SUITE de "Fais moi mourir par MALIA XXXX" La riche banlieue exhibe comme une prétentieuse, ses roses et ses crèmes, dans l'avènement du crépuscule. Al et Shark sortent du Jeep noir que le grand avait pris soin de laver. Ce soir, il n'a rien d'un voyou, si l'on put le décrire ainsi. Il était habillé du genre décontracté, avec les pantalons cargo, le chandail moelleux. Le genre, papa maman, je vous présente le nouveau mec fougueux qui m'encule. Non, soyons un peu plus délicats. Parce que les parents d'Al le sont excessivement. Ce sont des gens très biens qui ont réussi et qui peuvent en être fier. Leur fils est bon, instruit, intègre, honnête. Il est gay? Et alors? Peu importe, s'il trouve chaussure à son pied. Mais, ses parents, qui recherchent avant tout l'amour de longue durée et la stabilité, redoutent que leur cher fils n'aie pas emprunté ce chemin du bonheur tant espéré. Devant la porte, les deux hommes se regardent, Al passe ses mains sur les épaules de Shark pour soigner les plis de son chandail, il se donnent un petit baiser, sur la bouche, sans pudeur, la porte s'ouvre. Il lui fait le baise-main. Maintenant c'est lui qui en fait trop. Au moins, elle est ravie. Elle les invite à passer au salon et, d'un Jacques résonnant, appelle son mari qui paufinait le souper avant la cuisson. Il arrive, c'est un grand homme dans la cinquantaine, aussi chaleureux que grisonnant. À nouveau on fait les présentations, Shark semble bien s'intégrer. Ils parlent de tout et de rien, au son d'un jazz détendu aérien, que son père a mis. Puis, ils passent à table. Les parents ont préparé des pâtes carbonara accompagnées de champagne et d'un paquet d'autres choses. -Maman, il y avait des pétoncles là-dedans? Alors ils décident de se foutre de tout ça et commencent à s'embrasser vigoureusement, ils s'enlacent. Déjà, Shark l'a levé et assis sur le comptoir. Il lui enlève son pantalon, Al écarte bien les jambes. Et le grand enfile une capote, le pénètre doucement, mais plein de fougue. Les deux sont pris de spasmes, de convulsions de désir et de plaisir. Ils se regardent dans les yeux, tout autrement et leur dialogue semblait tout aussi endiablé que leurs ébats. Shark le pistonne vivement. Il avait les culottes sur les chevilles et continuait d'ouvrer. Al se sentait transporté et à la fois plus que jamais sur terre. Le beau mec, souple et fort, lui donnait de bons coups de reins et lui, il écartait bien les jambes et les fesses pour saisir toute la largeur et la longueur du beau membre. Oh, se faire mettre par un voyou chez sois, et bien à fond. Ils se rapprochent l'un de l'autre, s'embrassent à nouveau. Leurs visages se caressent, leurs yeux s'explorent, leur respiration les enivre. Et voilà, voilà les spasmes, cette sensation aigre et folle qui leur parcourt la queue, ces frissons apaisants qui leur parcourent le corps. Ils viennent. En quelques gémissements sourds, Shark se convulse. Al, serein et inébranlable, sent en lui cette chaleur, et aussi cette douce douleur mêlée au plaisir. Shark fout la capote au poubelles, lèche les quelques la giclée qu'Al a émis. Il lui murmura quelques mots à l'oreille. Personne n'avait compris, pas même Al, mais l'intention en était si belle qu'il s'embrassèrent une dernière fois, puis retournent à la cuisine. Il passe la main dans ses courts cheveux. Et il décide de s'approcher de lui qui conduit. Shark ne comprend pas. Il le laisse faire. Ses bras le ceinturent maintenant. Al a la tête contre son flanc, il est presque étendu. Il serre fort, il s'imprègne de lui. Une larme coule de ses yeux tourmentés, sur ses joues, une perle d'âme que personne n'a vu et que personne ne consolera. A SUIVRE Malia xxxRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |