Domination par Stéphane mon futur mari

Chapitre 14

Jour 4 Michel deuxième séance et nuit torride avec Felipe

Jeudi, il est un peu plus de midi que nous commençons à nous éveiller. Il faut dire qu'il n'était pas loin de six heures du matin quand on s'est endormi. J'ai toujours ma queue dans le cul de mon homme avec l'érection du matin que tout homme a. Je me retire de son cul pour aller pisser, lui dort toujours. Je me rince ensuite à l'évier, met un short et un t-shirt. Je descends faire du café et vais chercher du pain à la boulangerie du coin. Sur le chemin, je m'arrête à la pharmacie et prends, sous le regard interrogateur du pharmacien, deux boites de capotes, une normale pour moi et une XL pour mon homme " Ben quoi ? On est à Gran Canaria, l'île est réputée pour le sexe gay qui plus est ". Je rentre et je constate que mon homme dort toujours. Je bois mon café et me mets à poil sur un transat pour prendre le soleil. Ma peau est déjà bronzée donc pas de crème. Je m'apprête à prendre ma tablette pour me connecter au boulot lorsque mon portable sonne. Tiens, mon courtier en assurances.

Moi : Allô ?

Mon Courtier : Bonjour Pat c'est Ivan, je ne te dérange pas ?

Moi : Je suis à l'étranger mais tu ne me dérange pas. Que puis-je pour toi ?

Ivan : Je fais vite alors. Je viens de recevoir un Fax de chez BMW, tu as commandé une nouvelle voiture ?

Moi : Euh oui, enfin, mon mec m'a commandé une nouvelle voiture.

Yvan : Ah ok, il m'envoie une demande d'immatriculation pour une plaque personnalisée Pat-01 est ce correct ?

Moi : Oui je suppose, c'est mon mec qui s'en occupe, je le laisse faire.

Yvan : Ok alors, je fais le nécessaire, je suppose que je t'assure en omnium complète.

Moi : Oui, tu peux, mais je ne sais pas quand la voiture arrivera. En principe un peu moins de deux mois.

Yvan : Eh bien, je te l'annonce. Apparemment, elle est arrivée.

Moi : Ah bon ? Pas au courant. Mais je vais me renseigner, pour le reste je te laisse faire. Ok ?

Yvan : Ok, je dépose les plaques au plus tard lundi chez le concessionnaire. A plus.

Moi : A plus.

J'entends du bruit et je vois du coin de l'oeil mon homme dans la cuisine. Il est tout nu et apparemment il a dur à émerger. Je me lève et vais voir ce qu'il fabrique.

Moi : Ah enfin tu émerges.

Stéphane : Oui. Quelle nuit ! Qu'est-ce que tu m'as mis comme coup de rein pendant la nuit, j'en ai mal au cul. C'était bon, tu m'as défoncé tout en dormant.

Moi : Je rêvais de toi c'est pour cela. Mais c'est aussi de ta faute avec tous tes petits produits " qui fonctionnent très bien d'ailleurs ". Tu veux un café ?

Stéphane : Oui, mais on sont mes vêtements d'hier ?

Moi : repliés avec le linge sale dans les valises pourquoi ? Tiens ton café.

Stéphane : Ma boite avec les produits est dedans.

Moi : Non, elle est là, sur la table avec des préservatifs pour ce soir.

Stéphane : Tu es un homme parfait.

A ce moment-là, ma mère et Miguel entrent dans la villa et nous sommes nus tous les deux. Je ne sais où me mettre.

Ma mère : Bonjour les enfants, toujours à poil à cette heure de l'après-midi ?

Moi : Oui. Stéphane veux que je fasse de l'intégral. Mais tu aurais pu sonner à la porte avant d'entrer tu ne crois pas ? On aurait pu se couvrir.

Ma mère : Tu sais, Miguel et moi avons déjà vu nos enfants respectifs à poil, ça ne nous gêne pas.

Stéphane : Moi ça ne me dérange pas que ta mère me voit nu.

Moi : Bon ben si tout le monde est contre moi, je m'incline mais c'est gênant.

Ma mère : Je reviens reprendre quelques affaires et nous partons car Miguel est seul aujourd'hui avec les serveuses, je vais lui donner un coup de main. Felipe a demandé congé, apparemment votre soirée et votre nuit ont étés agitées.

Stéphane : Disons que nous avons remis son mec à sa véritable place et que la nuit a été assez longue oui. Mais pour Felipe, c'est de ma faute, je vous fais mes excuses.

Miguel : Pas de soucis, il n'est jamais absent en règle générale. Ce n'est pas pour une fois.

Moi : Un vrai con, le mec de Felipe.

Miguel : Je ne te le fais pas dire, je ne le supporte pas. S'il pouvait en trouver un autre, ça m'arrangerait.

Stéphane : Miguel, croyez-moi ou pas mais je peux vous garantir que Michel aura changé avant notre départ Lundi.

Ma mère : Miguel, tu peux faire confiance à Stéphane. Regardes ce qu'il est arrivé à faire avec mon fils en une semaine seulement. Et il y avait du boulot crois-moi.

Moi : Maman, tu ne vas pas en remettre une couche !

Stéphane : Laisse, elle a raison.

Ma mère va reprendre ses affaires et ils nous quittent.

Moi : A propos, je change de sujet, mon courtier en assurance m'a téléphoné il y a une heure. Ma nouvelle voiture est déjà arrivée.

Stéphane : Non, ce n'est pas possible.

Moi : Faut croire que si car le garage a demandé à mon courtier de faire une demande d'immatriculation Pat-01. Il ira déposer les nouvelles plaques au plus tard lundi au garage.

Stéphane : Ce n'est pas normal. Je téléphone tout de suite, mais avant je passe sous la douche et je viens te rejoindre sous le soleil. On ne bouge pas avant ce soir, nous avons besoin de reprendre des forces.

Moi : Oui, d'ailleurs je ne serais pas contre un peu de ton produit pour faire bander plus longtemps ce soir.

Stéphane : Ah bon ?

Moi : Oui, j'en aurai besoin avec Felipe et toi, avec ton esclave.

Stéphane : Oui effectivement, on en aura besoin. Bon je vais me doucher.

Je retourne sur mon transat, reprend ma tablette, et me connecte au bureau. J'ai trois emails de clients pour des prises de rendez-vous. Je leur réponds en fonction de mon agenda et envoie un email à mon patron pour le suivi des rendez-vous. Je le fais à chaque fois. Je fais le relever de mes emails personnels et je replie la tablette. Je me repose au soleil. J'entends Stéphane s'installer dans le transat.

Stéphane : J'ai toujours mal au cul, je me suis mis un peu de pommade. Tu as raison, j'ai eu mon magasinier au téléphone et ta voiture est bien arrivée. Comme c'était une boite manuelle, elle était de stock chez l'importateur. On ira la chercher mardi ensemble et tu rentreras la tienne en même temps. Ça te va mon coeur ?

Moi : Oui on fera comme ça, de toute façon je ne recommence à travailler que mercredi et toi ?

Stéphane : En principe le lundi suivant, mais je recommencerai mercredi aussi. Mon magasinier m'a fait comprendre que comme je n'étais pas là, c'était le bordel au garage et que le patron se comportait comme un tyran. Le personnel préfère travailler avec moi. Il est vrai que mon patron me fait toute confiance et comme je ne suis pas là, Il reprend mon travail. Je les plains, les pauvres.

Moi : Oui. Moi de mon côté, mon boss me fout la paix et ne répond pas à mes emails. C'est curieux car en règle générale, il me téléphone une fois ou deux durant mon séjour ici.

Stéphane : Ne te tracasses pas, pas de nouvelles bonnes nouvelles, profitons du moment. Tu as prévu quelque chose pour manger ?

Moi : Oui, une salade avec les restes de viandes d'avant-hier qui sont au frigo.

Stéphane : Ah ok très bien. Tu ne veux rien boire ?

Moi : Oh si tiens, une bière.

Stéphane va nous chercher deux bières et revient.

Stéphane : On n'est pas bien là ?

Moi : Oh que si !

Nous nous reposons. Il fait chaud. Au bout d'un moment je vais me rafraichir dans la piscine et ensuite me remets sur le transat. Mon homme dort à poings fermés et ronfle. Il ne pourra pas dire que c'est moi. Mais je le laisse dormir. Il est 17H30 et le soleil commence à tomber, je réveille Stéphane en douceur. Il décide de piquer une tête dans la piscine pour se revigorer un peu. Sur ce temps je prépare la salade et mets la table sur la terrasse. Je nous sers une coupe de cava et nous passons à table. Nous devons être chez Felipe pour 19H30. Mon homme voulant savoir si Michel a changé ou si Felipe a morflé, auquel cas il y aurait une nouvelle séance de domination pour Michel mais sans le droguer et ça pourrait faire très mal. Une fois le repas terminé, nous débarrassons ensemble et passons sous la douche. Pour ma part, j'opte pour une tenue légère mais sexy avec un boxer moulant. Ma boucle d'oreille et rien d'autre. Mon homme, lui, met un Jockstrap en cuir que je n'avais jamais vu et un chaps, un harnais et la même veste en cuir que hier. Il me tend un de ses deux bracelets en cuir et porte l'autre.

