Voyage en autocarCette histoire vraie, bien sur, remonte à une bonne dizaine d'années. J'avais 50 ans, alors. Tout avait été parfaitement préparé, sauf que le chauffeur n'avait pas été compté pour le nombre de chambres. Assis près du poste de conduite, j'avais beaucoup discuté avec lui, de tout et de rien. Le même âge que moi, il était un peu rond et costaud cependant. Quand il s'est agi de le caser quelque part, je me suis proposé pour partager la chambre où il y avait deux lits, deux grands lits ! La première nuit, il m'annonça directement qu'il avait l'habitude de dormir " à poil ". Je lui ai répondu que ça ne me gênait pas et que je le comprenanis car il faisait bien chaud. Moi j'avais un pyja-short. Je suis allé à la douche en premier. Il m'a succédé et en ressorti avec une serviette autour de la ceinture, qu'il a retiré avant de passer sous le drap, je n'ai rien " vu " ;et je me suis senti frustré. Sous le drap je devinais les formes de ses couilles, de sa queue. On a éteint et on s'est vite endormis, surtout lui, fatigué par la conduite de l'autocar. Vers 3 heures du matin, je me suis réveillé, je ne sais pas pourquoi. Mon voisin, ronflait doucement, presque sans bruit. Il dormait bien. Dans le peu de lumière de la chambre, j'avais l'impression que son corps était découvert. Pour en être sur, j'ai saisi ma petite lampe de poche que j'avais posée sur la table de nuit. Doucement, je l'allumais. Son faisceau lumineux ne se dispersait pas et et donnait un cercle lumineux net. Ainsi, je découvrais ;deux superbes couilles velues applaties contre une cuisse, très velue aussi. Son sexe pendait contre les couilles. Il était très beau, bien cylindrique et assez long au repos. Je promenais le faisceau de lumière sur ce bel ensemble. Au bou de quelques minutes, j'ai vu ce sexe bouger, se déplacer et changer doucement de forme, devenant plus gros aussi et plus long. Il commençait à ;bander. Et tout d'un coup j'ai compris : mon voisin ne dormait plus d'ailleurs il ne ronflait plus. ;J'étaignais la lampe et j'ai entendu une voix calme et grave: Je me suis mis à genoux près de son lit et j'ai saisi cette hampe dure dans ma main droite et j'ai touché les couilles tièdes de ma main gauche. C'était agréable. Je me suis à le branler et il a commencé à gémir. Je n'avais jamais fait cela et je n'avais jamais sucé un gars, surtout à mon âge ! Et il m'a demandé : L'ordre était direct et je l'ai fait. Ma bouche, mes lèvres ont décalotté le gland large et très doux. Et j'ai commencé à pomper son gland qui me remplissait la bouche. Puis il a enfoncé sa tige dans ma gorge et là c'est lui qui imposait le rythme et la profondeur de la pénétration. Il me tenait la tête et ses coups de reins faisaient le reste. Il m'a saisi chacun de mes tétons entre ses doigts et me les a écrasés. Je voulais hurler de douleur mais j'étais baillonné par sa large queue. Je sentai que son excitation montait et d'un coup il a cessé de bouger et avec une sorte de rale profond il a ;libéré son sperme par saccades puissantes dans ma bouche qui se remplissait. Il demanda sèchement : Il me renvoya sur mon lit en me disant je vais dormir un peu pour reconstituer mon sperme. A mon réveil je te baiserai, comme une femelle que tu es. Peut-être que tu seras la pute du groupe. Il y a d'autres seuls, des veufs qui voudront surement tirer un bon coup. PierreSuite de l'histoireRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |