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Soumission 8
Le samedi prévu de la partouze, je passais prendre Jean chez lui.
En arrivant, je suis tombé sur sa mère qui me dit alors qu'il finissait ses bagages. En attendant, elle me pousse contre le mur et m'embrasse à pleine langue. Je bande direct (il ne me faut pas beaucoup d'excitation pour y arriver !). Je la retourne, soulève sa jupe (elle ne porte pas de culotte !) et lui mets deux doigts dans la chatte. Elle mouille grave ! Ça doit faire un moment qu'elle s'excite de savoir que je passe !
Je défais ma braguette et, une Kpote après, lui enfile mes 20cm dans son trou brûlant. Trop chaud et trop mouillé ! Je ne me sent pas assez serré et profite d'en être ressorti pour lui investir le cul. Elle sursaute mais je lui tiens bien les hanches. Elle couine sous mes assauts. Dans une glace, je vois Jean en haut de l'escalier qui nous mate. Je me fini dans la kpote et décule rapidement. Je jette ma Kpote dans le porte parapluie et lui ordonne de me nettoyer la bite. Je n'aime pas la remettre dans le slip si il reste quelques traces de sperme.
Elle se relève en entendant Jean descendre les premières marches. Je prends mon temps pour me reboutonner, elle panique un peu.
Jean vient l'embrasser, et lui fait la remarque qu'il ne lui connaissait pas ce nouveau parfum !!
Elle le pousse dehors et nous souhaite un bon week end.
Alors que nous nous équipons, Jean me demande de nous arrêter dès la première aire venue, il a trop envie de ma bite lui aussi. Je lui demande si il a bien mis le plug dans son cul, il m'assure que oui et me faisant passer la main entre ses fesses m'a fait sentir la base collée à son trou.
Je roule quelques dizaines de km avant de trouver une aire. Pendant ce parcours, Jean n'a pas arrêté de me masser le paquet afin de me maintenir bandé.
Dès la moto sur sa béquille, je plie Jean sur la selle, lui baisse le pantalon et arrache son plug, déplie une Kpote et l'enfile sans précautions, il m'a trop agacé pendant la route !
Le risque de se faire découvrir ajoute a l'excitation de base et rapidement, j'explose. Après lui avoir replacer le plug et nous être réajustés, nous finissons le trajet.
A l'arrivée, j'installe Jean directement dans la salle de muscu. Je lui ordonne de se mettre a poil et de se coucher sur le banc. A l'aide des anneaux fixés au sol, je l'entrave afin qu'il ne puisse se relever de sa position et le laisse seul. Je remonte au rez de chaussée avertir Marc de notre arrivée. Je l'informe de la mise a disposition de Jean et il me dit que nos acolytes ne devraient pas tarder à nous rejoindre. En effet quelques instants plus tard des moteurs de motos se font entendre dans la cour.
Nous accueillons Eric, Luc et Phil. J'étais impatient de revoir mes deux compères pour parler de nos vacances respectives, nous nous sommes jetés dans les bras tous les trois ce qui a fait rire nos deux aînés.
Eric me demanda si Jean était là, je lui dit qu'il était à sa disponibilité attaché au banc de muscu.
Nous sommes tous rentrés à la maison prendre un apéro. Marc et Eric de leur coté organisait le reste du w e pendant qu'avec Luc et Phil, nous discutions vacances.
Après avoir brossé vite fait un tableau des miennes, ils m'ont raconté les leurs, qu'ils avaient prises ensemble. Descendus sur la cote d'azur, ils n'étaient restés qu'une nuit au camping avant de trouver un hébergement chez " l'habitant !" du coup ils y étaient restés 15 jours à bronzer au bord d'une piscine et à baiser plusieurs fois par jour, déjà qu'ils n'étaient pas farouches !!
Excités par nos récits respectifs, nous nous sommes retournés vers Marc et Eric et roulages de pelles, mains aux paquets, dans les paquets, pipes... nous sommes arrivés à bien les exciter. Et bientôt, nous avons pu admirer cote à cote les deux " Bites " du w e en extension totale.
Marc nous demanda alors de tous descendre à la salle de muscu. Jean s'étais endormi et je le réveillais brusquement en lui arrachant le plug. Il émit un cri de surprise et Eric profita de la bouche ouverte pour s'y enfoncer. Le cri s'acheva en gargouillis !
Phil s'installa dans le sling et Luc, serviable, lui attacha les poignets et les chevilles aux chaînes de suspension.
De mon coté, après avoir enKpoté Marc, j'écartais les fesses de Jean, mettant à jour le trou entrouvert. Marc ne tarda pas à s'enfoncer dans l'anus de Jean, à chaque fessées de ma part, l'anneau se contractait sur la bite envahissante. Marc me remercia de l'effet de massage obtenu sur sa bite. Je me suis alors installé en face de lui , pour bourrer la gueule de Jean. Nous avons alterné les mouvements de scie (je rempli la gorge de Jean quand Marc sort de son cul et inversement) à ceux où nous remplissions d'un même élan les deux trous pour les libérer de concert l'instant suivant.
Nous pouvions admirer le spectacle de Phil qui, après un bouffage de cul en règle par Luc (histoire de bien lui détendre l'anus), se faisait enfiler comme une reine par Eric. Assis dessous le sling, Luc prenait les grosses couilles pendantes noires dans sa bouche.
Au summum de l'excitation, Marc et moi nous nous sommes retirés de Jean et lui avons éjaculé sur le ventre. Je me suis penché et ai tout pris en bouche. J'ai été obligé d'en avaler une partie, le reste je l'ai partagé avec Marc dans un roulage de pelle langoureux.
Eric est sorti brusquement avec un " plop " de bouteille de champagne pour se répandre dans les cheveux et sur le torse de Luc, Phil au même moment jutait sur son nombril et Luc au sol.
Après que nous soyons tous passé à la douche, j'ai replacé le plug au fond du cul de Jean avant de le détacher et de l'étriller à son tour sous la douche avec Luc et Phil.
Dîner reconstituant, notre énergie ayant bien été pompée par les exercices précédents qui pour avoir débutés vers 19h, nous avaient entraînés jusqu'à 22h30 !!
Dodo, si je me suis retrouvé avec Marc, Jean s'est fait capté par Eric. Je pense qu'il va passer la majeure partie de la nuit avec une bite dans le cul !
Dimanche matin.
Marc est déjà descendu, j'enfile un jock et passe dans les autres chambres. Arrivé à celle d'Eric, je pousse la porte et peux admirer le réveil enthousiaste de ses sens. Il tente dès cette heure de mettre ses 26cm turgescents au fond de la gorge de Jean. Ce qui ne va pas sans quelques haut le coeur.
Je me déplace jusqu'à celle de Phil et Luc. Ils dorment encore ! je me couche entre les deux et commence à leur faire des bisous, puis des pelles, ce qui a pour effet de les faire bander bien ferme.
Nous nous exécutons par de rapides pipes et descendons prendre nos petits déjeuner.
Nous retrouvons Marc en train de préparer le café.
Je me mets à ses genoux et tire sur l'élastique du short pour mettre à jour son service trois pièce. Je prend en bouche sa bite mole mais qui très rapidement prend son volume de service ! il me bloque la tête contre le meuble de cuisine et me lime la gorge sous les regards envieux de Luc et Phil.
Il finit par se lâcher et me largue sa purée. Un beau volume matinal dont quelques gouttes glissent sur mon menton. Je m'empresse de les rattraper avec les doigts que je suce pour ne rien perdre !
Attablés devant notre café, nous voyons arriver Eric portant Jean empalé sur sa queue. Il nous salut tous les quatre et nous dit n'avoir pas eu le coeur de le finir tout seul dans son coin. Il lui pose le torse au milieu des bols sur la table et reprend son enculade.
Nous bandons devant le spectacle. Le premier Luc ordonne à Jean de le sucer. Nous allons tous nous succéder dans sa bouche et, quand Eric lui remplit le cul, c'est sur son dos que nous avons mélangé nos spermes.
Nous nous retrouvons tous les 6 après une bonne douche sur les bords de la piscine.
Dans l'après midi, Luc et Phil ont enculé à deux Jean pour la raison qu'Eric lui avait trop dilaté l'anneau par l'usage répété qu'il en avait fait depuis son arrivée.
Jardinier
sasha72@hotmail.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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