Voyage en autocar -2Je vous ai raconté mon histoire et ma relation avec le conducteur d'un autocar, je vous en rappelle le début, histoire du moi de décembre 2010 : " J'avais 50 ans, alors. Je n'avais ;jamais voyagé seul mais cette fois là ma femme n'était pas avec moi pour ce voyage professionnel d'une semaine en autocar, en juillet. Tout avait été parfaitement préparé, sauf que le chauffeur du car (Antoine) n'avait pas été compté pour le nombre de chambres. Assis près du poste de conduite, j'avais beaucoup discuté avec lui, de tout et de rien. Le même âge que moi, il était un peu rond et costaud cependant. Quand il s'est agi de le caser quelque part, je me suis proposé pour partager la chambre où il y avait deux lits, deux grands lits ! " Et de fil en aiguille, il a fini par me soumettre et il m'a fait que je le suce et il m'a promis : " A mon réveil, je te baiserai " et il voulait que je devienne sa pute, et c'était mon premier contact avec un mec, moi hétéro de toujours. J'ai été réveillé par le bruit de la douche. Mon voisin de chambre, mon amant était dans son lit. Il était réveillé et m'a dit : " Salut, en forme ? " J'ai regardé l'heure : il était 5 heures du matin. J'ai demandé qui était dans la douche, il m'a répondu : " C'est Gérard, tu vois qui c'est ? Il voyage seul, lui aussi et il partage sa chambre avec Maurice. Je l'ai appelé sur son portable et il est venu. Il est intéressé par ma proposition de tirer un coup. Il a promis d'être discret. " Quand la douche a cessé, Gérard est sorti de la salle de bains, enveloppé dans une serviette. Il a allumé la lumière de la chambre, m'a dit salut ;et s'est approché de moi et s'est allongé dans mon lit, près de moi après avoir laissé tomber la serviette de bains. Nous avions tous les trois 50 ans ou un peu plus et chacun de nous était nu, devant les deux autres. Gérard bandait comme un âne. Il était veuf depuis six mois. Il me dit : " n'ai pas peur je suis sain et j'ai un peu d'expérience. As- tu été déjà pris ? " je répondis que non avec ma tête. Et il me prit dans ses bras, se colla contre mon corps nu. C'était bon ce contact, viril et tendre. Viril car Gérard avait tout d'un colosse : 1m95, au moins et 100 kg ! Et tendre parce qu'il était câlin. Sa poitrine forte était cependant porteuse de peu de poil. Il commença par m'embrasser, bouche ouverte et langue mobile, cherchant ma langue que lui donnait sans retenue. Une de ses mains se porta sur un de mes seins et commença à me travailler le téton et je découvris un nouveau plaisir, derrière une douleur naissante car il devenait plus puissant dans ses pincement du téton. Mon compagnon de chambre se branlait et me demandait de ne pas crier. Mais j'avais mal. Gérard se redressa et son autre main se porta sur mon autre sein et engagea le même traitement du téton. Mes deux tétons étaient maintenant travaillés avec autant de puissance. J'essayais de me dégager mais Gérard était assis sur moi et m'empêchait de bouger et l'autre collègue me tenait maintenant par les bras. Gérard ! ;me lâcha ;les tétons et m'embrassa. Je retrouvais mon calme. Il vint me présenter son sexe : " il te plait ? ". Je répondis oui et il me dit que ça tombait bien car il me l'offrait. Et il le mit sur les lèvres et je le suçais goulûment, avec gourmandise ! . le chauffeur du car, Antoine, me lâcha et revint quelques secondes plus tard et m'écarta les fesses. " Je te prépare car, comme promis, je vais te baiser, et Gérard aussi ! " Je dis que je ne voulais pas mais rien n'y fit et Antoine me remplissait l'anus de crème ou de gel. Ses doigts me pénétraient. Cela me rappelait que ma femme, quand on faisait l'amour, me faisait cela il y a quelques années et que j'aimais ça ! Il m'ouvrait doucement mais surement en disant qu'on avait tout notre temps, car il était bien tôt. Je vais te dépuceler me dit Antoine. Et je sentis son gland se poser sur mon anus alors que je m'étouffais presque avec le sexe de Gérard dans ma gorge. Il allait et venait tandis qu'Antoine forçait mon anus. Je criais de douleur quand il entra en moi. Gérard posa sa main sur ma bouche en disant : " Vas-y ouvre le, baise le, baise notre femelle. " Et Antoine s'enfonça en moi et ce fut douloureux comme si on me déchirait l'anus. Et il a commencé à aller et venir, me traitant de femelle, de salope et cela m'excitait d'être ainsi dominé. Gérard m'avait lâché et j'étais face à face avec Antoine qui me baisait et cela augmentait mon plaisir. Je me sentais rempli par son sexe qui me paraissait, dans mon ventre, plus gros qu'hier soir. Je me sentais partir dans des sensations que je ne connaissais pas : je jouissait du cul, du ventre, comme une femelle. Antoine accélérait l'amplitude des mouvements et allait de plus en plus loin en moi ; Et il se mit à grogner comme un taureau ; il me féconda, m'engrossa amplement. Je sentais les spasme de ses jets de sperme. Il s'écroula sur moi comme un arbre mort. Gérard lui dit de dégager et il se retira d'un coup avant même d'avoir débandé. Je criais mais ce fut rapidement que Gérard me rempli le ventre de son sexe encore plus large. Je ne souffrais plus. Je l'accueillais puissant de ses 100kg. Il me baisait comme un fauve en rut. Et rapidement à son tour il me féconda. Ses jets de sperme était chauds et puissants. C'était bon et j'aimais encore ça ! Il me retourna et ma pénétra encore et là cela dura un bon moment. Ses aller et retour dans mon ventre faisait un bruit de clapot : Floc, floc, floc...C'est=r dire combien j'étais rempli de sperme de mes deux amants et ce n'étais pas fini car Gérard déchargera lourdement encore et encore une bonne fois !Je n'en pouvais plus. Mon anus suintait de sperme qu'Antoine recueillit avec ses doigts et me donnait à lécher. Maintenant il est six heure dit Antoine. On va dormir encore une heure et on verra au réveil avant le petit déj. Et le voyage ne faisait que commencer et Antoine me dit qu'il allait essayer de convaincre les autres mâles solitaires de venir s'ajouter à notre groupe. Il y en a 3 autres. Je suis revenu de mon voyage rempli de sperme reçu tous les jours le matin et le soir, voire la nuit et une fois dans la journée dans des toilettes de station service. J'étais la pute de ce voyage, et tout était fait dans la discrétion ... je crois ! PierreRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |