[Première partie ici] [Seconde partie ici] 3è partie.Quand je me suis réveillé, j'étais seul dans le lit. Cela sentait le café chaud et d'autres odeurs de cuisine et la faim se déclenchait instantanément. J'avais mal au cul. Je me levais pour suivre les odeurs et j'entourais ma taille du paréo de Dan. Je descendais le large escalier en bois ciré pour retrouver Dan dans la cuisine. Il s'agitait devant la gazinière où cuisait une omelette. Sur la table, deux couverts étaient dressés avec deux grandes tasses. Il avait enfilé un vieux short élimé, d'un bleu délavé, qui contenait avec peine son cul. Je dis un salut timide. Il se retourna avec son habituel large sourire. On a mangé en silence pendant un grand moment. - Tu veux dormir ici ce soir ? J'étais assez surpris de la répartie. Je quittais la table et je m'habillais en vitesse dans le hall. Dan attendait, les bras croisés et le visage dur appuyé, contre le chambranle de la porte. Il baissa la tête en soupirant et tourna les talons pour repartir dans la cuisine. Il faisait lourd et orageux dehors. Le ciel gris foncé annonçait les orages prévus. Les deux jours qui suivirent sont passés sans que je m'en rende compte. J'étais dans un état second, le cerveau tournant à plein régime en permanence sans pour autant être concentré sur mon boulot. Mon co-équipier habituel finit par se poser des questions et m'en parla. Il me demanda ce qui se passait. Je répondis rien." Tu parles ! On dirait que tu as vu le loup passer !" Le jeudi soir, je tournais en rond dans mon appartement. J'ai fait un peu de gym, pris une douche, constaté que mes poils pubiens repoussaient, fais du ménage. Je prenais et ;reposais plusieurs fois mon téléphone sans me décider. Finalement, vers 10 heures du soir, je composais le numéro de Dan. Je déboulais chez lui avec les mains un peu tremblantes. Il faisait encore terriblement chaud. Dan était dans la cuisine d'où il demanda si c'était moi qui arrivait. Je l'y rejoins. Il vint a ma rencontre, tout sourire dehors, vêtu d'un grand tablier de cuisine vert foncé, sur son torse nu, et de sandales de cordes. Il posa un léger baiser sur mes lèvres " Mhh, tu sens bon, t'es tout beau". J'avais juste un jean de coupe classique en un tee-shirt Diesel assez moulant. " Je suis content d'être là" Son sourire s'élargit en creusant deux fossettes de chaque côté sur ses joues ombrées de barbe naissante. Il passa sa main derrière ma nuque et me roula un patin. Puis il retourna vers ses fourneaux. Il était nu sous le tablier. J'ai souri en voyant son cul rebondi avec le cordon du tablier dont le noeud se glissait entre les deux fesses velues. Je me mettais à genoux et je glissais ma tête sous le tablier. Je contemplais ce sexe magnifique et son prépuce rose foncé au dessin complexe. Je donnais deux ou trois coups de langue dessus et je le regardais se dresser tout seul. Lentement, le gland sortait de sa gangue de chairs pour apparaître, légèrement luisant d'humidité, et se dégager totalement. Je continuais à l'agacer de petits coups de langues et de petits baisers. Je glissais ma langue dans le méat pour goûter le liquide clair qui en suintait. J'allais explorer le long de la tige du bout de la langue et léchais la pilosité des couilles fraîches et poilues. Je prenais enfin le sexe en bouche et le faisais glisser aussi loin que je le pouvais. Dan gémit. Je m'y reprenais en ouvrant encore plus les mâchoires et je me forçais à le prendre en entier. Lentement, je finis par le gober en entier et avoir le nez dans la toison pubienne. Je sentais le gland vibrer contre ma gorge. Je déglutis ce qui arracha encore un gémissement à Dan. Puis, j'accélérais la cadence essayant de l'avaler en entier à chaque fois. Je caressais ses burnes qui devenaient de plus en plus dure. Dan haletait de plus en plus. Il finit pas annoncer sa jouissance proche. Je maintenais la cadence. Je finis par recevoir, enfin, la première giclée de sperme qui glissa directement dans ma gorge, puis une autre, aussi abondante, suivie d'une dizaine d'autres que je savourais en pleine connaissance de causes. J'aspirais les dernières gouttes en appuyant fermement le long de la queue puis je relâchais le sexe au gland devenu violacé. Je quittais mon poste pour me relever devant Dan. Je lui roulais un patin farouche. - Bon Dieu ! Pour un qui hésitait à venir... Zboub0@walla.comLa suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |