Un soir de grève 1515- 2ème vengeance Après m'être reposé le reste de l'après midi chez Matthieu, ce dernier me raccompagne chez moi. La démarche est délicate, mon fondement encore endolori malgré les médicaments prescrits par son ami médecin. Matthieu se comporte comme un frère pour moi. Il a fait faire des courses par Nicolas, tout prévu, tout organisé pour que je n'ai pas à me fatiguer et que je me consacre totalement à ma convalescence. Après un doux baiser, nous nous séparons. J'ai la gorge serrée et la peur au ventre. Une peur irrationnelle s'empare de moi alors que j'entends la porte claquée. Et s'ils revenaient, s'ils avaient quelque chose qui leur permettent de remonter jusqu'à chez moi ??? Je vais vérifier que tout est fermé à clef, ferme mes volets, m'isole complètement du monde extérieur. Matthieu m'appelle de chez lui une fois arrivé. Il est avec Nicolas et me dit qu'il s'occupe de mon honneur. Je suis sous les premiers effets du somnifère que je viens de prendre, et comprends de moins en moins bien le plan échafaudé par Matthieu et Nicolas. Je suis arrêté pendant une semaine. Au fil des jours, je sens que la douleur disparait. Matthieu passe me voir tous les jours, et m'expose à chaque fois le plan qu'il a mis au point pour me venger. Au début, je refuse toute idée de vengeance. Je ne veux qu'une seule chose, ne plus jamais les revoir. Mais Matthieu et Nicolas m'expliquent longuement tous les détails et peu à peu, l'envie de leur faire payer mon viol se fait plus forte que ma peur. A la fin de ma convalescence, Matthieu doit même tempérer mes ardeurs guerrières. Sa femme est revenue de sa semaine de vacances, avec ses deux enfants. Matthieu s'est fait plus discret, hormis pour ses visites, et de mon côté, je me tiens à la promesse que je lui avais la 1ère fois que j'avais couché avec lui. Nous restons très sages, d'une part à cause de ma douleur, et d'autre part parce Matthieu veut apprendre à gérer son désir d'homme. Nicolas et François, le médecin, passent me voir également. Grâce à Matthieu, je découvre et apprends à connaitre de nouveaux amis. Et ce qui est également nouveau, c'est qu'ils s'intéressent à moi, pas seulement à mon cul ou à ma queue comme tous les mecs rencontrés avant Matthieu le faisait. Une nouvelle ère de relations sociales s'est ouverte pour moi avec la rencontre de Matthieu, et ce constat hâte ma guérison. Lorsque je retourne enfin au travail, je reste très vague bien sûr sur les raisons de mon arrêt maladie. Jacqueline, de la comptabilité et ma seule " amie " au travail, essaie bien d'en savoir plus, mais je refuse de m'ouvrir à elle et prétexte une grosse intoxication alimentaire. Même mon patron s'inquiète de ma santé. Il faut dire qu'après le contrat ramené il y a une semaine, il est aux petits soins avec moi. J'apprends même que je suis confirmé, et ce, lorsqu'il me donne les clefs de ma nouvelle voiture de fonction et mon téléphone portable dernier cri. Ma reprise s'accompagne d'une prise de distance forcée avec Matthieu. Il part plusieurs jours à l'étranger pour sa société et ce n'est que 15 jours plus tard que je le retrouve enfin. Nous nous donnons rendez vous dans un café de Paris pour nos retrouvailles, et c'est avec une joie immense que je le vois enfin apparaitre le soir venu. • Salut • Salut beau gosse, me répond il avec ce sourire ravageur. Il dépose une bise chaste sur ma joue comme deux amis qui se retrouvent, commande deux coupes de champagne et s'installe face à moi. • Tout est prêt Romain. • Qu'est ce qui est prêt ? • Ta vengeance... Il me dit cela avec une voix spectrale qui me donne froid dans le dos. • Tu sais Matthieu, pour moi c'est du passé, je ne suis pas certain que... • Comment ça, du passé ? Tu déconnes là ? après ce qu'ils t'ont fait subir, tu vas rester sans rien faire ??? Mais t'es une fiotte ou un mec ? Je réagis à l'insulte en rougissant. • Excuse-moi Romain, je ne voulais pas te vexer, mais tu ne dois pas laisser passer ce viol !!! • Parles moins fort, Mathieu !!! • Pourquoi, les gens autour te connaissent tous ? • Non mais... • Alors écoute, avec Nicolas, on a tout préparé, et je jour J, c'est demain !!! • QUOI ??? Je ne peux m'empêcher de m'écrier, et la moitié de la terrasse se retourne en me jetant un regard désapprobateur sur mon trouble de la quiétude environnante. • Demain ? dis je en chuchotant pour compenser mon soudain éclat de voix, c'est trop tôt c'est... • C'est demain Romain, pas un autre jour. Nous n'aurons qu'une seule occasion de leur faire passer l'envie de recommencer un jour à violer d'autres hommes ou femmes. • Mais je dois faire quoi ? • Tu verras, moins tu en sais pour le moment, mieux c'est. Je m'empare de ma coupe de champagne et la vide d'un trait. Matthieu me regarde en souriant. • Ne t'inquiète pas, ils ne pourront plus jamais rien te faire. • J'aimerais en être certain. • Je te le garantie. • Je te fais confiance Matthieu, même si je suis mort de trouille. Tu ne veux pas dormir ce soir à la maison ? • Romain, ça fait plus de 10 jours que je n'ai pas vu Marie et les enfants... • Oui, bien sûr... Matthieu vide à son tour sa coupe. • Tu vas retrouver demain Nicolas à 18h30 chez lui, il te conduira ensuite sur le lieu de l'exécution. • Oh tu as de ces expressions toi !!! • Allez, je dois filer retrouver ma petite famille. Au fait, prévois des vêtements cool, en costard, ca ne le fera pas vu où on va. • Mais.... • Allez, à demain, et sois à l'heure. Il se lève et après une bise très proche de ma bouche, s'éloigne et disparait au coin de la rue. Je règle les consommations et quitte à mon tour le bar. J'ai le coeur qui bat la chamade de peur et d'appréhension. Tout en rentrant chez moi, j'essaie d'imaginer ce que Matthieu a prévu, mais rien ne vient, hormis une sourde angoisse qui ne cesse de monter. Ma nuit est agitée. Je me réveille plusieurs fois en nage, avec des images de mon viol qui ressurgissent dans des cauchemars tous plus effrayants les uns que les autres, et j'accueille le matin à la fois avec soulagement et inquiétude. Soulagé de ne plus avoir à craindre mes cauchemars, et inquiet de ce qui va se passer ce soir. La journée de travail, bizarrement, se déroule plutôt bien, et, sans doute stimulé par le stress grandissant, je réussis à décrocher plusieurs rendez vous avec des potentiels importants. A 18h00, je prétexte un rendez vous de contrôle chez mon médecin pour partir plus tôt. Dans mon sac de sport, j'ai glissé ce matin un jean, un t-shirt, et je ne sais pas pourquoi, un boxer propre. Je file me changer dans les sanitaires de l'entreprise et ressort par derrière pour ne pas être vu par les hôtesses d'accueil. J'arrive à 18h20 chez Nicolas qui m'attend dans le salon où nous avions fait l'avoir tous les 3 avec Matthieu. • Entre Romain, tu as bonne mine. Un rapide coup d'oeil dans le miroir au dessus de la cheminée me renvoie une image contraire. Je suis blanc comme un linge. • Tu mens mal, Nicolas, j'espère que tu mens mieux à ta femme à propos de... • Chut, la femme de ménage est ici... • Ok. • Allez viens, je t'emmène. • On va où ? • A l'entrepôt de la société de Matthieu. • Pourquoi ? • Parce que c'est là que tout va se passer. • Mais on va faire quoi ? • Tu verras, j'ai pour consigne de ne rien te dire, juste te conduire. Nicolas me conduit donc en banlieue parisienne, dans une zone industrielle où s'alignent des kilomètres d'entrepôts. Nous nous garons devons l'un d'entre eux, et sur le parking, je remarque la voiture de Matthieu, et plusieurs autres que je pense être celles des employés travaillant ici. Je remarque aussi qu'une seule pièce est encore allumée en regardant vers le 1er étage. Nicolas m'invite à le suivre et nous pénétrons dans l'entrepôt par une entrée latérale. Des kilomètres de rayonnage sont alignés à l'intérieur, chargés de tous les produits que la société de Matthieu commercialise. J'ai l'impression d'entrer dans une cathédrale du commerce. Et comme dans une cathédrale, le moindre bruit résonne. Et le moindre bruit me fait sursauter. Nicolas marche devant moi, d'un pas déterminé. • Allez, on arrive. Tu vas bientôt savoir ce que nous leur avons préparé. En effet, au détour d'une allée, je remarque un groupe d'hommes dans une des travées. Ils sont 7 réunis autour de 2 chariots élévateurs. Je marque un temps d'arrêt, effrayé par ce groupe d'inconnus et ces engins au milieu de la travée. Nicolas se retourne, sentant sans doute mon hésitation. • Ce sont tous des amis, ils sont tous venus pour te soutenir et t'accompagner. Tu n'as rien à craindre, viens. Nicolas s'avance vers eux, et je reconnais François, le médecin et ami de Matthieu. Les autres me sont parfaitement inconnus. François m'adresse un grand sourire et se dirige vers moi. Il m'embrasse sur la joue. • C'est bien que tu sois venu, Romain, ce qui va se passer ce soir va achever ta guérison. • J'espère François. Je ne veux qu'une chose ce soir : que ce soit la dernière fois que je les vois de toute ma vie. • Vu ce que Matthieu leur a préparé, je crois que tu pourras désormais dormir en toute tranquillité. • Il est où Matthieu d'ailleurs ? • Il est avec eux dans le bureau. • Comment ça avec eux ? • Eh bien oui, il fallait les faire venir ici, et il les a attirés dans le piège. • Mais comment ? • Tes deux agresseurs sont des petites frappes, qui vivent de recèles et de menus trafics. Lorsqu'il a récupéré son studio de Chatillon, son précédent locataire avait tout laissé en plan : mobilier, fringues, vaisselle, Hi-fi, Tv, et sans consigne à son copain Kevin pour les conserver ou les liquider. Alors Matthieu a dit qu'il ne voulait plus rien dans cet appartement, et que pour payer les travaux de remise en état, il se servirait de la vente de tout ce qui se trouvait ici. • En discutant avec Kevin, Matthieu lui a demandé s'il ne connaissait pas des personnes qui pourraient lui écouler tout cela. Bien entendu, il avait en tête que Kevin, Dylan, David et Kamel sont potes. Matthieu a proposé à Kevin de partager le fric de la vente, s'il lui trouvait rapidement un moyen plus ou moins officiel de refourguer tout cela. • Le Kevin en question est donc revenu quelques jours plus tard accompagné de 3 mecs, dont ton David et ton Dylan. Matthieu a commencé à les brancher plan du genre " tombé du camion ", et leur a fait croire qu'il ne serait pas contre d'écouler en douce un peu des produits qu'il vend normalement, sans déclaration et au black bien sûr, à un tarif plus qu'intéressant. • Les mecs ont forcément mordu à l'hameçon quand il a commencé à parler de TV, d'ordinateur et du coup, Matthieu a fixé un rendez vous pour ce soir à David et Dylan pour leur montrer la came. Et là actuellement, il est en train de leur monter un énorme bateau avant de nous les amener ici. • Et après ? • Après, ils vont regretter toute leur vie de s'être attaqué à toi... • Regretter comment ? pas définitivement si tu vois ce que je veux dire... • Non, bien sûr, il n'y aura pas mort d'homme, nous ne sommes pas des assassins. Mais l'humiliation et la honte qu'ils vont connaitre ce soir, ainsi que quelques garanties que nous allons prendre pour la suite afin d'assurer notre tranquillité à tous, tout cela fera que plus jamais, ils ne toucheront un mec. • Si ce soir peut leur faire passer l'envie, alors allons-y. Nicolas me présente les différents comparses. Certains sont des amis de Matthieu, d'autres de François. Une caractéristique commune à tous : ils ont l'air costaud, et je ne serais pas surpris de savoir qu'ils fréquentent la même salle de sport que Matthieu et Nicolas. Nicolas me tend une cagoule et m'invite à la mettre. • Nous allons tous en porter une, pour garantir notre anonymat. Et toi aussi, tu dois en avoir une. • Très bien, en même temps, ça me rassure de savoir qu'ils ne vont pas me reconnaitre. • T'inquiètes, tu n'auras plus rien à craindre après ce soir. Attends, un instant... Nicolas sort son portable de sa poche, décroche, et après quelques mots avec son interlocuteur, raccroche. • Messieurs, en place. Matthieu arrive dans deux minutes avec les deux mecs. Vous vous rappelez tous votre rôle. Alors dispersion. Romain, tu viens avec moi. Il m'entraine derrière une palette, et m'intime l'ordre de rester là tant que Matthieu ne sera pas venu me chercher. Je remarque que, de là où je suis, j'ai une vue imprenable sur les deux chariots. En observant la scène, je remarque également trois caméras fixées à différents endroits et des sacs dont je ne peux pas voir le contenu. Chaque membre de l'expédition punitive se disperse et se dissimule. L'entrepôt tombe dans un silence total. J'ai l'impression d'être enfermé dans un gigantesque tombeau. D'un coup, on entend une porte claquer. Des voix s'élèvent et rompent le silence. • Ouah Putain !!! T'as vu toute la cam' Dylan !!! Je reconnais immédiatement la voix de David. Un frisson me parcourt l'échine, et je ne peux réprimer un tremblement. • Ouais, on va se faire des couilles en or avec toi, mec, répond Dylan. • Du calme, Messieurs, on va d'abord commencer cool, et si notre nouvelle association fonctionne bien, alors on verra comment étendre notre nouveau commerce. La voix de Matthieu me rassure, même si j'ai peur pour lui. Il est seul, ils sont deux, et pour une raison X ou Y, ils pourraient très bien s'en prendre à lui pour le voler, voire pire. Mais en même temps, ils sont trop cons pour réfléchir à demain. Ils sont justes bons à profiter de l'instant présent. • L'allée des produits qui nous intéressent est là, à droite, dit Matthieu dont les pas se rapprochent. D'un coup, dans mon champ de vision, je vois apparaitre le trio. Matthieu marche derrière mes deux tortionnaires. Il leur montre les palettes sensées contenir l'objet de leur convoitise, grimpe sur un chariot et en descend une au sol. Puis, replaçant le chariot exactement où il l'a pris, descend, dégerbe la palette et en extrait un carton d'ordinateur qu'il ouvre pour en sortir une machine rutilante. • Alors, pas mal ? • Trop beau mec, et tu nous le lâche à combien ? • 150 euros pièces, dans le commerce, ça vaut plus de 2000 euros. Même si vous le revendez 500 euros, vous multipliez votre mise par 3... • Combien tu es prêt à nous en donner, demande David. • 50 • 50 ? ca fait, euh ca fait.... • 17 ;500 euros de bénef net pour vous... Leurs regards s'enflamment d'un coup. • 17 ;000 !!! mais c'est mieux que l'euro millions ton truc. • N'est ce pas ? Mais avant, je voudrais vous demander un petit service. • Hein, quoi ? • J'aimerais vous sucer la bite. • Quoi ? t'es ouf, mec, tu nous prends pour des PD ? s'écrie Dylan • Vous non mais moi oui, et j'avoue que vos deux jolis paquets moulés dans vos jeans me font bander grave. Juste une petite pipe, et vous repartez avec 50 bécanes. C'est mon bonus à moi en quelque sorte. Dylan est plongé dans un abîme de perplexité. Il ne doit pas avoir l'habitude de réfléchir. Mais David, lui, n'hésite pas et ouvre son froc, le baisse sur ses cuisses, sort sa queue molle du slip et se place devant Matthieu. • Tiens vas y, suce la et applique toi, sale petite pute. Je frémis de rage en l'entendant insulter ainsi Matthieu. Mais celui-ci joue la comédie à fond. • Je veux les deux bites ou rien. • Putain Dylan, vas y baisse ton froc, fais pas ta pute !!! quand tu t'es fait sucé par l'autre tarlouze l'aut'soir, t'as pas fait ta mijaurée !!! Dylan s'approche alors du duo et obéit à son pote en baissant son jean, son slip et en exhibant sa verge qui grossit devant Matthieu. • T'as raison David, si en plus de se faire de la thune, on peut se faire plaisir... Matthieu s'agenouille devant les deux mecs. Dans chaque main, il prend les verges grossissantes et les caresses. Il assure son emprise, et sans prévenir les deux comparses, tire d'un coup sec sur chaque bite raidie par sa caresse. David et Dylan hurlent de concert leurs douleurs, et jettent leurs mains sur leurs sexes endoloris par la brusque traction de Matthieu pour se protéger. Comme mus par le même mouvement, ils tombent à genoux devant Matthieu qui se relève. • Putain, mec, tu vas le regretter, siffle David entre ses dents • Non, David, les regrets, c'est vous qui allez les avoir maintenant. Messieurs, dit-il en claquant des doigts. Les 8 compagnons d'expédition sortent rapidement de leurs cachettes et encerclent les deux hommes à terre. Ils sont tous cagoulés, en jean et t-shirt blanc, totalement anonymes. Ils me dissimulent un peu Dylan, mais je vois parfaitement la stupeur puis l'effroi dans les yeux de David. Toujours à genoux, le sexe visiblement encore douloureux mais tout rabougri, ils regardent autour d'eux ce cercle d'hommes menaçant. • Vous êtes qui vous ? demande David en tentant de se redresser. Matthieu le force à rester à genoux. • Putain, mais tu nous as balancé aux keufs, t'es une petite pute d'indic !!! s'écrie David. Dylan se met à couiner. • Oh non merde pas les flics !!! • Non, nous ne sommes pas des flics, répond Matthieu. • Alors vous êtes qui ? vous voulez quoi ? dit David. • Nous sommes les amis de la petite tarlouze que vous avez violée il y a 3 semaines. Et nous allons laver son honneur ce soir. • Quoi ? de quoi tu me causes ? éructe David en redressant la tête d'un mouvement de défi. • Rappelle toi David, le quartier des Halles, un jeune homme à qui vous demandez du feu, que vous coincez dans un porche glauque et que vous violez en l'abandonnant comme un moins que rien après votre forfait... • Et alors, vous êtes comme lui, un groupe de tapettes en manque de bites ! hurle David • Ca suffit maintenant, lui répond Matthieu en lui assénant une gifle magistrale qui résonne dans tout l'entrepôt. Tu parles de mon ami, de mes amis, petite merde, et tu vas regretter d'avoir oser toucher l'un d'entre eux. David s'effondre au sol sous le coup de la gifle. Quatre comparses de Matthieu s'emparent de lui, et le déshabillent intégralement, sans aucun ménagement et en déchirant ses vêtements. Dylan regarde la scène terrorisé. Il pleure comme un gosse et supplie Matthieu : • J'étais pas d'accord moi, il m'a forcé à le faire. J'vous jure, j'voulais pas le toucher votre pote !!! La voix entrecoupée de sanglots, Dylan est prostré au sol, en position de soumission totale. Matthieu attrape son col, le relève et le balance au milieu des 4 autres compagnons encore inoccupés. Ses vêtements subissent le même sort que ceux de David, et de terreur, il se pisse dessus. Tandis que chaque violeur est trainé entre les fourches, Matthieu sort deux jeux de cordes et divers instruments des sacs. David et Dylan se voient alors attachés en travers des fourches d'un chariot, le torse et le ventre reposant sur le métal froid, le postérieur tourné vers l'extérieur. Sur le visage de David, c'est la colère qui se lit. Dylan est lui tête basse, et on sent la honte transpirer par tous ses pores. Ils se font face, et Matthieu vient se positionner entre eux. • Maintenant, vous allez subir ce que vous avez fait subir à mon ami. Nous sommes 9. Neuf bites, 18 pipes, 18 enculades. Nous allons vous ravager la gueule et le cul toute la nuit. Nous allons vous remplir de sperme par devant et par derrière. Vous allez savoir ce que c'est qu'être pris sans le désirer, de force, contraints. Dylan éclate en sanglots : • S'il vous plait, laissez nous. On regrette vraiment, je suis même prêt à m'excuser devant votre ami, mais laissez moi partir, j'ai compris... • Il faut réfléchir avant, p'tit con, pas après. Tu pouvais dire non tout de suite mais tu as été trop faible. Alors subis ta faiblesse jusqu'au bout. Un à un, les neufs hommes se déshabillent entièrement, ne conservant que chaussettes et cagoules. Je vois apparaitre neuf bites superbes, toutes différentes les unes des autres, et certaines commencent déjà à se redresser fièrement. Matthieu s'approche du cul de David. • Je commence par ton cul. Et tu vas aussi en avoir une en bouche en même temps. Applique toi, ne cherche pas à blesser ou tu mourras dans des souffrances atroces. • Attends un peu que je sorte de là, toi, siffle David entre ses dents, et tu... • Pour ton info, tout va être filmé, enregistré. Si mon ami ou moi avons le moindre souci, tout sera diffusé sur le net, envoyé à vos proches, à votre famille, distribué dans la rue avec vos noms, prénoms et adresses personnelles. Votre vie deviendra un enfer, et nulle part en France ou ailleurs, vous ne serez tranquilles. Alors... Matthieu se positionne derrière David, met du gel sur la capote qu'il a enfilé pendant son speech, et écarte les fesses de David. • Alors, profite bien, ce n'est que le...aahhhh....début, lâche t'il dans un souffle en pénétrant David d'un coup. David hurle de douleur à la pénétration directe de Matthieu dans son cul. Dylan le regarde avec effroi quand il se met lui aussi à hurler d'un coup, lorsque l'un des amis de Matthieu le pénètre d'un coup sans ménagement. Les deux hommes pilonnent fortement le cul de leurs proies, sans se soucier des cris et des larmes de l'un ou l'autre. Deux autres comparses se présentent devant la bouche des David et Dylan, et les forcent à avaler leurs sexes tendus. Mes deux violeurs deviennent des violés. Sans se préoccuper un instant de leurs souffrances, les 4 hommes les besognent sans relâche, et déjà, très vie, Dylan reçoit une 1ère salve de sperme sur ses reins. Frédéric s'écarte, pour être aussitôt remplacé par Luc, qui encule d'un coup et sans prévenir Dylan. Le cri de ce dernier est étouffé par la bite de Julien qui le force à le sucer avant de se vider dans sa gorge. Je vois les corps des deux prisonniers tressautés surs les fourches des chariots en subissant les assauts rectaux et buccaux de mes vengeurs. Cédric, qui se faisait sucer par David, éjacule dans sa gorge, le forçant à tout avaler, puis s'essuie la verge sur son visage. Nicolas vient le remplacer, alors que Matthieu jute dans la raie da David, pour être remplacé immédiatement et sans détour par François. Pendant plus d'une heure, les 9 compagnons de vengeance passent d'un cul à l'autre, de la bouche de David à celle de Dylan. Les deux garçons sont couverts de sperme sur le visage, sur le dos, coulant entre leurs cuisses et leurs anus sont déformés par les multiples sodomies bestiales que leur fait subir chacun. Quand Matthieu finit par se vider le peu de sperme qui lui reste sur la rondelle déformée et béante de Dylan, le groupe s'écarte et se met en arc de cercle autour des deux garçons. David est en larmes, des larmes de honte, de rage, de douleur. Chacun l'a violemment pris par derrière, et l'a défoncé avec force et vigueur. Pas un seul instant de répit pour lui. Il luit de semence sur tout son corps et les halogènes puissants de l'entrepôt soulignent chaque jet comme autant de cicatrices. Dylan est prostré sur sa fourche. Il a très vite abandonné toute résistance et subit les assauts en pleurant toute la séance de baise. Je vois Matthieu, nu, la queue débandant mais encore grosse de ses deux fellations et deux sodomies, le torse dégoulinant de transpiration, se diriger vers ma cachette. • Romain, tu es là, demande t'il doucement. • Oui, derrière la palette. • Tu as ta cagoule sur le visage ? • Oui ? • Alors viens avec moi. Je sors de ma planque, constate avec effroi que mon jean est déformé par une énorme barre et marquée d'une très grosse tâche sombre à gauche de ma braguette. Je n'ai pas joui, je ne me suis même pas touché pendant que les 9 autres s'activaient dans le cul et la bouche des deux garçons, mais j'ai dû mouiller comme un malade. Un passage rapide de ma main dans mon jean me confirme que j'ai détrempé mon boxer de precum. Matthieu me prend tendrement par la main et m'amène au milieu du groupe. En approchant de mes deux tortionnaires, je ne peux réprimer un violent tremblement. • Du calme, ils ne peuvent plus rien te faire. • Je sais, mais les revoir si prêts, ça fait remonter des images terribles de ma mémoire. • Je sais, dit François, mais cela fait partie de la thérapie. • Et maintenant, ajoute Matthieu, tu vas donner l'estoc final. • Comment ça ? dis-je en blêmissant ? • Tu choisis : soit tu les encules comme ils te l'ont fait, soit tu les fais s'enculer l'un et l'autre devant nous tous et les caméras. • Hein ? les enculer ? non, je ne pourrais pas, non, je ne veux pas. Malgré moi, des larmes coulent sur mes joues. La blessure qu'ils ont ouverte en moi se réveille avec violence. • Non Mat', je ne veux pas les toucher, je ne veux plus les approcher. • Ok bogosse. Alors, ils vont devoir s'enculer. Messieurs, détachez les et amenez les ici. David et Dylan sont rapidement amenés devant Matthieu et moi, et mis à genoux comme des prisonniers. • Messieurs les violeurs, vous allez vous violer l'un l'autre, et vous devrez jouir dans le cul de votre " compagnon ". Dylan se tourne vers David, le fusillant du regard. • A cause de toi, je suis devenu un trou à bites. A cause de toi, plus jamais je ne pourrais me regarder dans une glace sans avoir honte de moi. A cause de toi, j'ai perdu toute ma dignité. Tu vas morfler quand je vais t'enculer. Tu vas crier grâce. Ce que tu viens de vivre n'est rien à coté de la défonce que je vais faire subir à ton cul de connard !!! finit-il par hurler à 5 cm du visage de David. • Pardon, Dylan. Pardon, j'ai pas réfléchi, je suis désolé, vraiment ! dit il dans un sanglot. Mais on est pote, on est frères, non ? • Non, tu n'es plus rien pour moi, tu es mort depuis ce soir !!! Je vais te défoncer le cul et tu vas hurler, et après plus jamais, tu entends bien, plus jamais je ne veux voir ta sale gueule de pute !!! • Messieurs, intervient Matthieu, puisque l'un d'entre vous a l'air décidé à passer à l'acte, on va abréger les discours et s'y mettre, si je peux m'exprimer ainsi. Attachez David au chariot, et toi Dylan, sois à la hauteur de ta promesse. Si tu nous satisfais dans l'exécution de ta tâche, alors peut être éviteras tu qu'à son tour, David s'occupe de ton cul. David est ramené au chariot. Cette fois, il est attaché entre les deux fourches, visage tourné vers la cabine. Dylan est amené derrière lui. Le cercle des vengeurs se resserre autour des deux garçons. Dylan s'empare de sa queue molle et l'astique avec force. Elle prend très vite de l'ampleur et déploie ses 22 cm. Puis sans prévenir, il s'empare de David et le pénètre d'un coup sec David hurle de douleur. Après 9 sodomies sauvages, cette dernière pénétration est le coup de grâce pour son cul explosé. Il tente vainement de se retirer la bite de Dylan du cul en ondulant de la croupe, mais Dylan, les mains libres, l'empoigne par les hanches et assure son emprise. A grands coups de verge, il explose le cul de David qui hurle à chaque fois que le gland lui défonce le ventre. Dylan va encore plus fort, plus vite. David hurle à Dylan d'arrêter, il est en larmes pendant que Dylan lui attrape les cheveux, lui tire la tête en arrière pour le baiser comme un chien. En quelques minutes, Dylan explose dans le cul de David, en poussant un cri de bête, un râle primitif de jouissance, de haine, de victoire. Son sperme jaillit du cul défoncé de David, se colle à ses poils, coule sur les cuisses des deux amants forcés. Puis il décule, repousse David qui s'effondre à terre, juste soutenu par ses bras entravés, comme un pantin désarticulé. Dylan se retourne vers nous tous. • Alors, ca vous a plu ? • Non, dis je d'une voix forte et assurée qui surprend mes compagnons et me surprend moi-même. • Comment ça non ? répond Dylan sur un ton de défi. • Tu as pris du plaisir à faire souffrir ton ami, tu n'as rien compris !!! alors je vais te faire comprendre ce que tu viens de lui faire subir, ce que tu m'as fait subir !!! Attachez-le à l'autre chariot, dis-je sur un ton si autoritaire que mes amis se précipitent pour exécuter mon ordre. • Quoi, qu'est ce que vous faites ? mais qu'est ce que vous faites ? crie Dylan paniqué. Vous aviez dit que si... • Ta gueule !!! tu ne vaux pas mieux que lui. Pour sauver ton cul, tu es prêt à humilier ton meilleur ami devant des inconnus. Tu me dégoûtes, et je vais te défoncer le cul, et tu vas hurler à ton tour, et tu vas pleurer à ton tour, mais je vais rajouter une couche de honte supplémentaire : tu vas en jouir. Mat, pendant que je l'encule, branle le et fais le jouir, de plaisir, pour lui montrer que c'est bien un gros PD. • NOOOOOOOOON !!! hurle Dylan alors que je baisse mon jean et mon boxer, dévoilant un sexe raide et dur comme jamais il ne l'avait été, même dans mes plus chauds moments avec Matthieu. Je coiffe une capote et dans prévenir, encule Dylan qui hurle à son tour. Je lui défonce le cul en y mettant toute ma force, toute ma colère et toute ma haine. Matthieu s'est emparé de son sexe et le branle sans ménagement. Dylan rebande vite et jouit en quelques instants. David regarde l'infortune de son comparse, riant à travers ses pleurs, un rire nerveux, saccadé. • Pauvre con, lui dit il, tu as l'air malin comme ça. Je te hais moi aussi, et je vais te buter... Mon ventre claque comme un fouet contre son cul, mes couilles tapent contre les siennes. Mes ongles se plantent dans ses épaules jusqu'au sang et je ramone comme un fou ce mec qui m'a tant fait souffrir. Au bout de quelques minutes, je sens monter l'orgasme. Je décule, passe devant Dylan, et avant d'éjaculer sur son visage, j'arrache ma cagoule, prend son visage d'une main pour qu'il me regarde. • Non Rom, fais pas ça, dit précipitamment Matthieu, t'es fou. Sans écouter mon ami, je plante mon regard dans celui de Dylan. • Regarde moi bien Dylan, grave ce visage dans ta mémoire à jamais, souviens t'en comme celui de la plus grosse erreur de ta vie !!! dis-je en éjaculant sur son visage. En expulsant mon sperme, j'ai l'impression de faire sortir de mon corps tout le dégoût, toute la haine, toute la rage qui était en moi depuis mon viol. Je relâche son visage maculé de mes 6 jets de foutre. Mon sperme couvre ses cheveux, son front, se prend dans ses sourcils et ses cils, glisse le long de son nez pour finir sur ses lèvres. Je me recule, me rhabille et me dirige vers Matthieu et Nicolas. • Merci. Merci de m'avoir guéri. Maintenant, ramenez moi chez moi, je ne veux plus les voir un instant de plus, dis je fermement. • Tout de suite ! réponds Nicolas qui se rhabille rapidement. Je me tourne vers le groupe, et leur dis : • Merci Messieurs, merci du fond du coeur. Il est heureux de voir qu'il y a encore des hommes d'honneur dans ce monde, et des personnes solidaires quand l'un d'entre nous a un problème. Je ne sais pas comment vous remercier, et j'espère de tout coeur vous revoir très vite dans des circonstances plus...classiques que ce soir. En tout, je n'oublierai pas de vous remercier en temps et en heure. • Docteur, dis-je en m'adressant à François, je suis guéri. Vous aviez raison, ce fut une excellente thérapie. • On y va, dis-je à Nicolas. • Je suis prêt. Mat, je t'appelle. Les gars, à plus. Juste avant de partir, je jette un ultime regard à mes deux anciens tortionnaires. Ils sont là, entravés sur le chariot, nus, tremblant, couverts de sperme, le corps agité par les soubresauts des sanglots. Ce ne sont plus désormais que deux souvenirs que je vais effacer de ma mémoire. Nicolas me raccompagne chez moi. Pendant tout le trajet, je reste silencieux. Arrivé au pied de mon immeuble, je reste assis dans mon fauteuil. Nicolas ne bouge pas, ne dit rien, respectant mon silence et ma réflexion. Au bout de quelques minutes, je me tourne vers lui. • Que va-t-il se passer ensuite pour Dylan et David ? • Ton départ ne signifie pas que nous en avions fini avec eux. • Ah... • Non. Depuis trois semaines, Matthieu ne décolère pas contre eux. Il a peaufiné chaque détail de ta vengeance un peu plus chaque jour jusqu'à ce soir. Et il est terrifiant quand il s'agit de toi. Je crois qu'il t'aime profondément, et il n'a pas supporté l'outrage qu'ils t'ont fait subir. Plusieurs fois, j'ai dû le calmer, car je crois qu'il aurait été capable de les tuer. • Je sais qu'il m'aime, et si c'est autant que moi je l'aime, alors c'est énorme. Que va-t-il se passer donc ? Et Nicolas me raconte tout dans les moindres détails. Après mon départ, les 8 compagnons restés sur place ont positionné dans le cul de David un gode double avant d'obliger Dylan à s'empaler sur la partie encore libre. Puis ils les ont liés ensemble avec du scotch épais partout sur le corps, en particulier les tétons, le pubis et la touffe, les testicules, les cuisses, pour que, en l'enlevant, cela tire et arrache les poils été qu'ils souffrent encore un peu. Ils ont ensuite amenés une fourgonnette dans laquelle ils ont fait monter les deux hommes nus ainsi entravés et liés par le fondement. Ils les ont reconduits au coeur de leur cité pour les abandonner en plein milieu, nus, se sodomisant mutuellement à chaque mouvement de l'un ou de l'autre, aux yeux et vues de tout le monde, avec une pancarte autour du cou sur laquelle est inscrit : " je suis un violeur rattrapé par ma victime !!! Ne devenez pas violeur ou vous subirez comme moi la vengeance des victimes " Demain, ils vont recevoir sur leur mail la vidéo de la soirée, avec un rappel de l'avertissement formulé par Matthieu. Je respire profondément, dépose un baiser sur la joue de Nicolas, et dis en sortant : • Je suppose que tu vas retrouver Matthieu après cela ? • Oui, je suis son alibi auprès de Marie, et lui le mien auprès de Valérie dit il en souriant. • Demande-lui de m'appeler demain. • Je n'ai pas besoin de lui demander, il le fera naturellement. • Nicolas ? • Oui Romain ? • Merci, merci de ton aide, de ta confiance et je l'espère de ton amitié. • Tu les as tous les trois, et sers t'en quand tu veux. Grâce à toi, je suis plus heureux parce que plus libre, je te devais au moins cela. • Allez, bonne fin de soirée. • Bye. La voiture de Nicolas s'éloigne dans la rue, me laissant seul sur le trottoir. En remontant chez moi, je ressens une sérénité que je n'avais pas connue depuis longtemps. Ma vie va pouvoir reprendre un cours normal. Le boulot, le RER, Matthieu, Nicolas, ses amis, bref, que du bonheur en perspective. Romain JMromainjm@hotmail.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |