Voyage viscéral...Il est 23h. Je suis aux pissoirs du parking de l'autoroute direction Lyon. sur le parking, pas un camion, pas une bagnole. je m'en fout. Je sais que dans un moment le bal va commencer. J'entends un camion qui arrive, je ne regarde même pas, je sais que c'est un mâle. Il va descendre de sa cabine, les burnes bien serrées dans son fute, le jut bouillonnant depuis 400 bornes, bien secoué et tassé et coincé au fond de ses couilles lourdes de désirs. J'attends mais je sens l'émoi monté dans ma tige de mec. Ah ces connes de gonzesses!!! elle sauront jamais ce que c'est que d'attendre un mâle. Elles savent pas ce que c'est que de caresser le corps d'un gars viril. Elles savent même pas caresser ces connes. J'entends les pas du mec qui cogne sur le bitume du parking, il approche sa queue surement déjà raide entre ses cuisses musclées. La porte s'ouvre, il se place à côté de moi. Il sort sa pine de 20 cm raide, dure comme un bout de bois. Il se la masse lentement en grognant et en murmurant des saleté du genre: "bouge tout ça salope de pédé! montre toi fièrement, cabre toi écarte tes cuisses ouai t'es splendide, putain quel bel homme ! je bande comme un cerf en te mâtant, je me suis branlé trois fois aujourd'hui en pensant à ton corps bodybuildé, à te biceps, à tes cuisses, a ton cul, à tes abdos, putain et t'es là, juste offert à mes désirs les plus fous. je vais t'enculer sale mec vicieux! je vais je troncher le fion je vais te faire gueuler de plaisir! regade ma teub raide prends la dans ta gueule,suce la ! ouai suce moi la tige, aspire mon jut de mâle, ouai je veux que tu passe ta langue épaisse sur mon gland; écrase mes couilles avec tes mains ouuuuai ! c'est bon tire dessus. Quelle salope t'es, " je suis acroupi devant lui, son immense pine dans la bouche, il me la four jusqu'aux amigdales, je sent que je vais étouffer ou vomir avec ce morceau de bidoche chaude planter dans ma gorge. j'imagine... en tout cas j'en connais deux ou trois qui se joindraient à nous. je vois bien qu'ils me désirent mais n'osent pas faire le pas; et moi, comme une sale fiotes, je les laisse me désirer. je sais qu'ils doivent se branler le soir en pensant à moi. mais je ne donne aucun signe qui puisse les encourager à le toucher d'une manière ou d'une autre. ca aussi ca m'excite. ca m'excite grave d'exciter les mecs et de les laisser les burnes pleines de jut et la bouche pendante de désirs inassouvis." Le routier est en train de lècher mes biceps et mes dessous de bras, il aime ça ce putain de mec. J'entends qu'une bagnole approche. J'entre ouvre la porte des wc pour voir si c'est pas des flics. Non c'est pas des flics. Je continue donc à mes laisser faire par ce gros goulu de routier. Il me lèche partout je suis enduit de sa bave gluante. Il me sturbe la que doucement, il m'économise, il ne veut pas que je crache mon sperme trop vite. La porte s'ouvre. Un jeune mec que je connais pas est là, stupéfait par le spectacle choquant. Je lui souris. Alors il se tourne carrément vers nous et nous regarde. Mon routier me fout sa queue dans le trou du cul, je grogne. L'autre se sturbe il se lèche les lèvres, il doit avoir envie de toucher. Alors il s'approche et se met a me caresser les bras et de soupeser ma musculature. Pour l'exciter, je bande mes muscles, il a l'air d'aimer. Je luis murmure: il se penche timidement et me tend ses lèvres en fermant les yeux, elles sont bien ourlées; je dépose un baiser dessus, il ouvre ses lèvres, je met ma langue contre ses dents, il ouvre encore, je sens ma langue qui touche la sienne, je sens sa main sur ma nuque. Il ouvre encore sa bouche et je sens qu'il enfile sa langue dans ma bouche; il aspire ma salive il ouvre encore sa bouche plus grande il a mes lèvres entièrement dans a bouche; il aspire mon nez qui entre aussi dans sa bouche, puis mes yeux, puis ma tête, il aspire, je sens que mes épaules entre dans sa bouche démesurément ouverte. CE MEC ME MANGE. Je suis avalé par lui, je descends dans son oesophage, je me trouve devant l'entrée de son estomac, j'entre, je trouve un big mac mal mâché. Comme j'ai une petit faim, je le fini. Puis je trouve la sortie de son estomac. Je suis dans un labyrinthe, c'est ses tripes. Je suis un peu à l'étroit; mais ça glisse bien; j'arrive devant un truc, un obstacle. Cela s'ouvre mollement, c'est son trou du cul je passe ma tête et je sort par son anus. Il me chie!!! il me chie là dans ces chiottes!!!! le routier se branle la pine et jouis de litres de jute effervescente. Je suis nu par terre le mec se retourne me regarde. Ses yeux sont violets et fluorescents et me dit avec une voix d'outre tombe: ouai, putain j'ai toujours eu envie de faire ça. mais à ce moment là, la porte s'ouvre à nouveau et c'est un suppositoire qui entre en gueulant: et j'entre dans le cul de mon nouvel ami. Mon routier se place derrière lui et l'encule, cela m'aide à monter dans ses tripes, c'est beau de voir cette queue dans le cul de ce mec. C'est beau de la voir de l'intérieur. Mais soudain.... Elle crache et je nage dans un bain de sperme gluant, là, dans ce trou du cul de martien inconnu. J'en avale un peu par gourmandise. Et ce liquide m'aide à glisser vers le haut, mes muscles sont enduit de foutre chaud et de merde irisées qui sent la pivoine, j'ai envie de rester là. Je m'arrête. Au bout d'une heure le gars s'inquiète; il veut que je sorte de lui, alors il d'accroupi et pousse. Je résiste,je m'agrippe à une glande qui est là sur la droite, je ne veux pas qu'il me chie a nouveau. Alors, dans un spasme, il me vomi par terre. Voila ce qui m'est réellement arrivé demain. A plus votre Pascal qui vous lèche la pine et déguste la goute qui est au bout. pascalpascalsport@orange.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |