Un soir de grève 14Le viol de Romain Je regagne le métro pour rejoindre mon domicile. Arrivé chez moi, je me déshabille, me glisse dans mon lit et m'endort en 10 secondes. Le lendemain matin, le réveil est douloureux. Pas seulement au niveau de la tête, dans laquelle mon cerveau semble s'être décidé à jouer de la grosse caisse, mais tout mon corps me rappelle les galipettes de la veille. Je laisse couler l'eau chaude sur mon corps pour me détendre sous ma douche, manquant de me rendormir. Je me fais violence pour m'extraire de la douche et m'habille rapidement. Au bureau, j'ai l'esprit encore embrumé de la vapeur de la douche et des folies nocturnes. Je pense à Matthieu à chaque instant. En allant fumer une cigarette, j'essaie de l'appeler, mais je tombe sans arrêt sur sa messagerie. Je décide de lui laisser un message après 4 appels infructueux. • Salut Matthieu, c'est Romain. Juste pour te dire que je pense à toi. La journée se déroule sans accroc, mais Matthieu me manque. Ne souhaitant pas rentrer directement chez moi, je décide d'aller me promener dans Paris. Après avoir dîné rapidement, mes pas m'entrainent vers le quartier des Halles. Les rues sont calmes, et peu de passants se promènent. En regardant ma montre, je réalise qu'il est près de 23h00 et qu'il serait temps que je rentre. Je décide de couper par une ruelle un peu sombre pour regagner plus vite le Forum et la station de RER. Alors que je passe devant un porche sombre, j'entends une voix qui m'interpelle : • Eh mec, t'as pas du feu ? Je m'arrête, surpris par cette voix. Deux mecs, la vingtaine, clope éteinte au bec, sont planqués là. Le genre racaille de banlieue comme il en traine souvent autour de ce quartier. Jean RG512, T-shirt Kaporal 5, la ceinture avec la grosse boucle D&G dorée et le boxer Armani sport. Plutôt bien foutus avec les pecs bien moulés par leurs t-shirt. Dans d'autres lieux, je serais volontiers parti à l'assaut... Je souris, pour mieux masquer une légère angoisse que je sens naitre au fond de moi. • Euh, je dois avoir ça dans mon sac, un instant. Je glisse ma main dans la poche extérieure et trouve mon briquet. Pressé de repartir, parce que pas très rassuré malgré tout, je ressors ma main avec précipitation et en même temps que j'extrais mon briquet, je fais tomber deux préservatifs au sol. L'un deux se baisse pour les ramasser. • Eh mec, tu veux nous allumer la queue ou la clope ? dit il avec un rire gras. • Désolé, tenez, voila du feu... • Remarque maintenant qu'ils sont sortis, on va pas les ranger, me dit le plus grand avec un rictus lubrique sur le visage. • Gardez-les si vous voulez !!! Je sens que la situation m'échappe de plus en plus vite quand le plus costaud des deux vient se placer derrière moi. • Remarque Dylan, t'as raison. On pourrait les utiliser tout de suite, je suis certain que le monsieur dira pas non. Regarde le, il a pas une tête à bouffer de la chatte lui... • Oui, T'as raison David, je pense qu'il préfèrerait une bonne grosse teub bien épaisse... comme les nôtres, dit il en se caressant ostensiblement le paquet de manière obscène. Je regarde ahuri le Dylan en question. • Non mais ça ne va pas les mecs ??? vous me faites quoi ? • Là rien encore mais dans deux minutes, tu vas la sentir profond !!! me répond le plus grand en me poussant dans les bras de Dylan. Celui-ci m'enserre fortement et m'entraine sous le porche glauque. J'essaie de me débattre, mais Dylan me plaque contre le mur lépreux et défraichi. Je ne fais pas le poids et Dylan est plus fort que moi Aussitôt après, je sens les mains de David qui m'arrachent presque ma boucle de ceinture et ma fermeture éclair. En un instant, je me retrouve cul à l'air, le fut et le boxer sur les cuisses. David me glisse deux doigts entre mes fesses et vient fouiller sans ménagement mon anus serré. Il me fait mal en cherchant à doigter. Je gueule de douleur et de rage. • Putain les mecs arrêtez vos conneries, je.... Dylan plaque sa main sur ma bouche, étouffant mes protestations • Ta gueule sale PD, tu la fermes ou je te coupe les couilles avec ça, dit-il en exhibant un couteau à cran d'arrêt !! • Oui laisse toi faire, tout à l'heure tu vas gueuler de plaisir quand tu auras senti ma teub de défoncer ton petit trou. Tu vas savoir ce que c'est qu'un homme bien membré. Les doigts de David finissent par me pénétrer. J'ai le coeur qui chavire de dégout face à cette intrusion. Il me fouille le cul sans retenue, m'élargissant la rondelle avec force. De son côté, Dylan me retient toujours d'une main et de l'autre, ouvre son fut et sort sa queue mi bandée. Je découvre un engin déjà conséquent, circoncis et qui prend de l'ampleur à vue d'oeil pour se montrer enfin raide et énorme. Je frémis d'effroi en voyant ce mandrin de chair. • Vas-y, viens la sucer dit il en me forçant à me courber vers sa queue raide. Je tente encore de résister, mais il me décoche une gifle derrière la nuque. • Suce la je te dis et applique toi ou tu vas le regretter... A contre coeur, j'ouvre la bouche qu'il envahit d'un coup avec son chibre, l'enfonçant au fond de ma gorge. Un haut le coeur me soulève le ventre, et je manque de vomir. Son sexe pue l'urine et le sperme et manifestement, il n'est pas un adepte de la douche quotidienne. Il appuie sur ma tête et d'un mouvement du bassin, il fait coulisser sa bite dans ma bouche. J'essaie tant bien que mal de sucer cette queue, mais son gout et son odeur me révulsent. David profite de ma position courbée pour m'écarter les fesses. J'entends qu'il ouvre son fut, et un bruit de latex m'indique qu'il enfile une capote. Je suis en plein cauchemar quand, sans prévenir, il pose son gland et pousse d'un coup. La douleur explose en moi quand son sexe raide me déchire le ventre. En resserrant l'emprise de ses mains sur mes hanches, il recule sa bite hors de mon cul pour mieux me pénétrer encore plus fort et plus loin. La bouche pleine du sexe de Dylan, mon cri s'étouffe, mais des larmes de douleur et d'humiliation me montent aux yeux et coulent sur mes joues. David me laboure le cul sans ménagement. Il est dedans pour tirer un coup vite fait, et à ses coups de reins et de gland, je sens bien qu'il veut aller vite. Cet empalement est un vrai supplice, mais qui, aux grognements de bête en rut de David, va bientôt s'arrêter. Une dernière crispation de ses doigts qui se plantent dans mes flancs et j'entends : • Oh ouiiiiiii !!!! oh putain c'est bon !!! Encore deux trois allez-retours entre mes fesses et il décule, arrache sa capote souillée et la jette au loin. • A toi Dylan, il a le cul bien préparé !!! Je tressaille de peur. Pas Dylan, elle est trop grosse, je ne vais pas supporter une seconde sodomie sauvage. Alors que Dylan me libère enfin la bouche, entre deux sanglots de rage, j'essaie de me redresser et de remonter mon pantalon. David aussitôt me recourbe le dos. • Non non la fiotte !!! tu bouges pas tant que mon pote a pas joui !!! • Arrêtez les mecs !! ca suffit, dis-je la voix cassée par la colère • Mais non t'aime ca j'en suis sûr !!! • Espèces de salauds, si je vous retrouve, je vous... • Oh ta gueule tu parles trop, dit Dylan en m'enfonçant sa queue dans mon cul sans ménagement !!!! • AHHHHHHH !!!!! • Fais le taire, ordonne Dylan à David. Celui-ci me décoche alors une énorme gifle. Mon cerveau semble s'être décollé sous la violence du coup. Je titube mais Dylan tout en me besognant sauvagement le cul, me retient et me redresse. David se place alors devant moi. Dylan me pousse la nuque pour me courber en avant et David me prend la mâchoire, me dirige vers son sexe à moitié débandé et gluant de son sperme et me dit : • Vas y nettoie le bien, comme ça tu ne pourras pas gueuler, et il me force à ingérer son sexe baveux. Cette fois si, c'est plus fort que moi. Je sens mon repas revenir au grand jour à toute vitesse et je vomis sur le sol. David recule prestement pour ne pas être éclaboussé par mon jet. Dylan éclate de rire !!!! • Putain, elle est tellement grosse ma queue qu'en plus du cul, je lui défonce l'estomac !!! • Trop fort mec, dit David en riant avec lui. Dylan accélère sa défonce rectale et jouit dans sa capote en beuglant comme un taureau. Rapidement, il décule et me repousse comme un vieux tas de chiffon usagé et me balance sa capote pleine sur le visage. Je tombe sur le sol, entravé par mon pantalon et mon boxer, m'étalant dans mon vomi. A ce moment, le portable de David sonne. -ouais allô ? -... Salut Kevin, qu'est ce que tu m'veux ? -.... - Qui ça ? Kamel ? -... - Ah bon, ouais j'arrive on se retrouve dans 10 minutes chez toi... -... - ah ok, Bah alors j'appelle Bachir et on vous rejoint toi et Jonathan, ok man ? -... - ouais à tout de suite, salut !!! C'était Kevin, tu sais mon pote dont je t'ai parlé, dit il vers Dylan, faut que j'aille le rejoindre, il a un pote qui a des soucis on dirait. - ah ok, répond Dylan, de toute façon, faut que j'me casse chez moi maintenant, demain je passe un entretien pour un boulot. Bon alors salut !!! - ouais salut, a demain. - C'est ça à demain. Aucun des deux comparses ne me regarde pendant qu'ils remettent leur engin de torture dans leur froc et referment leur braguette. Me laissant ainsi seul, souillé, humilié, trainant dans mon vomi, le cul anéanti, violé, encore dénudé, ils s'en vont comme si rien ne s'était passé. J'éclate en sanglots silencieux, prostré dans ma honte et ma colère. Après de longues minutes, je me redresse difficilement et aperçoit mon sac sur le sol. Dieu merci, ils ne me l'ont pas pris. Je me rhabille. Je récupère mon sac et en sort mon portable. Je compose le numéro de Matthieu. C'est le seul à qui je peux parler de ce qui vient de m'arriver. L'attente de sa réponse me semble interminable. Je vais encore tomber sur son répondeur. Non, il décroche. Enfin. • Allô Romain ? • Matthieu, tu es où ? • Je suis au resto avec Nico. • Matthieu, j'ai besoin de toi, dis-je en éclatant en sanglots au téléphone. • Romain qu'est ce qu'il y a ? • Viens me chercher s'il te plait !!! • Tu es où ? Romain, qu'est ce qui se passe ? • Viens me chercher, je serai dans 2 minutes devant le KFC de Sébastopol, vite Matthieu, j'ai besoin de toi. • J'arrive Romain, j'arrive avec Nico. • NOOOON ! Seul, s'il te plait... • Ok Romain, j'arrive, j'arrive tout de suite. • Je t'attends, fais vite. Je coupe la communication, me relève, tente tant bien que mal d'éliminer les traces diverses sur mes vêtements et quitte le lieu de ma torture. J'ai du mal à marcher. Mon cul me fait souffrir terriblement. Je pense qu'ils m'ont déchiré quelque chose. Avec difficulté, je rejoins le lieu du rendez vous avec Matthieu. Dans la rue, les rares passants font systématiquement un écart en me croisant. Je dois ressembler à un clodo qui s'est vomi dessus. Arrivé devant le KFC, je m'adosse à la façade et ferme les yeux. Je revis encore et encore le cauchemar que je viens de subir. Les larmes coulent sans discontinuer sur mes joues. Soudain, je sens une main qui se pose sur mon épaule. Sans réfléchir, je décoche un coup de poing reflexe en ouvrant les yeux. Matthieu s'écarte de justesse pour éviter mon poing. • Romain, Romain, c'est moi, c'est Matthieu, arrête !!! • Matthieu, dis-je dans un soupir juste avant de m'évanouir dans ses bras. Matthieu me rattrape et sans attendre, me porte jusqu'à sa voiture, me glisse dans le siège passager et démarre aussitôt. Il me conduit chez lui en appelant à la rescousse un de ses amis médecins. Arrivé à son domicile, Matthieu me porte toujours inconscient dans son salon. Il part chercher une serviette humide et commence à me nettoyer le visage et les vêtements. Son ami médecin arrive peu de temps après. Il me fait respirer des sels pour me ranimer, et cela provoque l'effet escompté. En ouvrant les yeux, je vois Matthieu. • Oh Matthieu tu es là, dis-je en fondant de nouveau en larmes, les nerfs à vif. Aussitôt après, j'aperçois son ami derrière lui. • Qui c'est celui là, dis-je paniqué en me recroquevillant sur le canapé ??? • Calme toi Romain, c'est François, un ami, il est médecin et s'occupe de toi. Tu es tombé dans les pommes quand je suis venu te chercher, et je l'ai appelé pour te soigner. • Bonsoir, dit François, vous pouvez nous expliquer ce qui est arrivé ? • Non, pas devant lui Matthieu, je ne peux pas !!! • Romain, il est médecin, il peut tout entendre et il doit tout entendre si tu veux qu'il te soigne. • Non, je ne veux pas !!! je le connais pas ce type !!! et je ne peux pas lui dire que je viens de me faire.... • Faire quoi Romain, répond Matthieu avec une forte tonalité d'angoisse dans la voix ? • Faire...PUTAIN MATTHIEU !!! JE VIENS DE ME FAIRE VIOLER !!! dis-je en hurlant toute ma haine au visage de Matthieu et François. • Toi aussi, laisse échapper Matthieu. • Comment ça toi aussi ??? Je regarde Matthieu incrédule. • Comment ça toi aussi, dis je abasourdi en le fixant ??? • Plus tard, pour l'instant c'est toi qui compte. François intervient alors : • Romain, je vais vous faire une piqûre de calmant et somnifère, mais avant je vais vous examiner pour constater qu'il n'y a pas de blessure ou de lésion. • Pas question, personne ne me touche, personne, vous entendez, PERSONNE !!! • Romain, calme-toi, tu es entouré de personnes qui ne te veulent que du bien. • Non, je ne veux plus que l'on me touche, plus jamais !!! • Matthieu, tiens le s'il te plait, il est en état de choc, je vais lui administrer un calmant. Sans me prévenir, Matthieu me plaque sur le canapé et m'immobilise. François en profite pour me faire la piqûre, et très vite je me sens glisser dans un sommeil artificiel mais réparateur. Au matin, la lumière du jour à travers les stores me tire de mon sommeil. Je ne suis pas dans ma chambre, je ne reconnais les lieux. En tournant la tête, j'aperçois Matthieu endormi dans un fauteuil tourné vers moi. Je me redresse dans le lit, et le froissement des draps réveille Matthieu. Une douleur sourde me traverse le ventre et je grimace. • Ah enfin, tu reviens parmi nous. • J'ai dormi combien de temps ? • Ca fait deux jours que tu dors Romain. • Deux jours ??? • Oui, François t'a administré un profond sédatif pour que tu puisses un peu récupérer. • Et tu es resté ici pendant deux jours à veiller sur moi ? • Où voulais tu que je sois ? • Mais ton boulot ? et le mien ? • Ne t'inquiète pas pour ça, je te rappelle que je suis le patron dans ma boite et je peux travailler de chez moi. Et toi tu es en arrêt maladie, j'ai renvoyé tous les papiers, tout est en ordre. • Qu'est ce que j'ai ? • Une petite déchirure du rectum, rien de grave mais pas de folie pendant quelque temps, dit il en souriant. François va repasser pour t'examiner et vérifier que son traitement fonctionne bien. Il faudra le laisser t'examiner, mais n'aies aucune crainte, lui est gay et ouvertement gay. Il n'y a pas mieux placé que lui pour soigner tes traumatismes. Et e soir, je te ramène chez toi pour que tu t'y reposes tranquillement. Et puis parce que ma femme rentre demain et que je me vois mal lui expliquer pourquoi j'ai un homme nu dans notre lit conjugal...rajoute t-il en rougissant. Son sourire me réchauffe le coeur en même temps que l'annonce de mes blessures rouvre le douloureux souvenir de cette soirée cauchemardesque. Je ne peux m'empêcher de pleurer. • C'était horrible Matthieu. Horrible, dis-je le regard dans le vide. • Tu veux m'en parler ? François m'a dit qu'il serait bon pour toi d'extérioriser ta souffrance. Je lui raconte alors tout, dans tous les détails, de la façon la plus directe et la plus crue qu'il soit. Je n'omets rien, ni les sensations physiques, ni le ressenti psychologique. Mon visage est noyé de larme, et je vois que celui de Matthieu l'est aussi. A la fin de mon récit, Matthieu se lève et s'approche de moi. Il s'assied sur le bord du lit et approche sa main de ma joue. Sans pouvoir me contrôler, j'ai à la fois un mouvement de recul et de défense en levant brusquement ma main. Cette réaction m'affecte encore plus. • Excuse-moi Matthieu, je ne voulais pas te repousser. • Ne t'inquiète pas, je comprends, c'est normal après ce que tu viens de subir. • Oh Matthieu, pourquoi ils m'ont fait ça ??? Je leur offrais du feu, c'est tout, dis-je avec une voix qui s'étrangle dans un sanglot. • Romain, tu m'as bien dis que ce David avait parlé de Kamel à un certain Kevin au téléphone ? • Oui • Ok, on va pouvoir réparer alors cette humiliation. Je sais comment je vais retrouver ce David, et après le Dylan. • Pourquoi, tu le connais ? • Indirectement, mais je ne pense pas me tromper... • Dis-moi !!! • Tu te souviens que je t'avais dire devoir aller faire une levée de réserves dans un studio que je viens d'acheter ? et bien, moi aussi, le matin de ton viol, je me suis fait violer par mon locataire. Et Matthieu me raconte lui aussi dans les moindres détails ce qu'il a subi le même jour que moi. • Mais moi Romain, je me suis déjà vengé, rajoute t'il à la fin de son récit. Le soir de ton viol, j'étais avec Nicolas et je suis allé me faire justice moi-même, avec l'aide de Nico. • Tu as fais quoi Matthieu ? • Nous l'avons violé à notre tour !!! • Tu n'as pas fait ça ??? Et là aussi, il me raconte tout dans les moindres détails, l'expédition punitive, le rasage intégral, la sodomie de ce Kamel. Je l'écoute, effaré, et c'est moi qui viens poser ma main sur sa joue humide pour le caresser. Contrairement à moi, il glisse son visage dans ma main et me laisse faire. • Et avant de partir, j'ai appelé un de ses potes depuis son portable pour qu'il vienne le libérer une fois que nous serions partis. Et j'ai appelé un certain Kevin. Et je ne crois pas qu'il y ait eu ce soir là 50 ;000 Kamel qui aient eu besoin d'aide de la part d'un certain Kevin. C'est pourquoi je sais comment on va retrouver le David et le Dylan qui t'ont fait subir ce que tu viens de vivre. Et crois moi, je suis d'une créativité sans limite pour la vengeance, conclut il avec un sourire démoniaque et effrayant... Romain JMromainjm@hotmail.fr La suite ici
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