hiver, le chauffage marchait. Mourrant de chaud et nous enlevions des couches l'une après l'autres. Nous étions donc en t-shirt. Soudain son frère se lève, déboutonne son pantalon l'enlève et se r'assied entre nous. Tout les deux stupéfait, nous le regardons, nous nous regardons, j ai un mal fou de décrocher mon regard de la masse immense dissimulée derrière son boxer. Lui restait assis, indifférent comme si de rien n'était. Puis il regarda son frère, puis me regarda, il mit ces mains sur nos cuisses et nous dit je ne savais pas que ça vous ferait cette effets la de me voir en boxer. C'est alors qu il nous expliqua qu'il nous avait surpris tantôt et que ça lui avait donné envie d'essayer. Il plaça son bras autour de mon coups, m attira a lui et m embrassa langoureusement avant de se retourner et d embrasser son frère. Voir ces deux frère s embrasser m excita, et je ne pu m empêcher de promener ma main sur son corps et de lui masser le paquets. Je sentais sa bite se gonfler sous l'action de ma main. Je choisis donc de la délivrer de sa prison de tissus. Il ne bandait pas encore à son maximum mais sa bite était quand même très imposante.

J'entrepris alors de le masturber d'une main, de l'autre je libérais ma bite afin de pouvoir de me branler en même temps. Je descendis du sofa afin de pouvoir sucer sa queue qui maintenant avait atteint sa taille normale d'excitation.

Voir ces deux frère se toucher et se lécher m'excitait comme jamais. Je gobais sa bite et ses couilles au plus profond de ma gorge. Mon copain était maintenant en boxer avec la main de son frère dedans. Il enleva son boxer, je me retrouvais donc avec les deux grosses bites des deux frères devant moi, je les rapprochais afin de pouvoir les sucer l'une après l'autres. Je passais d'un gland à l'autre, branlant une puis l'autre. Essayant de les prendre toute les deux en même temps, jouant avec les couilles bien pendantes, les gobant. Je remontais et embrassais son frère, mais mon copain jaloux vint essayer de prendre part au jeu et inséra ;sa langue entre nos deux lèvres, nous fîmes alors un petit combat de langue.

Je remontais alors et m'assis sur le dossier du fauteuil. Ma bite était a hauteur de leur visage. Ils commencèrent à la sucer l'un après l'autre ensuite en même temps, s'embrassant de temps en temps. Son frère se déplaça et m'attrapa les couilles et les mis toutes les deux en bouche, il les emprisonnât, et je sentais sa langue se déplacer contre mes boules, et mes boules ce déplacer à l'intérieur de sa bouche. Pendant ce temps la mon copain était entrain de me faire une pipe magistrale, titillant le trou de mon gland ou mon frein. Je ne pu résister longtemps a se supplice et lâchais une bonne quantité de sperme en plusieurs jet qui vinrent s'écraser contre son palais. Son frère libéra alors mes couilles et vient embrasser son frère. Ils étaient devant moi, entrain de s'embrasser avec ma semence en bouche, ils se la partageaient voir même se la disputaient. Ils se déplacèrent et partirent dans un 69 magnifique a regarder. Quand ils eurent chacun lâcher leur jus, ils vinrent se couché à a mes cotés dans le lit.

Des mains se baladaient sous la couette mais plus par affection que par appétit sexuelle car celui-ci venait d'être comblé. Nous nous endormîmes l'un à coter de l'autre.

Quand je me réveillais, nous n'étions plus que deux dans le lit, son frère était sûrement repartit dans sa chambre pour ne pas éveiller des soupçons chez ses parents. Mon copain me tournait le dos, je lui fis un langoureux bisou dans le cou mais il ne se réveilla pas.

Je passai alors ma main par au-dessus de son bras et la collais sur son torse entre ses deux pectoraux. Mon ventre était collé à son dos et ma queue était un peu plus bas que la fente de ces fesses. Je déplaçais un petit peu ma main sur son corps sur son ventre, ses abdos, ses tétons. Mais surtout, je promenais juste le bout de mes doigts le long de son bras, le contact de l'effleurement de ma peau avec sa peau douce était très agréable.

Soudain sa main se déplaça et alla se poser sur son matelas juste a hauteur de son sexe. Était ce un signe, je descendis alors ma main le long de la sienne afin d'arriver a l'objet de tous mes désirs nocturnes.

Je saisis son sexe mou dans ma main tout en effleurant délicatement ses deux couilles situées juste à coté. Je recommençais alors le baiser langoureux que j'avais posé dans son coup. Je sentis alors un frisson remonter tout le long de sa colonne et il se réveilla. Son sexe se durcis, il tourna la tête et nos lèvres pulpeuses rentrèrent en contact. Ma bite durcissait fortement, mais elle était coincée vers le bas et n'avait qu'une envie, remonter vers mon ventre. Il le sentit et écarta sa jambe vers le haut. Mais au lieu de se coller à mon ventre, elle se coinça entre ses deux jambes qu'il referma. Elle était prise entre ses fesses, comme fermée dans une main.

Je commençais alors a effectuer des aller et retour, comme si je le sodomisais mais sans le pénétrer. A chaque aller mon gland allait toucher ses couilles. Comme celui-ci n'était pas lubrifié par une fellation, ni par un préservatif ou un lubrifiant, chaque contact entre mon gland et la peau de ses couilles n'était pas très agréable. Je diminuai alors la profondeur du mouvement afin de ne pas me faire mal. Je lâchai son sexe que je branlai et apportai ma main à sa bouche.

Il engloutit trois doigts et les enduits de salive. Une fois bien remplis je me dépêchais de porter mes doigt humides a mon gland afin de le lubrifier. Je recommençai alors mes mouvements normaux, en lubrifiants à plusieurs reprises de la même manière. J'arrivais a l'extase, je m arrêtais donc avant d'éjaculer.

Nous nous levâmes afin de nous diriger vers la salle de bain. La porte de la salle de bain se situait en face de sa chambre, mais il fallait traverser le couloir et nous avions tout les deux le sexe tendus. Nous passâmes discrètement et y arrivèrent sans que personne ne nous aperçu. Une fois la porte close nous commençâmes ;à nous embrasser et à se toucher.

Le fait de nous voir dans le miroir m'excitait encore plus, c'était comme si on regardait une cassette de nous entrain de baiser. A tâtons nous nous dirigeons sous la douche et allumons l'eau qui commence à couler sur nous. Il me colle contre la paroi glaciale et commence à suivre les goûtes qui ruissellent sur mon corps avec sa langue et s arrête aux endroit les plus érogène de mon corps. Il arrive à ma queue, qui depuis le temps qu elle n'avait plus été sollicitée avait perdu de sa vigueur. Il plaça sa tête en dessous et récolta le liquide qui s'échappait de mon prépuce. Ce n'était que de l'eau mais rien que de le voir s'échapper de mon sexe, cela nous excitait tout les deux et il vint avec sa langue entrouvrir le prépuce qui entourait mon gland. Sous cette caresse, ma bite reprit de la vigueur et la fontaine qui s'échappait de mon bout s'arrêta et alla alimenter celle qui coulait déjà la poche de peau qui contient mes couilles pleines de jus. Il suivit cette dérivation avec sa langue et goba mes couilles.

Je posai alors mes mains sur ces cheveux et lui maintenait la tête en place tout en lui massant les cheveux. Il fit sortir mes couilles l'une après l'autre et remonta vers ma queue et me l'avala complètement. Il l'avait presque toute en bouche, et n'avançais plus puis tout d'un coup je sentis ma bite entrer plus en lui. Il l'avait complètement en bouche. Il ne resta pas longtemps ainsi et commença à me sucer. C'était divin. Je giclais vite sur lui. Mon sperme s'écoula en partie, l'autre partie resta sur lui et lorsqu'il se releva je pu partir a la chasses à ma semence. Puis je pris sa bite en bouche et le pommeau de douche dans les mains. Avec les jets je stimulais ses couilles et le bout de sa bite qui restait hors de ma bouche. Il ne mit pas longtemps à venir dans ma bouche. Nous avons échangé un baiser plein de sperme.

Nous nous sommes essuyé l'un l'autre. Et chose assez bizarre à faire, nous nous sommes rhabillé l'un, l'autre.

Je mis son boxer à ses deux pied puis le remonta, déposa quelque baiser sur son sexe mou et puis le recouvrit du tissus qui moula directement son engin que je ne pu m empêcher de le retoucher avec mes lèvres, avec mes mains.

Il ne pu s'empêcher de faire la même chose. Nous nous échangeâmes alors le dernier baiser de la journée. Puis nous allâmes déjeuner. Son frère était là et je ne pu m empêcher de le regarder dans les yeux, et j'y lu son envie de recommencer.

Je ne doute pas que les deux frère en on prit pour leur plaisir entre eux les jours suivant.

Pilou

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

www.cyrillo.biz site gay gratuit. Textes et histoires gay.