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14 Mai

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

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D'un plan à pute

Mon plan me fait tourner à son pote

Avant de commencer, je me présente vite fait. Je suis un mec de 31 ans, de 1m82 et ancien talonneur amateur au rugby. J'ai pas mal fondu depuis, atteignant un bon 95kg en gardant une certaine musculature. Je ne suis pas le plus beau, ayant le chic de jamais être bien sur les photos. Mais on me dit souvent que j'ai les yeux brillants de malice et un sourire ravageur qui font craquer hommes comme femmes.

J'ai emménagé dans une ville loin de ma région natale, assez isolée des grandes villes. J'y ais fait la rencontre d'un mec de 26 ans, une tête de moins que moi, un peu grassouillet, pas forcément beau gosse mais le courant passe assez bien. Il faut dire que les choix sont limités là ou je suis. Peut-être est-ce dû qu'il n'y aura rien de sérieux entre nous : il n'est pas trop mon type, et il cherche juste un vide-couilles les périodes sans copine. On se confie beaucoup de nos délires et fantasmes.

Lui est actif, plutôt dominateur en théorie. Même si ma belle grosse queue de 20 par 5 l'excite pas pas mal et me la pompe (mal) de temps en temps ; lui est plutôt dans la moyenne, mais elle est magnifique. Je dirais 13-14 par 4, juste assez longue pour que le gland passe la luette et rentrer dans ma gorge. Il tripe énormément à l'idée de me contraindre : me menotter, m'attacher et me mettre un bâillon qui maintient ma bouche ouverte. En résumé, devenir une vraie machine à pipe. A voir sa réaction, je dois être le premier gars qu'il rencontre qui partage son délire, et je sens qu'il se lâche enfin.

Un jour, il m'invite chez lui. Ça n'arrive jamais : il habite toujours chez ses parents. Une invitation très classe : « Hey, ça te dit d'être ma pute aujourd'hui ? » On cause un peu, j'accepte, m'envoie sa localisation et je me pointe chez lui.

Il me fait rentrer dans le garage, on s'échange des bonjours. Il se pose sur une chaise en plastique en s'ouvrant une bière, les jambes écartées et me regarde en mode « tu connais ton boulot ». Je me mets à genou et j'approche de son entre-jambe. Il bandait déjà à fond avant même que le touche. Je défais sa ceinture, déboutonne son pantalon, descends sa fermeture et libère sa queue de sa prison de tissue. Je passe même pas 30 secondes à lécher et suçoter que d'une main, il me plaque la tête contre sa queue et m'impose une gorge profonde. Il est déjà bien chaud.

Il me repousse, se lève et récupère du matos dans un casier. Je vois des menottes, de la corde et un bâillon. Ça y est, il va faire de moi sa machine à pipe pour la journée comme on avait parlé. Je ne pensais pas que ça allait devenir réalité, mais nous y voilà.

Il essaie de jouer les autoritaires, à donner des ordres mais son manque d'assurance ne le rends pas crédible. Mais allez savoir, ça m'excite de me faire « dominer » par un gamin (il a 26 ans certes...) que je peux maîtriser en levant le petit doigt. Peut-être que je l'intimide toujours un peu !

- Vas-y déshabille-toi !..

Je m’exécute, prenant mon temps et voir comment il réagit. Je dévoile mon torse aux pectoraux dessinés et mes épaules puissantes. J'entretiens ma pilosité, montrant un dos glabre et mes pecs coupés courts. Mes abdos ne sont pas saillants, cachés par un coussin moelleux mais on les devine bien. En retirant mon bermuda et mon caleçon, ma queue vient se dresser jusqu'à mon nombril. Je le vois savourer, même si ma queue l'hypnotise toujours autant. Reprenant ses esprits, il vient dans mon dos. Instinctivement, je mets mes mains derrière le dos pour qu'il les menotte.

- Mets toi à genou !

Je m’exécute. Il place le bâillon. C'est un système avec deux branches en métal qui peuvent s'écarter pour empêcher de fermer la mâchoire. Je mords les deux branches et je baisse la tête pour qu'il boucle les lanières à l'arrière de la tête. J'écarte les branches au maximum, il doit y avoir une amplitude de 5cm. Il recule de deux pas, comme pour avoir une vue d'ensemble de son œuvre. Un peu comme un enfant à qui l'on offre une PS5 après avoir attendu beaucoup trop longtemps. Il jubile.

- Attends, je vais t'attacher à la poutre.

Je m'adosse à la poutre. Je vois bien que ma tête est beaucoup trop haute quand je suis à genou, donc je m'assois. Il prend la corde et fait deux tours avant de faire un nœud. C'est plutôt serré, mais nous y voilà. Je suis à la merci d'un mec qui m'a attaché dans un garage avec un sextoy dans la bouche qui m'empêche de fermer la mâchoire, dans l'unique but de me faire baiser la gueule. Cette pensée me donne une énorme érection : je suis devenu une machine à pipe.

Il me regarde, satisfait.
- Ça va ? Tu es bien ?
J’acquiesce comme je peux.
- J'aime trop. T'es beau gosse là. Tu vas faire ta pute là.

Il s'approche, je vois son air vicieux : ses yeux plongent dans les miens. Je le sens me dominer de tout son corps lorsqu'il me regarde de haut. Sa queue s'écrase sur mon visage pendant qu'il cramponne ses mains à mon crâne. Il recule son bassin pour que sa queue se présente à l'entrée de ma bouche avant de s'enfoncer d'un coup entier.

Il me baise littéralement la gueule et... je me sens à ma place. Son gland fait des va et viens à l'entrée de la gorge comme s'il se masturbait dedans. Je salive énormément. Je me rends compte que je ne peux pas du tout avaler avec le bâillon et je dégouline de partout. Ça dégouline des coins de mes lèvres et ruissellent le long de mon cou. Je dois faire peine à voir : je me sens sale, déshonoré et j'ai des larmes qui perlent du coin de mes yeux. Mon fantasme d'être une pute, et la réalité est bien différente : je me sens honteux. J'ai honte. Et pourtant ma queue mouille tellement qu'on pourrait croire que j'ai éjaculé.

J'étouffe et j'ai aussi des nausées. J'ai vraiment peur de vomir. Mais à chaque fois que j'étouffe, je le sens qu'il prend un malin plaisir à rester au fond pendant que je suffoque. Jusqu'à l'inévitable : je vomis. Ce qui sors n'est que de la bave qui s'écrase sur mon torse et ça me rassure. Il me laisse respirer 3 secondes avant de reprendre ses assauts. Ce manège continue deux minutes avant qu'il s'enfonce au fond et fini par juter. Les jets s'écrasent dans ma gorge pendant qu'il râle de plaisir.

Il s'assoit sur la chaise en plastique pour récupérer pendant qu'il m'observe, penaud, attaché à la poutre, le corps luisant de bave. Il me prend en photo, et me dit d'attendre 5 minutes avant de recharger les batteries pour une seconde session.

Son portable sonne. Il a reçu un message. Il rougit, prends du papier pour s'essuyer la bave sur lui. Il me dit qu'un pote vient d'arriver. Il me demande si ça me dérange d'attendre un peu. J’acquiesce comme je peux. Il me dit qu'il fait vite. Il ferme la porte et éteints la lumière. Oh le con ! Je suis dans le noir, nu, attaché à poutre, couvert de bave qui sèche sur moi. Je suis en mode « mais qu'est-ce que je fous là ».

10 minutes plus tard, il revient. 10 minutes c'est long. J'ai déjà débandé. L'excitation est déjà retombé. Je questionne un peu mes choix dans la vie qui m'a amené à vouloir me retrouver dans cette situation. Je le regarde en mode "c'est bon ?", mais il me dit qu'il récupère des bières mais qu'il fait vite. Et là, je vois son pote débarquer en criant :

- Tu as pas plutôt de la despé ?

Mon plan rougit de ouf et est paralysé. Son pote me voit en mode choqué. Il a des origines, plutôt typé indien je dirais. Il est encore plus petit que lui, il a une gueule d’alcoolique et est obèse. Pas spécialement très beau. Sur le coup, je me suis dit : « ce mec, il doit tellement galérer pour choper ». Je pense qu'ils ont le même âge, mais il fait vraiment beaucoup plus vieux.

- C'est quoi ça mon pote ?

Mon plan bégaille et ne s'est même pas quoi dire. Je n'ai plus trop les détails, mais l'échange s'est passé grosso-modo comme ça :

- Attends, tu te payes des putes gay ?
- Non non c'est pas ça...
- T'inquiète t'inquiète. Moi aussi je fais ça.
- Ah ok... Tu vois des mecs ?
- Non jamais, mais des meuf j'en prends pour baiser. Il encaisse bien ?
- Euh... oui.
- Tu le payes combien ? Je peux tester ? J'ai les couilles bien pleines là...
- C'est pas une pute...
- Attends tu es gay ?
- Mec t'es sérieux, tu connais mes exs. C'est juste mon vide-couilles voilà...

Je ne sais pas trop où me mettre. Je baisse les yeux, alors que les deux potes parlent de moi comme si j'étais un vulgaire bout de viande qu'on négocie sur le marché.

- Allez fais moi tester. Pour ton pote dans le besoin...

Je lève les yeux, mon plan me regarde pour voir si je consente. Je fais mine d'être OK.

- Vas-y doucement, ok ?
- T'inquiète, tu me connais !

Son pote s'approche : il se tient à 10cm de moi. Il baisse son pantalon et son boxer en même temps, et sa queue s'écrase sur mon visage. Il bande « mou » mais a de belles dimensions. Il avait une queue longue genre 18-20cm mais plutôt fine genre 3,5-4cm, mais un énorme gland. Il n'entretenait pas sa pilosité : c'était sauvage. Une touffe au dessus de sa queue, et des couilles poilues pendantes. Je me dis que ce mec ne doit jamais pécho pour que ça soit dans cet état. Rien qu'avec cette pensée, ma queue s'est mise à bander d'un coup.
C'est comme si je faisais de l'humanitaire à un mec en détresse. La honte d'être exploité comme vide-couilles par un célibataire endurci probablement alcoolique aux couilles bien pleines alors que je pourrais rencontrer des mecs bien mieux.

D'une main, il dirige sa queue à ma bouche. Les barres de métal touche son gland en haut et en bas avant d'envahir entièrement ma bouche. Je le sens déjà toucher ma luette alors que je sais qu'il n'y a mis que son gland : j'ai l'impression d'avoir une poignée de porte ronde dans ma bouche. Il s'arrête là, retire sa main de sa queue pour la mettre sous mon menton, et porte l'autre main sur l'arrière de mon crâne.
J'en profite pour lécher son gland dans ma bouche pendant qu'il reste planté là. Sa queue a un goût un musqué mais je m'habitue assez vite. Je l'entends gémir des petits « ouais » pendant qu'il a les yeux fermés.

Après 2 minutes, il commence à enfoncer lentement son gland dans ma gorge, cm par cm. A chaque fois que je m’étouffe, il recule pour me laisser respirer une dizaine de seconde avant de continuer le mouvement. Il fait attention. Je bave énormément et ça coule du coin de mes lèvres. Je sens son gland forcer le passage et passe ma gorge. Elle y glisse facilement je la sens dans mon cou. Ses poils me chatouille le nez avant qu'il me plaque totalement à son entre-jambe. Ses couilles pendouillent en dessous de mon menton pendant que son ventre recouvre ma tête. Ca y est, elle est entièrement en moi. Le fait d'avoir le nez plaqué m'empêchant de respirer (pas que je pouvais avant) m'aide à mieux supporter et ne plus avoir des nausées.

Je l'entends gémir fort, variant des « ouais c'est bon » et des insultes « t'aime faire ta pute » « tu aimes les grosses queues » « je vais te ramoner la gorge » et j'en passe. J'en oublie le gars qui m'a invité tellement je suis concentré sur la queue de son pote : il doit regarder le spectacle depuis le début mais aucune idée d'où il est. Je suis en transe.

Il commence à me ramoner la gorge. Son gland glisse et fait des va-et-vient. J'ai des hauts de cœur qui cherche à « expulser » sa queue, mais il doit tellement kiffer ça qu'il ne recule plus systématiquement à chaque fois que ça arrive. Il attend que j'étouffe 2 ou 3 fois avant de me laisser reprendre ma respiration... ou que je vomisse une quantité de bave. Ce mec me pousse à mes limites : il sait clairement ce qu'il fait. Mon nez s'écrase sur sa touffe et je sens ses couilles balancer sous mon menton.

A ce stade, je me dis « je suis juste une vaginette » pour ce gars. Je prends cher, il me baise la gorge par session de 20 secondes sans tenir compte que j'étouffe ou que je vomis toute ma salive, me donne 5 secondes pour respirer, avant de me rebaiser la gueule. Je kiffe que ses couilles tapent sur mon cou, qu'il me tienne la tête et que je suis qu'un « objet » pour lui. J'ai un mélange de fierté et de honte, je suis bien et à ma place : la satisfaction d'être utile. J'ai limite l'impression d'être aimé.

Au bout de 5 minutes, sa respiration s’accélère, et je l'entends « oh putain tu vas me faire juter ». Il sort sa queue complètement, se branle 5 secondes et éjacule deux gros jets en direction de ma bouche, avant de remettre son gland dans ma bouche et finir d'éjaculer. Je sens encore deux jets taper le fond de ma bouche, un goût étonnement sucré avant de sortir sa queue et la remettre dans son boxer et remonter son pantalon.

Il me donne deux petites tapes sur la joue en me sortant :
- Tu as bien bossé ma pute

Il se tourne vers celui qui m'a invité.
- Je sais pas où tu l'as trouvé mais il encaisse bien. Tu me passeras son numéro.

Je me rends compte qu'il a profité du spectacle mais il avait gardé sa queue dans son pantalon. Il avait l'air complètement dépassé par les événements. Il lui réponds :
- Ouais, ouais...
- Ça marche, je m'en vais je te laisse profiter de ta pute.

Ils remontent ensemble, me laisse quelques minutes seul et il redescend. Il se confond en excuse, et me libère de la poutre et des menottes. Je retire le bâillon pour lui dire qu'il y a pas de mal, que j'ai bien kiffé. Il avait l'air super gêné donc je n'ai pas insisté. Je me rhabille et je repars.

Dans la voiture, je me masturbe en repassant à ce qu'il vient de se passer. En même pas 1 minute, j'éjacule la plus grosse quantité de sperme que j'ai jamais produite. Je m'en fous partout : j'ai été une machine à pipe et on m'a fait passé à un parfait inconnu.

Je reçois un message plus tard dans la soirée. C'est son pote : il a vraiment donné mon numéro. Il me complimente sur mes talents, et me demande mes tarifs. Il pense vraiment que je suis une pute. Étonnamment, ça me fait vraiment bander de ouf. Je sais pas quoi répondre : lui dire que je ne suis pas une pute (ou que je suis une pute gratuite), ou aller plus loin dans le délire et me faire payer pour qu'il abuse de moi...

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