Domination par Stéphane mon futur mari

Chapitre 15

Jour 5 fin de nuit torride, nouvelle domination de Felipe

Nous dormons jusqu'à midi. Il se réveille en premier et en bougeant, il me réveille. Il bande, il a l'érection du matin et moi aussi mais je crève d'envie de pisser. Je retire sa bite de ma bouche.

Moi : J'ai besoin de pisser.

Felipe sort ma bite de sa bouche.

Felipe : Et bien pisses, je suis là.

Il commence à me sucer, je remets sa bite dans ma bouche et lui rends la pareille. Je commence à pisser, il boit tout mais me rend la pareille aussi. Pour être sûr que je boive tout, il me prend la tête entre ses cuisses. J'ai envie de boire tout et je plonge son sexe à fond dans ma gorge. C'était divin car nous avions bu beaucoup d'eau en fin de soirée. Après que nous ayons fini, nous prenons la direction de la douche. On se savonne mutuellement.

Felipe : As-tu passé un bon moment avec moi ?

Moi : Génial, c'est à refaire. J'ai adoré être dominé par toi. Ne le dis pas à Stéphane mais c'était mieux avec toi. Tu as passé un bon moment avec moi ?

Felipe : Extra, mais je préfère que tu sois soumis plutôt que dominateur. De ce côté-là, tu as encore beaucoup à apprendre. Du coté soumis aussi d'ailleurs, car si tu étais un bon soumis, tu sucerais ton maître sous la douche.

Je ne fais ni une ni deux je me mets à genoux et lui fait une pipe magistrale. Il me tient la tête et je lui bouffe le sexe avidement. Je lui prends à fond et au bout de quelques minutes, il jouit abondamment. J'avale tout. Je me branlais en même temps que je le suçais et je jouis sur ses pieds. Je plonge directement pour lécher mon sperme de ses doigts de pieds.

Felipe : C'est bien tu apprends vite. Pat, avec l'autorisation de Stéphane, je te baiserais et te dominerais quand tu le voudras. Tu es d'accord ?

Moi : Oui maître.

Il m'embrasse. Nous sortons de la douche et après que nous nous soyons donnés un coup de drap mutuellement, c'est à dire que je me suis occupé de lui avant de m'occuper de moi, je suis soumis, il me tend un boxer slave complètement ouvert derrière avec écrit dessus "fuck-me". Lui en met un aussi. Nous prenons un café, il fait très beau. Je me demande ce qu'ils font à côté.

Moi : Tu ne crois pas qu'on devrait allez les réveiller ?

Felipe : Si, il faudrait.

Moi : J'espère que tu n'auras pas de problème avec les voisins du dessus, parce qu'avec le bruit qu'on a fait.

Felipe : Il n'y a personne au-dessus, c'est vide depuis des mois. Le propriétaire n'arrive pas à les louer car le loyer est trop cher. Moi, grâce à mon père qui est un ami du proprio, je paye moins cher.

Moi : Ah bon, si on allait voir ?

Felipe : Oui.

Nous rentrons dans l'appartement et je vois mon homme dans la cage de Michel. Attaché, bâillonné et avec un énorme plug dans le cul. Il est couvert de bleus mais il dort. Quant à Michel, il est couché dans son divan avec une culotte en cuir et il dort aussi. Je me précipite vers Stéphane et ouvre sa cage, je rentre et prend sa tête sur mes genoux. Il se réveille et je lui enlève son bâillon.

Moi : Que s'est-il passé ?

Stéphane : Nous avons joué à un jeu dangereux mon homme.

Moi : Lequel ?

Stéphane : Celui qui serait le plus dominateur. Nous avons fini par nous battre et je l'ai vaincu. Je lui ai mis la ceinture que tu peux voir, avec cette clef que je n'ai pas voulu lâcher.

Et il me montre la clef.

Stéphane : Pour se venger, il m'a assommé avec la batte de base-ball. Quand j'ai repris connaissance, j'étais attaché, bâillonné. Comme il voulait récupérer la clef et comme je ne voulais pas céder, il m'a foutu ce plug dans le cul et m'a mis dans cette cage.

