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Premier épisode

Un quart de siècle

2| Rodolphe

Le surlendemain , samedi 11h. J' avais déjà envoyé 3 messages restés sans réponse . Je bous , tout est prêt pour commencer les travaux mais pas de Raphaël . Soudain, le téléphone bipe .

R- :désolé, j' ai traîné hier , je suis là dans ½ heure

M- : ok ! (je suis limite de lui dire de rester chez lui )

Je fulmine quand il arrive à vélo et j' essaie de rester calme. En même temps, le voir en short , tee shirt , la chevelure en vrac , ses cuisses musclées , sac à dos sur l' épaule et surtout ( il exagère ) ce sourire et ce regard toujours fuyant , il est déjà pardonné !

M- Tu es pris demain ? Parce que si on commence, il faut aller au bout , alors tu restes là ce soir si tu veux et demain, on attaque de bonne heure , ok ?

R- ça marche j' ai rien de prévu

Nous nous sommes mis au taf de suite . Il s' agit de changer les plaques goudronnées sur le toit des deux chalets . Je dois avouer qu' il travaille vite et habilement , de plus il est plus à l' aise que moi en hauteur .

A 15H j' ai faim , lui aussi . Bières, charcuteries ,crudités ,fromages. Peu de paroles

Très vite on se remet au travail , le soleil tape dur , une petite pause vers 17H , la bière coule trop vite.

A 19H 30, le toit d’un chalet est terminé. Il est sur la crête de l' autre, marteau à la main et finit un coté. Je suis surpris de la vitesse à laquelle nous avons avancé . Il fait lourd et la chaleur de ce gars puissant, torse nu à mes côtés depuis quelques heures ne fait pas tomber la température . Encore quelques coups de marteau .

M-Si ça te va, on laisse pour aujourd'hui, histoire de passer une soirée cool .

R- OK avec plaisir .

Moi, je suis déjà en bas de l' échelle , il descend. Est-ce de l' avoir côtoyé trop longtemps, la chaleur , celle du soleil ou celle qui est dans ma tête ? Quand son cul arrive à hauteur de mon visage, je plonge ma gueule dans ce cul seulement couvert d' un short et d' un slip ( oui un slip ), mes mains le tenant par les cuisses.

Loin de me décourager , il enfonce , dandine son cul, laissant passer l' odeur d' un mec qui a travaillé . C' est bon , chaud , humide , ça respire la moiteur . Il descend et, à peine en bas, me fait face. Je suis déjà à genoux dans l'herbe . J' arrache ses skets, baisse rapidement le reste de ses frusques que je vire . Je relève au plus haut sa queue plutôt bandée pour aller nicher mon nez plus bas, à la base de ses couilles , il écarte les jambes . Encore une odeur dedingue ! Ma langue commence à faire des va et vient sur le périnée , pousse jusqu'à son petit trou , j' aspire , respire un long moment mais j' ai envie de voir sa tête . Ma langue remonte entre ses deux couilles, lèche son aine, remonte le long de son barreau veineux . Ses yeux sont enfin dans les miens ; ce coup-ci, il a un regard de vainqueur ,

J' accepte volontiers d' être vaincu , un réflexe pour mouiller mon majeur qui part lentement vers sa rosette pendant que ma langue commence à faire le tour de son gland avant de l' engloutir sans précipitation . Je me contente de suçoter, j’aspire, prend un peu plus en bouche, tourne la langue . Mon doigt va profond dans son cul , j' en ajoute un deuxième pour aller plus loin et frotter cette boule dure que je sens à l' intérieur . Ses mains me caressent les cheveux et poussent ma bouche un peu plus loin aussi , ses yeux toujours dans les miens . Il gémit , écarte encore plus les jambes, me donnant un accès encore plus facile à son cul , commence à m' étouffer avec son membre en bouche , j' adore !

Puis il empoigne sa queue d' une main, l' autre toujours sur ma tête . Je sens son cul se contracter en repoussant inévitablement mes doigts puis le râle du mâle et cette crème qui vient s' abattre sur mon visage , ma langue . Alors j' empoigne son sexe pour glisser son gland sur mon nez , mes joues , me barbouille de son sperme , je sens son pied se glisser entre mes jambes, faire des aller et retours . J' avale son membre, le tète , lèche , nettoie . Son pied insiste de plus en plus sur mon entre jambe et la bouche pleine je gémis comme un bébé quand un passage de pied plus appuyé me ferait presque hurler si je pouvais , mon entre jambe est gluante , des soubresauts incontrôlés alors qu'il continue à frotter son pied . Une jouissance que je n' ai même pas vu venir . Je suis toujours à genoux , béat , assommé . Je me lève enfin, sourire aux lèvres l' embrasse dans le cou, sur les lèvres , essaye de reprendre un peu contenance .

M- bon vu le travail et la chaleur d' aujourd'hui, je pense qu'on pourrait prendre une douche avant de s' installer cool ? Tu sais où est la chambre d' amis . Il sourit, me rend mon bisou et nous rentrons, direction la douche .

La soirée est très agréable . Apéro , barbecue , bon vin . Ce mec est très avide de connaissances et malgré de flagrantes lacunes , nous passons de Balzac à la géo -politique , l' histoire … Il m' écoute , m' apostrophe pertinemment . Mais comme la dernière fois il boit trop vite et à une heure tardive ( moi même je sais plus ! ) je lui fais comprendre qu 'il est temps de dormir .

Le lendemain le réveil est un peu dur mais pas trop tardif . Après quelques cafés, on se remet rapidement au travail . A midi les deux chalets sont terminés , il doit aller voir des potes et moi j' ai envie d' être tranquille . Il doit repasser deux jours plus tard pour les travaux de peinture et de nettoyage .

Je l' attends ce matin là . Il ne vient pas , je pars en déplacement comme prévu et , en milieu d' après midi, je reçois un sms me disant qu' il a pris un contrat intérim . La suite m' a confirmé que j' avais raison de ne pas lui proposer d’emploi dans les manifestations que je gère . Il prend un contrat selon ses envies , souvent, il ne le finit pas , sort beaucoup , boit beaucoup aussi , voir autre . Selon ce qu' il veut bien me dire .

Il a pris l' habitude de passer régulièrement . Surtout en fin de mois parce « qu' il est vraiment mal ». Je lui donne quelques euros , lui achète des clopes. Ainsi nous passons la soirée ensemble . J' essaie de le recadrer un peu aussi ( mais pas trop , je veux pas passer pour le vieux sage et j' ai pas toujours été un modèle de vertu ) .

Je sais que la situation n' est pas vraiment saine mais les soirées , les conversations et les parties de fléchettes ou d' échecs avec de bonnes bouffes sont plus qu' agréables . Chaque fois qu' il passe , il revient sur les sujets abordés avant après s' être documenté et essaie de me mettre dans l' erreur . Il y arrive quelques fois et je dois dire que je suis surpris de la peine qu'il prend pour ça, vu le manque d' intérêt qu' il a pour tout le reste .

Durant cette période, rien de notable .

Des caresses , des bisous , des pipes de l' un ou de l' autre . Nous sommes déjà début novembre et subitement plus de passages , ni de sms . Pas de réponse à mes messages . Je finis par passer devant chez lui : c' est fermé, je file . Malgré mon insistance pour le joindre pas de résultat . Un peu inquiet , voir coupable ( je sais pas de quoi après tout ! ) je laisse tomber l' affaire...

Dimanche , fin janvier , gris et froid . Je végète devant la télé . Mon portable !

R- Julien , je suis pas bien .

M-Salut et alors tu donnes pas de nouvelles depuis trois mois .

R- S' il te plaît je suis sous ma couette depuis trois jours , ils m' ont réduit l' électricité je peux plus me chauffer, mes radiateurs pompent trop ( c' est vrai que sans chauffage sous sa tôle ... )

M- Et alors, qu' est ce que j' y peux ? T' as pas des potes ?

R- J' ai du taf dans deux jours je peux même pas renvoyer les papiers pour accepter .

M- prend ton vélo demain et emmènes les !

R- Je peux pas les imprimer et je peux pas me présenter avec mes fringues , tout est sale . J' ai même plus de quoi manger .

M- Vu la voix que tu as , tu as encore de quoi boire !

R- S' il te plaît, viens me chercher. J'ai besoin d' une nuit au chaud et de faire une lessive .

M- J' ai été cool avec toi. Si t' avais été clean je t' aurais aidé avant .

R- Je me suis pas lavé depuis quatre jours , j' ai plus d' eau chaude et j' ai passé mon temps sous la couette .

Le petit salaud ! Il m' a peut-être oublié pendant quelques temps mais il a gardé mes délires en tête . Le message est clair ! De toutes façons je sais depuis le début de la conversation que je ne vais pas le laisser comme ça .

M- Ok Prépare tes papiers , ton linge , le temps de me changer et je suis chez toi d' ici ¼ d' heure . Tu me fais pas attendre .

Il est devant son bungalow, un sac poubelle dans une main , un sac à dos dans l' autre emmitouflé comme un bibendum . Nous roulons depuis peu de temps que je sens déjà son haleine et une odeur qui en dit long sur l' état de propreté du mec . Il est environ 17h30 quand nous arrivons chez moi .

R- merci, c' est bon d' avoir chaud .

M- tu veux manger quelque chose tout de suite ?

R-Je peux attendre ce soir il me restait un paquet de gâteaux que j' ai mangé ce midi , par contre je veux bien un sky .

Hé ouais ! c' est parti ! 2 , 3 sky son visage qui change . Quelques échanges sur sa situation . Mon ton peut être trop donneur de leçon , inconsciemment ( ou pas ) professoral .

M-Si tu veux laver ton linge met le dans la machine . Je te suis pour mettre le cycle .

Son sac poubelle à la main , il sort doucement un fut , le met dedans , un autre , quelques hauts chauds . Puis tout en me regardant sort une chaussette , tend la main . Je suis un malade , il me la colle sur le nez , me frotte avec et la jette dans la machine . Il sort un caleçon beige me présente le devant , il attend et c'est moi qui viens poser mon museau dessus , je sniffe longuement avant qu' il le retourne et me présente l' arrière avec une tache sans équivoque , j' ai tout de suite le pif dedans .

R- Viens on va dans ton bureau , tu vas voir ce qui est au chaud est encore meilleur . Il me met une petite claque et je le suis comme un clébard .

Il se laisse tomber sur le canapé et, son regard dans le mien, me demande ( m' ordonne plutôt ) d'enlever ses skets . Un raclage de gorge , il m' envoie un mollard qui glisse lentement de mon nez à mes lèvres et que je viens laper. Là, c' est fini pour moi , je suis désormais en mode lope sans limites , lui aussi l' a compris . Encore une petite claque, un crachat . Les skets enlevées , il approche un pied , le retire, tourne autour de ma tête , me calotte du dessous du pied . J' attends impatiemment chaque retour, inspirant à fond chaque fois pour prendre ma dose . Enfin , il pose son pied sur mon visage : c'est chaud , humide . Je renifle , m' enivre , il m' écrase le front , le nez , les lèvres en montant et descendant passant d' une face à l' autre . L' odeur est indéfinissable , je suis « saoul »« . D' un coup il se lève, tire mon fauteuil de bureau, se rassoit et pose les pieds dessus .

R- Aller lave , y' a 4 jours que ça marine la-dedans . J' enlève ses chaussettes , les sniffe une dernière fois . J' ai déjà l' un de ses pieds en main . Il reste des bourres de textile dessus ( entre autres ) . Je colle mon nez sous ses orteils , puis je descends à son talon et lèche tout le plat de son pied en remontant progressivement . Arrivé aux orteils , je commence par le petit que je tète passant d' un orteil à l' autre écartant et raclant de la langue l’espace entre eux pour bien récurer Je m' attarde sur le gros orteil que je suce comme une bite avant de passer à l' autre pied ( je suis un goret ! ) . R – Tu veux continuer à me laver le reste comme ça , tout est dans le même état ou tu veux que je te prenne . C' est la première fois qu' il me propose de s' occuper de mon « cul « et je suis plutôt habitué à l' inverse . Mais la ! Je baisse les yeux, j' ai honte !

M- Les deux STP . Il se lève enlève son jean , me présente l' avant de son caleçon blanc jaune , me prend la tête et la colle à son calbut . Encore une odeur euphorisante pour le porc que je suis à ce moment là . Il le baisse en demi molle , prend son sexe en main puis tire sur son prépuce pour en faire des lèvres ouvertes .

R- mets ton nez dedans , sniffe ! J' obéis, je respire profondément . Doucement il décalotte son gland . Les traces qui apparaissent ne sont pas des morceaux de tissus . Je n' ai pas bougé, je respire l' odeur qui se dégage , il ne faudrait pas que je me caresse , je cracherais mon jus immédiatement .

R- Nettoie doucement et profite , c'est pas tous les jours comme ça . Il a toujours son sexe en main et le guide sur ma langue, mon nez toujours en éveil. Je monte doucement puis reviens à la base de son gland qui sécrète l' essentiel . J’en fais lentement le tour . Il bande désormais totalement , je prends tout en bouche , aspire, lèche et lui rend une queue rose et brillante .Aussitôt , il se retourne ; là encore la tâche ne laisse aucun doute , il prend ma tête et la colle fermement à son linge .

R- Allonge toi sur le lino ! Il enlève son calbut , passe un pied de chaque coté de mon corps

, J' ai vu sur son cul large , musclé et glabre . Il pose d' abord la base de ses couilles sur ma bouche et je lape puis doucement glisse du périnée à l' arrière de sa raie , c' est chaud , gras , amer . Puis fait des aller et retours sur mon « groin », plus je lèche . Il écarte ses fesses et vient enfoncer son trou sur mon nez . Je respire , ou j' essaie avant qu'il me demande de lui nettoyer très profond . Je rentre un maximum , ma langue fatigue . Il se lève, me laissant le visage dans une bave goûteuse et odorante .

J' ai à peine repris ma respiration qu'il me relève comme un pantin, se faisant sucer un peu au passage, me pousse sur le canapé et saisit mes jambes pour les passer sur ses épaules .

M- Prépare moi STP . Gentil !

Il me met deux doigts dans la bouche, je lèche. Il vient me les mettre lentement , avant de me les remettre en bouche . Je les lèche, les yeux dans les siens , il revient à mon trou pénètre et les fait tourner . Je gémis d' une voix qui n' est plus la mienne, autant de douleur que d' envie . Il me casse en deux , saisit mes poignets de la main gauche pour les amener au dessus de ma tête . J' ai le visage dans son aisselle que je sniffe et lèche ( Les mecs, prenez pas de produits, c' est pas la peine ) pendant que sa main droite guide doucement son gland dans mon conduit . HA ! je grimace, me mord les lèvres . Il a passé le sphincter et pousse doucement , avance , décule puis recommence plus rapidement. Je prends désormais un réel plaisir à sentir ce corps étranger en moi . Il va plus vite, me tambourine au maximum . Inutile de dire que les mots comme « baise-moi , défonce-moi » sortent de ma bouche tandis que la sienne me parle de « clébard , sous-merde … ». Il me crache à la gueule mais m' embrasse aussi comme un sauvage . Il va venir ( il a tenu le coup )

Il me prend dans ses bras me met à genoux devant lui . Quelques aller-retours sur sa queue et son jus vient s' abattre sur mon visage , sur ma langue tendue .

Il s' effondre sur le canapé et c' est moi qui prend son pied d' une main et vient le coller sur mon visage, langue tendue . Il a compris . Son pied me claque , ses orteils me débarbouillent le visage , ma langue ramasse tout pendant que d' une main, le peu de caresses que je donne à mon sexe le libère d' un poison trop longtemps retenu . Une jouissance rare ! Pleine de soubresauts incontrôlés . J' ai certainement un visage d' ahuri , celui d' un gars qui comprend qu'il vient de vivre un moment de soumission , de honte , jamais accompli et certainement le seul de son existence avec une telle intensité .

L'envie latente , méconnue et la conjoncture ne vont pas souvent ensemble .

Nous sommes tout les deux groggy . Une odeur de mâles puants mais enivrante règne dans la pièce . Après quelques mots bien désuets vu la situation, nous prenons chacun la direction de nos salles de bain désormais respectives . J ' y passe beaucoup , beaucoup de temps mais quand je sors, il est toujours sous la sienne . Ce que je comprends puisqu' il n'y a pas eu droit depuis quelques jours . Je suis content de ne pas être limité par un ballon d' eau chaude !

Ce soir là c' est moi qui bois un sky quand il me rejoint discrètement en peignoir et me prend par les épaules par derrière en glissant sa langue dans mon cou pour finir par un baiser sur ma bouche . Il est frais , beau , souriant , gêné .

M- Ne soit pas désolé , si ça c' est passé comme ça c' est que je l' ai provoqué d' une façon ou d' une autre et on va pas cracher sur le plaisir qu' on a pris .

Ce soir là, pas de cuisine . J' ai commandé une pizza , une simple bouteille de vin , conversation douce et réconfortante . Pour la première fois nous passons la nuit dans mon lit comme un couple que nous ne sommes pas , sans relation , juste à dormir l' un contre l' autre avec la chaleur réconfortante de nos mains pour apaiser nos peurs ( qui n' en a pas ? ) . Quelle bonne nuit !

Le lendemain matin je me suis arrangé pour rester avec lui , je travaille certes beaucoup mais j' ai la chance d' avoir une totale liberté d' organisation quand ma présence n' est pas nécessaire . Quand il me rejoint, je suis à mon bureau depuis un moment. Il se fait un café . Sa présence est agréable . Je règle son arriéré d' électricité , Je lui sors ses papiers pendant qu' il s' occupe de son linge.

Par la suite, il a repris ses visites régulières .Il travaillait de façon plus constante et retournait souvent chez son ex copain . Entre nous quelques moments câlins mais très soft . De toute façon nous sommes conscients que des comme celui que nous avions vécu ne se préparent pas .

Deux trois mois après, la municipalité voulait racheter les bungalows et les terrains de ceux qui le voulaient afin de loger des employés pour un chantier d' infrastructure longue durée . Il a, de suite, fait partie des vendeurs et a aussitôt décidé de quitté la ville pour se réinstaller chez son copain . Il est revenu pour signer les papiers notariés . Il est passé me voir , m' a offert une caisse de champagne , rendu l' argent ( je ne lui avais pas demandé ) .

Il me donne toujours de ses nouvelles et je dois avouer que les jours de solitude il m' arrive de me faire plaisir en pensant à ce mec bien fait , costaud , parfois négligé et le souvenir de son odeur, toujours présent, me mène facilement à un plaisir certain . Suis- Je normal ? Et quelle importance .

Julien

Merci a amical lement pour mise en page et relecture .

Toutes vos remarques sont bonnes à prendre . Désolé pour ceux que ce récit a gênés . Si je continue à écrire, ceux qui viendront seront variés et toujours composés d’un mélange de différentes rencontres.

Julien

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