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Le vigile
Depuis trois plombes sur le tchat, je commençais à désespérer de trouver un mâle à qui faire du bien... Entre les mythos qui se tapent des queues en fantasmant, les idéologues qui cherchent entre 18 ans et demie et 19 ans trois quart avec 4 grains de beauté sur la fesse gauche, il n'y avait rien à se mettre sous la dent... Et le problème quand on reste longtemps sur le net c'est qu'après on n'est plus motivé pour aller sur une aire de repos pour sucer du routier qui viendra peut-être pas... Lorsqu'à 2h30 du mat, l'heure où les yeux se ferment, un pseudo : "vigile à vider sur son taf" Ho ho, ça c'est pour moi...
"Salut trips exact"
"Hi. Je cherche une bouche discrète qui vienne me vider sans blabla, plan très direct."
génial, on se décrit, on se file rendez-vous en échangeant tel. Voix grave hyper excitante, ha merde, il est aux invalides. Bon tant pis ça me fait une trotte mais je vais me prendre une douche froide pour bien me réveiller car le plan est trop tentant.
Je me gare près du bâtiment, je sors de la voiture et m'allume une clope. Je fais le tour cherchant une petite porte que je ne trouve pas. Je me mets donc devant la porte principale et j'en profite pour finir ma cigarette. je matte les rares passant et cette magnifique esplanade. J'adore Paris la nuit. Je tourne la tête vers la porte et je suis ébloui par une lampe torche puissante qui vient de l'intérieur et m'aveugle par la porte vitrée. Je baisse la tête pour retrouver la vue. La porte s'ouvre.
"Qu'est-ce que tu fous là ?" Je reconnais cette voix rauque "J'viens téter de la queue" dis-je tête baissée "Entre"
Je vais deux pas et me voilà dans un immense hall, la porte se referme, je n'ai pas le temps de me retourner que je suis pris par le col "Alors c'est toi la petite salope qui va me vider ? J'espère que t'as soif ? J'ai huit jours de jus dans les couilles." Il me pousse jusque dans un bureau.
"là on sera bien. Il s'installe dans un fauteuil, pose sa lampe sur une petite table, nous sommes éclairés par les lampadaires extérieurs. Je le regarde c'est un mec banal la trentaine, carré, regard noir puissant. Il s'est assis les jambes écartées et se touche le paquet.
"Vas-y salope dessape toi je veux voir ton cul" il voit mon regard surpris "t'inquiètes j'vais pas t'enculer j'ai pas de préso mais ça m'excite de voir des culs"
Je vire mes pompes et mon jean "A poil j'ai dit. Et plus vite que ça salope. Je retire ma veste et mon tee shirt, puis mes chaussettes. Je suis nu, lui habillé se palpant toujours.
"Tourne toi. Écarte tes fesses. Montre ton trou. Hum belle petite chatte poilue, ça doit s'en prendre de la queue... On doit y être à son aise. Mets-toi un doigt." Je m'exécute en mettant mon majeur dans mon trou. "Branle toi la chatte, salope, comme si c'était ma pine qui s'y enfonçait. fais des allers et retours, ouais tu me chauffe bien, vas-y ma salope, enfonce l'index aussi, aller plus vite." je me branlais le cul dos à lui, m'appuyant sur un mur d'un bras. J'avais peur que ce ne soit qu'un plan branle. Quand il me dit : "C'est bien ma salope, retire tes doigts et tourne toi vers moi." C'est ce que je fis.
"Maintenant tu vas bouffer tes doigts, tu vas gouter à ton cul ma salope" je pris mes doigts et les dirigea vers ma bouche, tirant la langue, je me suis mis à les lécher un par un puis à les sucer comme si c'était une bite "ouais c'est bien ma petite pute, tu me chauffes bien toi ! T'es une vrai salope. Viens me lécher les rangeos. Et que ça brille" je n'avais pas vu mais il avait des rangers aux pieds, ni une ni deux, je me jette à ses pieds, le cul bien cambré et je lèche le cuir en bavant bien dessus. J'entends une fermeture éclair qui s'ouvre. Je lève les yeux et je le vois écarter l'ouverture de son pantalon qui laisse entrevoir un dessous blanc.
"C'est ça que tu veux ma salope hein ? Bah viens la chercher, viens."
Je remonte sur son entre jambes et j'enfouis ma tête dans cette ouverture. Je hume avec bonheur les odeurs du mâle et j'ai tous les nectars dans les narines. Pendant ce temps il a glissé son pied entre mes jambes, je sens sa rangers que je viens d'humidifier se frotter contre ma raie. Je repère sa queue qui semble bien épaisse et très dure. Je lèche le tissu pour la faire bouger.
"Hum c'est bon. Retourne lécher ma pompe t'as dû la salir avec ton cul trempé." je redescend jusqu'à sa pompe, laissant glisser mon corps sur le sol froid et je lèche sa chaussure qu'il frottait sur ma chatte. Il en profite pour baisser son pantalon et son slip. Je lève la tête et je vois sa bonne bite bien large, non circoncise et ses grosses couilles poilues, je ne peux pas résister plus longtemps et je gobe les deux pêches. Je fais rouler dans ma bouche, les sors, les lèches. J'ai envie de les bouffer tellement elles ont l'air pleines.
"Viens me lécher le gland salope, j'ai déjà de la mouille tellement que tu m'excites."
Je sors ma langue pour humidifier toute la longueur de la queue, arrivé au gland à moitié recouvert du prépuce, un liquide épais blanchâtre tâche une bonne partie du gland. Je lèche un peu cet élixir et gobe le gland, Il me pousse la tête violemment et me colle une baffe, de son autre main il m'attrape la nuque fortement et s'approche de mon visage "J'tai pas dit de sucer salope. Je t'ai dit de lécher. Faut écouter ce qu'on te dit. T'as compris ? Sinon je vais pas être content. Ouvre ta gueule sale pute" et là il se racle la gorge et m'envoie un méga mollard qui atterrit entre ma bouche et ma joue. Il fait glisser avec ses doigts et me l'enfonce dans ma bouche en les faisant aller et venir.
"Avale ma salope c'est ton premier repas, attends je t'en envoie un autre" et rebellote il se racle la gorge mai cette fois vise directe dans la gueule, que j'avale sans rechigner.
"C'est bien ma salope, tu vénères ton mâle. Allez viens me lécher le gland, je te dirai quand il faut sucer."
Je me remets à la tâche léchant le gland, le nettoyant de toute sa mouille, je lape, décalottant le gland avec ma main.
"Vas y suce moi maintenant"
Enfin je prends cette queue hyper épaisse dans ma bouche je fais de gentil va et viens pour profiter de chaque centimètres de ce chez d'oeuvre, j'accélère en retirant ma main. je fais mes lèvres plus dures pour accompagner le mouvement en malaxant les couilles, ma langue tourne dans tous les sens, je m'excite sur cette queue, je la veux, je veux son jus. Sa main passe derrière ma tête, il prononce le mouvement avec son bassin. J'en profite pour lui faire une gorge profonde.
"Whaou ! C'est bon ça ma salope. Continue."
j'y mets toute mon âme, toute ma passion. Je le suce bien à fond. Quand tout à coup, il se lève et il me bloque la tête, s'enfonçant au plus profond, me forçant à m'étouffer "vas y salope, dégueule sur cette queue, étouffe toi dessus" il me tient fortement la tête, donnant des coups de bassin violent. Bien sur un léger renvoi arrive tapissant sa bite.
"Ouais ma salope, c'est ça, ma bite elle fait du bien elle fait du mal. Tiens prends, prends ça et ça." Il accélère comme un fou, je serre les lèvres pour que rien ne déborde et là dans un hurlement il m'envoie une dose de foutre impressionnante. Elle se mélange à mon renvoi. Mon défi est de tout garder. Mes yeux pleurent. Il se calme en relâchant tout ses muscles. J'avale.
"Ouais avale ma pute, avale tout"
Je récupère des petits morceaux de bouffe non digéré. Je la décrasse. Elle se ramoli peu à peu. Je continue à la lécher. Quand j'ai fini mon travail, je la repose délicatement sur sa paire de couilles et je l'embrasse sur le gland qui se cache peu à peu.
"Et ben putain. C'est rare de trouver des salopes comme toi. Surtout à cette heure. T'as aimé ?"
"Oui" lui dis-je en m'essuyant les yeux.
"T'es bien docile toi ! Une bonne pute quoi. ça te dirai qu'on remette ça ?"
"Oui avec plaisir"
Il remonte son pantalon
"Viens"
Il me prend par le bras, nous traversons un couloir. Je pensais qu'il disait de remettre ça une prochaine fois ! Je suis à poil, sa main tient fortement mon bras, nous parcourons des kilomètres pour arriver aux chiottes "Faut que je pisse pour te rebalancer une giclée. T'as gouter à ton cul, à mon jus maintenant tu vas boire ma pisse. Tu sais ce qui m'excite là, c'est qu'il y a plein de clients qui viennent dans ces chiottes dans la journée, tu pourrais vider plein de mecs. ça t'exciterai ça, hein ? Allez je vais jouer au client. Faut être gentil avec le client. Allez agenouilles-toi." me dit-il en me forçant avec ses mains sur mes épaules.
"Tu vas mettre ta gueule dans l'urinoir." je le regarde fixement et soumis, je kiffe ce moment.
"Ouvre ma braguette. Plus vite salope, j'vais me faire dessus. Sors ma queue et ouvre la bouche tu vas poser mon gland sur ta langue." Je m'exécute en le décalottant.
"Putain que tu m'excites j'vais jamais réussir à pisser. Hum c'est chaud. Bouge pas ta langue, ça va venir... Voilà ça vient, doucement..."
Et sa pisse jaillit dans bouche ouverte, elle déborde par mes joues.
"Alors là t'es qu'une merde ! Je te pisse dessus ma salope." Il prends sa queue et m'asperge le visage puis le corps.
"Ouvre ta gueule, j'veux qu't'avales."
J'ouvre ma bouche et avale un peu de cette urine, il m'arrose les cheveux, s'amuse à diriger son sexe. Une flaque se forme sur le sol. Le jet faiblit.
"Ha putain, ma salope. Assieds toi dans ma pisse. Ouais et doigtes toi le cul avec tes doigts plein de pisse. Hum; Ouais fais les ressortir. Bouffe les. Putain la salope. Tiens viens m'avaler les dernières gouttes avec ta langue. Il nous faudrait des putes pour nous nettoyer la queue après qu'on ai pissé."
Je lèche son gland en le fixant du regard. Je sens la pisse mais je suis excité comme un fou je me doigte le cul avec frénésie, je voudrais qu'il me défonce. Sa bite reprend de la vigueur, je la tète doucement. son pantalon est tombé sur ses genoux.
"Lèches moi les couilles ma salope. J'vais te donner ta deuxième rasades comme promis. Lèches moi bien."
Je lui lèche les couilles et il se branle avec force. Je glisse ma langue sous les couilles, m'arrêtant juste avant son anus poilu.
"Vas jusqu'au cul salope. Bouffe moi le cul."
Je passe ma tête en dessous, prends ses deux fesses pour les écarter et j'y jette un grand coup de langue.
"Oui ma salope c'est bon ça"
ça sent pas la rose, mais qu'est-ce que j'aime les culs de mâle. J'y enfoui ma bouche et je bouffe ce trou poilu. Après l'avoir bien décrassé je reviens aux couilles que je lèche avec enthousiasme. Il se branle frénétiquement et dans un cri m'envoie sur la gueule et dans les cheveux plusieurs jets de sperme que j'essaie de faire atterrir dans ma bouche. Je gobe son gland pour récolter les dernières gouttes et lui rendre sa queue nikelle.
Une fois fini il me regarde, la gueule pleine de sperme.
"C'est du gâchis ça !" et avec ses doigts il récupère du sperme, j'ouvre la bouche mais il se baisse et me les enfonces dans le cul; "Comme ça tes deux trous auront eu leur dose." Il récolte tout son jus et me le fou dans le trou direct. Il me doigte maladroitement.
"Putain il est bon ton cul. On doit y être bien. Tiens ma salope. Prends mes doigts. T'en as trois là."
Après quelques va et vient il me présente ses doigts à sucer. Ce que je fais avec plaisir. Il se relève et remonte son pantalon. Je me lève et vais vers le lavabo pour voir dans le miroir l'étendu des dégâts.
"J'te préviens y'a pas d'douches", je me nettoie succinctement le visage et les cheveux. Il ouvre la porte, je sors, il regarde l'état de la pièce :
"Putain le bordel, c'est les femmes de ménage qui vont être contentes... En même temps c'est leur boulot !"
On retourne au bureau où je m'habille assez rapidement.
"J'garde ton tel ma pute. Ok ?"
"Oui. ok !"
"Avec un collègue on se fait des plans... Bon c'est avec des filles... Mais si ça l'intéresse tu serais ok ?"
"Oui avec plaisir."
Il me raccompagna jusqu'à la porte me pelotant les fesses une dernière fois.
"Salut p'tit"
Je pris ma voiture. Je sentais la pisse et le sperme. Mais une fois arrivé chez moi j'étais tellement crevé que je me suis couché comme ça.
Ppeurdcil
ppeurdcil@gmail.com
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org
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