Stéphane fond en larme sur mes genoux.

Stéphane : Je ne suis plus digne de toi, j'ai failli, pardonnes moi.

Moi : Tu es mon homme, tu es mon dominateur. Grâce à Felipe j'ai évolué pour te servir et surtout je t'aime.

J'embrasse mon mec. De son côté Felipe a réveillé son mec qui est couvert de bleus aussi. Il a un oeil au beurre noir, il a morflé aussi. Felipe viens vers moi pour la clef du but plug. Je ne savais pas ce que c'était avant de lui voir le retirer de Michel. J'entreprends de délivrer mon homme également mais au moment de retirer le plug, il se crispe. Sa rondelle s'est resserrée durant le peu de sommeil qu'ils ont eu par rapport à nous.

Felipe : Stéphane, pousse comme si tu voulais chier il sortira tout seul.

Stéphane fait ce qu'il dit et le plug sort en faisant hurler Stéphane de douleur. Il a la rondelle enflammée quelque chose de rare. Mon homme est brisé. Je lui mets quelques vêtements sur les épaules et met une veste, histoire de ne pas sortir juste le boxer slave sur le cul. Je décide de prendre congé.

Moi : Felipe, nous partons. Tu peux nous réserver une table pour deux vers 20h00 ?

Felipe : Pas de souci.

Moi : Je viendrais récupérer nos fringues plus tard.

Felipe : Je les prendrais au restaurant ce soir.

Le problème, c'est que la voiture est automatique et Stéphane est hors service, donc il ne peut pas conduire. Je fais de mon mieux pour conduire et arrivés à la villa, je prends mon homme dans mes bras et le porte dans la chambre. Ce n'est pas facile pour moi car je suis moins musclé que lui mais j'y arrive. Je pose Stéphane sur le lit.

Moi : Tu as mal quelque part ?

Stéphane : Partout. S'il te plait masse-moi.

Moi : Non. On va plutôt passer sous la douche, je vais te laver et ensuite je te masserais avec la pommade relaxante que tu as prise avec toi.

Et je l'emmène dans la douche, le lave et lui passe la pommade sur le corps. A croire que mon massage lui a fait du bien, il s'est endormi. Il fait chaud et j'ai envie de me baigner et de me relaxer dans le jardin. J'enfile mon maillot et je laisse Stéphane dormir. Je passe la fin de mon après-midi sur le transat tout en buvant une bonne bière. 17h30, je monte réveiller mon homme, histoire que nous-nous préparions pour la soirée.

Moi : Mon ange, réveilles-toi, il est 17H30.

Stéphane : Je vais me lever mais j'ai encore mal partout. Je vais prendre un antidouleur.

Moi : Je vais te le préparer mais tu devrais passer un peu dans la piscine. L'eau est bonne.

Stéphane : Bonne idée, je voudrais boire une bière aussi.

Moi : Je te l'amène.

Il va dans la piscine, moi je lui amène sa bière et le cachet.

Stéphane : Tu as raison, l'eau est bonne. Viens me rejoindre.

Moi : Je me prends une bière et j'arrive.

Dans l'eau avec ma bière sur le rebord de la piscine et celle de Stéphane, j'arrive près de lui, il me prend les bras, me tire vers lui et m'embrasse. Mais il pleure ma parole !

Moi : Que t'arrives-t-il ?

Stéphane : Hier, j'ai cru te perdre quand Felipe est venu me dire que tu aimais être avec lui. Quand je t'ai vu repartir, j'ai eu un pincement au coeur. J'ai eu le même pincement lorsque tu m'as réveillé ce matin et cet après-midi. Je réalise que je ne veux pas te perdre. Je t'aime.

Il me prend dans ses bras.

Moi : Ecoutes, c'est toi que j'aime. Je suis à toi, tu es mon homme. Tu es mon dominateur et Felipe est un ami ainsi qu'un super coup mais ça s'arrête là. Je dois juste t'avouer que nous avons fini par nous passer de capote mais il est clean. Il fait le test une fois par mois car il sait que Michel n'est pas spécialement fidèle.

Stéphane : Je m'en suis douté. Tu aimes vraiment être dominé par lui ?

Moi : Je te l'ai dit hier, c'est autre chose avec lui. Je ne me l'explique pas. Il a un talent caché mais pour lui c'est un jeu et rien de plus. Il m'a fait énormément progresser dans ma soumission. Je te montrerais quand nous aurons repris des forces. Je pense que nous devrions faire abstinence jusqu'à lundi.

Stéphane : De toute façon, je ne suis plus opérationnel pour le moment. J'ai mal aux boules et le cul en chou-fleur.

Moi : Mon cul n'est pas aussi abimé que je ne l'aurais pensé suite aux nombreux passages de cette nuit. Felipe m'a passé un gel sur le corps qui m'a fait un bien fou. Il m'a donné un spray pour ma gorge afin d'avoir un peu plus facile à avaler un sexe complètement. Enfin, nous verrons Felipe ce soir. J'ai retenu une table pour 20h00, je ne fais pas à manger aujourd'hui.

Stéphane : Ok mon coeur mais on ne trainera pas, je voudrais dormir une nuit complète.

Moi : Ok.

Nous sortons de la piscine et nous apprêtons pour le soir. Je décide de mettre une tenue légère et décontractée. Mon homme fait de même. On ne peaufine pas, on reste simple, car nous sommes crevés. Nous prenons le chemin de restaurant mais sur la route nous faisons une halte au bar à cocktail pour prendre un apéritif. Au moment de s'assoir, Stéphane a du mal et je peux voir la grimace sur son visage.

Moi : Tu vois après ton premier passage dans mon fondement, le lendemain au travail, je faisais la même grimace.

Stéphane : Ok ça va, j'ai bien reçu le message. Je te promets que je ferais attention à l'avenir.

Nous buvons un cocktail. Il y a beaucoup de monde donc le serveur encaisse de suite. Je me rends compte que j'ai oublié mon portefeuille à la villa et c'est mon homme qui paye. Nous buvons tranquillement. Une fois terminé, nous reprenons la route et nous arrivons chez Felipe à 20h00 comme convenu. Il nous accueille et m'embrasse sur la joue.

Felipe : Vous allez bien ?

Moi : Moi oui, mais lui il rame, il a mal au cul. Ton homme me l'a un peu esquinté.

Felipe : Il n'y a pas été de main morte avec Michel aussi. Il est au lit. Je lui ai donné des antidouleurs. Il ne sait pratiquement pas marcher mais on en reparlera après votre repas.

Stéphane : Oui mais pas trop tard, je voudrais dormir une nuit complète.

Felipe : Oui pas de souci. Aujourd'hui il n'y a pas trop de monde et j'ai assez de personnel. Je vais voir à manger avec vous.

Moi : Ce serait génial.

Felipe : A propos, je t'ai ramené vos vêtements d'hier dans un sac. J'y ai mis aussi ton portefeuille et vos bijoux que tu avais oublié. J'ai tout retrouvé en rangeant les appartements. Vous en avez mis du bordel chez Michel cette nuit.

Stéphane : Oui je sais, excuses-moi.

Felipe : Il n'y a pas de souci, mon mec n'est pas un innocent non plus.

On va vers notre table et on s'installe. La serveuse prend notre commande, nous prenons tous les deux une viande grillée. Pour moi saignante et pour mon homme, appoint. On nous amène une bouteille de vin blanc et on nous ajoute un couvert. Felipe va venir manger avec nous.

Felipe : Voilà je suis là. Mon père est en cuisine avec ta mère. Elle lui donne un coup de main et elle se débrouille pas mal, je dois dire. Je me suis arrangé, je mange avec vous mais je dois garder un oeil sur la salle.

Stéphane : Parfait. Dis donc, au fait, tu t'es permis de féconder mon homme cette nuit ! Les préservatifs, c'est fait pour quoi ?

Felipe : Euh ... Excuses-moi mais on s'est laisser aller. Je te rassure, je suis clean. Je fais le test tous les mois.

Stéphane : T'en fais pas, je te charrie.

Moi : On n'aurait pas dit à voir le regard que tu lui as lancé.

Stéphane : Tu sais mon coeur que j'aime bien rigoler.

Felipe : De toute façon ton homme était consentent. C'est vraiment un bon soumis tu sais. Il doit encore s'améliorer sur certaines choses pour être vraiment serviable à son maître mais ça viendra avec le temps.

Stéphane : Oui, il m'a dit que tu lui avais fait faire des progrès de ce côté-là.

Moi : Oui j'ai vraiment adoré être ton esclave. Je préfère être avec mon homme pour être soumis, mais j'ai pris mon pied incroyable. Toi qui te disais soumis, tu es plutôt un maître qu'un esclave.

Felipe : Je te remercie du compliment, en fait, j'aime bien les deux au final. Avant la nuit dernière, j'avais déjà dominé mais sans plus. Michel me soumettais depuis des mois donc j'avais pris le pli de rester soumis.

Stéphane : Et maintenant ?

Felipe : Eh bien, avec Michel on en a discuté un peu aujourd'hui. Il veut maintenant être plus soumis que maître donc on va inverser les rôles de temps en temps. Tu l'as brisé au niveau de son aspect de macho tu sais.

Stéphane : Oui je sais mais il a réussi à me briser moralement et à prendre le contrôle sur moi.

Felipe : Je ne trouve pas au contraire. J'ai visionné les vidéos que je vous ai gravé sur DVD. C'est avec le reste dans le sac. Je trouve que même sur la fin tu lui as résisté. Il a fallu qu'il t'assomme pour arriver à te maitriser et même là, tu n'as pas lâché la clef. C'est à ce moment-là qu'il t'a attaché, bâillonné et mis le plus grand plug de la maison dans le fion. Mais tu lui as résisté jusqu'à notre arrivée.

Stéphane : J'ai tout de même fini dans la cage.

Moi : Tu visionneras les vidéos à la maison dans notre divan, on pourra se faire une opinion ensemble.

Felipe : Oui, certainement. Mais Stéphane, tu es un grand dominateur, crois-moi. Arriver à fister Michel comme tu l'as fait, je dois reconnaître que c'est du grand art. Son cul étant vierge de la veille, tu m'as épaté.

Stéphane : Son cul est plus facile à ouvrir que celui de mon homme, il est large et moins serré.

Felipe : C'est possible oui. Stéphane j'ai une question à te poser.

Stéphane : Laquelle ?

Felipe : Lorsque vous reviendrez ici en vacances, me serait-il possible d'avoir pour une nuit Pat en domination pour voir s'il a fait des progrès avec toi ?

Stéphane : Je ne vois pas de problème si tu restes clean sinon préservatif et surtout, si mon homme est d'accord. Alors, je te le mettrais à disposition. Tu es d'accord mon amour.

Moi : Oui, je le ferais avec plaisir, je veux bien être encore dominé par lui. Et puis il faut que je lui montre mes progrès. Vous m'excusez, je vais passer à la toilette avant que nos plats arrivent.

Felipe : Je vais aller en cuisine demander qu'il attende ton retour.

Je descends aux toilettes et commence à faire pipi lorsque j'entends quelqu'un derrière moi.

Felipe : Alors comme ça tu aimerais encore être mon esclave ? Avoues que tu as aimé.

Je tends mon cul en arrière, je suis contre son entre-jambe.

Moi : Oui maître, j'ai aimé être votre esclave et je voudrais encore l'être.

Felipe : C'est bien tu apprends vite.

Il descend son pantalon ainsi que le mien et vient me plaquer son sexe contre mon fion.

Felipe : Tu la sens-là, tu sens comme tu me fais de l'effet, esclave !

Moi : Oui maître, je sens votre présence, elle me fait du bien. Mais puis-je vous faire une réflexion maître ?

Felipe : Vas-y Pat.

Moi : Voilà maître, je préfère que vous me baisiez en passant votre sexe d'abord à la pompe.

Felipe : Ok pas de souci Pat. Tu es un bon esclave qui aime la bite.

Je me retourne, je me met à genoux et le pompe pour lui montrer que je lui suis totalement soumis. Il me prend la tête et me fout son engin le plus loin possible pour moi mais ensuite se retire et me fait me relever.

Felipe : On va remonter, Stéphane va se demander ce que tu fais.

Moi : Oui Maître.

Je remonte mon pantalon et prend la direction de la sortie. Au passage de Felipe celui-ci me donne une tape sur le cul.

Felipe : Tu es vraiment un beau mec avec un très beau cul tu sais.

Moi : Merci Maître.

Et je retourne à table.

Stéphane : Tu as été long, il y avait un problème ?

Moi : Non mais les deux bières plus le cocktail et le vin, j'avais vraiment besoin. Avec ce qui s'est passé cette nuit ci, j'ai un peu mal quand j'urine.

Stéphane : Il faut vraiment que l'on se repose.

Moi : Oui.

Felipe reviens avec les assiettes et nous mangeons. Pendant le repas nous parlons de tout et de rien jusqu'au moment où Felipe reçoit un texto de Michel " Je suis retourné dans mon appartement pour dormir, j'ai mal partout et je ne veux pas te réveiller pendant la nuit avec mes gémissements de douleur. Tu as besoin de dormir aussi pour récupérer, je t'aime bonne nuit " Et Felipe lui répond " ok mon amour bonne nuit je t'aime "

Moi : Il a l'air d'avoir tout de même bien morflé.

Felipe : Oui, ils y sont allez trop fort tous les deux.

Stéphane : Oui, je pense que j'ai dépassé la limite. Il faudra que je m'excuse auprès de lui tout de même.

Ma mère arrive et nous salue. Elle regarde Stéphane.

Ma mère : Alors il paraît qu'on a passé une nuit chargée ?

Stéphane : Oui Nathalie mais jusque lundi on va se calmer sinon on sera plus fatigués qu'en arrivant.

Ma mère : Sage décision. Felipe, ton père et moi rentrons. Tu fermeras ?

Felipe : Oui Nathalie, allez-y et profitez bien de votre fin de soirée.

Ma mère s'en va et il ne reste plus que nous dans le restaurant ainsi qu'une table de deux, mais qui paye justement.

Moi : Tu nous feras la note Felipe ?

Felipe : C'est pour ta mère, tu ne dois rien.

Moi : Ah bon ? Ok. Je vais reprendre mon sac et on va rentrer.

Felipe : Attendez-moi. Je ferme avec vous, le personnel va partir, je n'ai pas envie de rentrer à pied seul jusqu'à l'appartement. Je ferais une partie à pied avec vous, ensuite je prendrais un taxi.

Moi : Non. Viens jusqu'à la villa et je te ramènerai avec la voiture.

Stéphane : Mais c'est une automatique et tu m'as dit que tu ne savais pas la conduire.

Moi : Et c'est qui, qui t'as ramené ce matin dans la voiture ? Je ne suis pas à l'aise mais je sais la conduire à ma plus grande surprise. Je préfère une boite manuelle, c'est tout.

Stéphane : Alors ok, de toute façon moi je resterais à la villa. Je vais me coucher et dormir.

Moi : Comme tu veux mon homme.

Felipe ferme, me donne le sac et nous partons direction la villa. Une fois arrivés, je vide le sac sur le divan en remettant les choses plus ou moins en ordre.

Moi : Je rangerais demain mon coeur. Embrasses-moi va te coucher. Je ramène Felipe et je rentre.

Stéphane : Ok, je monte bonne nuit.

Je prends les clefs de la voiture de location et je prends la route avec Felipe.

Felipe : Tu viendras bien prendre un dernier verre ?

Moi : Oh oui pourquoi pas, de toute façon ils dorment tous les deux. Je n'ai pas encore sommeil.

Felipe : Moi non plus, il faut dire qu'on a dormi nous.

On rigole dans la voiture. Arrivés dans l'appartement :

Felipe : Mets-toi à ton aise et prend ce que tu veux dans le frigo. Je passe vite sous la douche et mets quelque chose de plus léger que mes affaires de travail.

Moi : Ok pas de souci.

Je vais dans le frigo et me prend un verre de vin blanc. Je vais dans la salle de bain et, pour le jeu et pour rire...

Moi : Que voulez-vous boire maître ?

Felipe : Un verre de vin blanc Pat.

Je retourne dans la cuisine et veux lui servir le verre de vin mais la bouteille est vide. Je veux en ouvrir une autre mais ne trouve pas de suite le tire-bouchon. J'ai enfin fini de lui servir le verre que je le vois arriver dans la cuisine, vêtu d'un harnais en cuir et d'un chaps. Il a une bite énorme et il bande comme jamais. Je lui tends le verre de vin et nous trinquons.

Felipe : Elle te plait ? Je l'ai pompé sous la douche au maximum. Elle est plus grosse que hier.

Moi : Oui Fel ... euh, maître, elle est magnifique.

Il me tend un spray, le même que celui qu'il m'a donné.

Felipe : Alors esclave, tu sais ce qu'il te reste à faire.

Je me vaporise la gorge et je me mets à genoux pour le pomper. Elle rentre au départ difficilement mais le produit agit vite et au final je l'ai toute en bouche. Il commence à me pilonner mais je suis mal mis. Il me pousse contre les meubles de cuisine et me bloque avec les mains. Il me baise violement la gueule, j'en ai les larmes qui me coulent et je bave surtout. Au bout d'un moment il se retire et me relève.

Felipe : Fous-toi à poil et suis-moi.

Moi : Oui maître.

Je suis à poil et je le suis dans la chambre. Je vois un énorme coussin en cuir, le gros bâillon d'hier et du gel.

Moi : Maître, j'ai une question.

Felipe : Quoi ?

Moi : Est-ce que les caméras fonctionnent, maître ?

Felipe : Non, pourquoi ?

Moi : Parce que je ne veux pas que mon homme sache ce que nous allons faire ce soir maître.

Felipe : Cela restera entre nous esclave. Maintenant, montes sur le lit et couches-toi sur le coussin !

Je me couche sur le coussin, Felipe m'écarte les bras et attache mes mains à des liens cachés sous le lit. Il fait de même avec mes pieds ensuite il me bâillonne.

Felipe : Te voilà comme je le désire depuis le début de la soirée, tu vas morfler !

Il me tape les fesses avec ses mains. Pour lui montrer que je suis bien soumis, je tends ma croupe.

Felipe : C'est très bien Pat, tu as retenu mes leçons. Passons aux choses sérieuses.

Il me met du gel sur la raie et commence à rentrer sans préliminaires dans mon cul. Je hurle de douleur mais aucun son ne sort et pour cause.

Felipe : Détends-toi esclave ! Je vais te baiser de toute façon et t'éclater le cul !

Il commence à me pilonner doucement et ensuite plus hard. Il sort de mon cul et y replonge sa queue directement. Je commence à monter au septième ciel et je gémis comme une bonne petite chienne. Je me cambre au maximum pour bien la prendre toute.

Felipe : Oui, c'est ça, prend la toute. J'aime ton cul et j'aime te baiser comme une petite chienne.

Il me retire le bâillon un instant.

Felipe : Tu es une chienne, dis-le moi !

Moi : Oui maître, baisez-moi. Elle est bonne, je suis votre esclave, votre chienne, défoncez-moi, c'est trop bon.

Et il me fait taire.

Il m'a bien pilonné pendant une heure avant de jouir une quantité énorme de sperme dans mon cul. Il se couche sur moi et me souffle à l'oreille.

Felipe : Je t'aime Pat et je crois que la séparation lundi va me paraître dure.

Il me retire le bâillon.

Moi : J'aime que vous me dominiez maître, mais mon amour est pour mon homme.

Il me détache et vient se coucher à côté de moi sur le dos. Moi, en bon esclave, je lui nettoie sa queue qui est encore dure. Il a pris du viagra ce n'est pas possible autrement.

Felipe : Oui, suces-moi, c'est bon Pat.

Sa bite étant à nouveau bien dure, je remets moi-même le bâillon et vais m'empaler sur sa bite. Il me donne des coups de rein en me regardant droit dans les yeux. Je gémis et commence à me branler. Mais il me retire les mains et me donne une claque sur ma bite, ce qui me fait hurler dans le bâillon.

Felipe : Un esclave ne se touche que si son maître lui donne l'autorisation. Compris ?

Et je fais signe de la tête que oui. Il se relève et me retourne sur le dos, prend un harnais et me le passe derrière la tête. Il me relève les jambes, les attache aux extrémités de celui-ci. Il serre, ce qui fait que j'ai les jambes pratiquement à hauteur de la tête. Je suis plié en deux, mon cul bien ouvert. Il se replante en moi vigoureusement. Je ferme les yeux et m'abandonne à lui. Je peux sentir ses couilles contre mon cul à chaque mouvement. Il me branle un peu et ensuite plus fort, je ne vais pas tarder à jouir et il le voit. Il me retire ce qui me bloque la bouche.

Felipe : Jouis ! Prends ton jus en bouche et avale !

Il continue à me baiser tout en me branlant, je ne tarde pas à jouir et reçois quelques jets en bouche. Il sort sa queue de mon cul, monte sur mon visage et me la fout en bouche à fond et jouit aussi dedans. Il a encore une quantité de foutre énorme mais j'avale et lèche sa queue. Il se retire, ramasse mon sperme qui se trouve sur mon torse et me le met en bouche. Je suce ses doigts comme une vraie salope. Il me détache et je dois avouer que ça fait du bien car la position comme ça, faut avoir de la souplesse.

Felipe : C'est très bien Pat, tu t'améliores mais retiens ce que je t'ai dit. Un esclave ne touche à son sexe que si son maître le lui permet. Bon à la douche, tu l'as bien mérité, ensuite je te libère.

Moi : Merci maître.

Nous entrons dans la douche et je commence à laver Felipe, mon maître.

Felipe : C'est bien, tu as presque tout compris.

Arrivé dans son entre jambe je commence à le sucer, il apprécie il pousse un râle d'ailleurs.

Felipe : Oui c'est très bien.

Il m'attrape la tête et commence à se vider dans ma bouche. J'avale ce que je peux mais il s'arrête de pisser, me retourne contre le mur et rentre dans mon cul. Il se remet à pisser me dit à l'oreille :

Felipe : Tu vois, un bon esclave peut se faire remplir de pisse par où le maître le veux.

Moi : Oui maître.

Il termine, me retourne, me rince la bouche avec le pommeau de douche et m'embrasse.

Felipe : Retiens ma pisse dans ton cul jusqu'à ce que je te dise de le sortir !

Nous restons sous l'eau pendant un instant. Je commence à avoir mal au ventre et il le voit.

Felipe : Vas-y, mets-toi accroupi et relâche tout !

Et je me vide complètement, ça fait du bien. Une fois fini il me retourne à nouveau et me place ventre au mur, naturellement j'écarte les jambes et lui tend ma croupe.

Felipe : Tu es fin prêt pour être un pur esclave !

Et il me baise à nouveau mais plus tendrement. J'ondule mes fesses sur son membre et il vient me parler à l'oreille.

Felipe : C'est qui ton maître ?

Moi : Vous maître.

Felipe : Tu aimes être dominé par moi ?

Moi : Oui maître.

Felipe : Tu aimes me donner ton corps ?

Moi : Oui maître, il est à vous. Faites-en ce que vous voulez.

Il me donne un coup de rein énorme et hurle sa jouissance dans mon cul et moi je hurle de bonheur. Je jouis sans même me toucher.

Felipe : Voilà je te libère maintenant. Je t'ai fécondé autant que j'ai pu. Je veux que tu rêves de moi, je veux que tu rêves de ton maître et que tu te branles en pensant à lui. Mais quand tu reviendras la prochaine fois, ton cul sera à moi, ton maître, pour tout le séjour.

Moi : Oui maître, je serai à vous.

Felipe me tend un drap de bain, je reprends mes vêtements que j'enfile rapidement et nous nous embrassons. Je reprends la voiture direction la villa avec un certain regret mais j'ai aussi envie de retrouver mon homme, il me manque. J'aime être avec Felipe pour le côté plan cul domination, mais le corps de mon homme me manque et j'ai envie qu'il me serre dans ses bras. Je rentre et vais me coucher auprès de mon amour. Il dort et je me blotti contre lui pour dormir.