Stéphane : Chacun le sien, bon je vais nous faire couler nos vitamines.

Dans la cuisine je le vois remplir deux verres d'eau et prendre une fiole. Il fait tomber 4 gouttes pour lui et me regarde.

Stéphane : Pour toi je vais en mettre deux car hier avec une, tu as bandé deux fois plus que la normale. Tiens, bois !

Nous voici partis en voiture juste chez Felipe. Arrivés sur place, il nous attend sur le pas de la porte.

Moi : Bonsoir Felipe, tu vas bien ? Tu as récupéré ?

Felipe : Bonsoir. Oui, j'ai récupéré et je vous attendais.

Stéphane : Et Michel ?

Felipe : Oui ça va. Il a récupéré aussi mais il a mal au cul. Il t'attend.

Stéphane : Et au niveau de son comportement ?

Felipe : Et bien, ce midi lorsqu'il s'est réveillé, il m'a fait l'amour tendrement en me disant qu'il m'aimait et qu'il ne m'humilierait plus en public. Il ne me dominerait que si je lui demandais. Il m'a fait la promesse que je pourrais aussi lui faire l'amour quand je le voudrais et que je pouvais le dominer quand je le voudrais. Mais montons à l'appartement, vous êtes en avance et je pense qu'il n'est pas encore prêt à te recevoir Stéphane.

Stéphane : Ça veut dire que la nuit a été profitable et qu'il a aimé, s'il se prépare pour moi. Je n'aurais pas cru à un changement aussi radical en une fois. Je m'attendais à devoir lui faire subir une autre séance à ma manière.

Felipe : Non, il a compris et je pense même que tu lui as cassé son mental de dominateur. En plus, il est excité depuis tout à l'heure dans l'attente de la soirée.

Moi : Ah bon ?

Nous montons dans l'appartement de Felipe, je m'installe dans le salon. Je vois que Felipe a pris du matériel de chez Michel pour nous ce soir. Il y a une bouteille de Cava dans un seau à glace.

Stéphane : Je vois que tu t'es préparé pour ce soir Felipe.

Felipe : Et bien tu profites de mon homme et je profite du tiens, normal.

Stéphane : Normal.

Felipe : Je vous ai préparé une bouteille pour vous aussi à coté.

Stéphane : Très bien, bon il est 20h00. Pat suis moi ! On va voir comment il est.

Je suis mon homme et il frappe à la porte, Michel ouvre.

Michel : Bonsoir maître.

Stéphane : Bonsoir Michel, alors prêt à me servir ?

Michel : Oui maître, je ferais tout ce que vous voulez.

Stéphane : Très bien et si tu es bien obéissant, tu pourras même profiter de moi. Ce sera ta récompense.

Michel est presque nu. Il porte juste un harnais et un collier autour du coup avec une laisse. Deux bracelets aux poignets et aux chevilles. Il porte également un Jockstrap. Il a les yeux baissés comme un bon soumis, il ne peut regarder son maître que si celui-ci lui en donne l'autorisation. J'ai à peine le temps de le voir que Felipe m'attrape par le bras et m'emmène avec force dans son appartement.

Felipe : Tu as ton esclave Stéphane et moi le mien. Bonne nuit. Moi je garde mon esclave pour la nuit.

Stéphane : Très bien pour la nuit mais ne me l'abîme pas.

Felipe : Sois sans crainte, je l'aime trop pour ça.

Felipe referme la porte de son appartement.

Felipe : Maintenant tu es à moi ! Mets-toi à ton aise, je vais me changer et j'arrive. Sers nous une coupe de Cava.

Felipe va dans la chambre et en reviens en chaps cuir et un harnais, je nous ai servi deux coupes et lui en donne une.

Moi : J'aimerais bien savoir ce qu'ils font ensemble.

Felipe : T'inquiètes. Il y a des caméras au plafond et elles filment. Je te donnerai les DVD demain. Viens, regardes mon matos pour les filmer.

Il ouvre une armoire où il y a un ordinateur avec un écran qu'il allume. Je vois mon homme occupé à boire sa coupe avec Michel à ses pieds. Celui-ci lèche ses chaussures. Felipe éteint l'écran.

Felipe : Bon, ton homme s'occupe du mien et moi je vais m'occuper de toi. Déshabilles toi et mets ça, c'est ta taille !

Et il me tend un Jockstrap en cuir, un collier en cuir ainsi qu'un chaps.

Moi : Que veux-tu de moi Felipe ?

Felipe : J'ai envie de te dominer et de profiter de ton corps.

Moi : Ok, ordonnes et j'obéirai.

Felipe s'installe dans son divan les jambes écartées.

Felipe : Viens à genoux devant moi ! Lèches mon cuir !

Je me mets à genoux et m'exécute. Je lèche son cuir jusqu'à remonter à sa queue qui est, pour le rappel, plus petite mais plus large que celle de mon homme. Je bande dans mon Jockstrap. Le produit commence à agir. Moi qui croyais baiser Felipe, c'est moi qui vais passer à la casserole. Heureusement, j'ai gardé des préservatifs XL avec moi. Je n'ai pas tout laissé à Stéphane. Je commence à titiller sa queue avec ma langue ce qui le fait réagir directement.

Felipe : Je ne t'ai pas donné l'autorisation de me sucer !

Moi : Ok Felipe.

Et je reçois un coup de cravache sur les fesses. Ce qui me fait crier.

Felipe : Comment m'as-tu appelé, esclave ?

Moi : Je voulais dire maître.

Felipe : C'est mieux ! Continues à lécher et occupes-toi de mes pieds aussi !

Je m'exécute lui léchant les doigts de pieds un par un.

Felipe : C'est bien, ressers nous un verre et viens prêt de moi !

Je nous ressers et nous buvons ensemble. Je pose mon verre sur la table basse et lui aussi. Il vient m'embrasser comme un fou. Il me fait un vrai lavage de bouche avec sa langue. Ensuite il appuie sur ma tête pour que je me penche sur sa queue.

Felipe : Maintenant suces ! Fais-moi bander ! Ce soir, je veux jouir plusieurs fois avec toi. J'ai pris un cachet de viagra. Ton cul va en prendre toute la nuit.

Je me relève et le regarde droit dans les yeux pour voir s'il me ment ou pas. Non, il ne me ment pas mais je reçois de nouveau un coup de cravache.

Felipe : Je ne t'ai pas dit de t'arrêter. Faut croire que ton homme a mieux su dresser le mien que toi !

Et vlan il me frappe les fesses avec sa main. Il me frappe plusieurs fois, je gémis de douleur, mais le suce avidement. Il me relève et me flanque le dos sur la table de la salle à manger et m'attache les mains à celle-ci. Il me met un bâillon et me bande les yeux. Ensuite je sens qu'il me met quelque chose aux chevilles et me lève les jambes. Mon cul lui est totalement offert. Il m'enlève le Jockstrap et constate que je bande comme un taureau.

Felipe : A ce que je vois tu bandes bien aussi. Je m'occuperais de ça tout à l'heure.

Je sens un liquide sur mes fesses et ensuite un doigt qui me fouille le cul, un deuxième et ensuite un troisième ce qui me fait gémir. Il sait y faire le salaud. Ensuite je sens quelque chose qui entre dans mon cul. Un petit gode, il me lime avec, je suis aux anges. Il le voit qui change de gode pour un plus gros. Il me fait mal au début mais une fois détendu ça va mieux. Il sort le gode et me rentre un plug assez large qui me fait crier dans le bâillon. Il le plante à fond, je peux sentir la corole de celui-ci contre mon anus. Je l'entend faire le tour de la table et me tirer sur le rebord de celle-ci, il m'enlève le bâillon et me plante son sexe en bouche.

Felipe : Ta bouche est bonne Pat, suces moi, prend là à fond.

Il me pilonne la bouche, j'ai l'impression qu'il va me déboiter la mâchoire. Il me caresse les seins et me pince les tétons ce qui provoque des spasmes et me fait bander plus fort. Felipe se retire de ma bouche et monte sur la table. Il positionne son cul devant ma bouche mais comme j'ai les yeux bandés je ne vois rien. Il prend ma tête et me la fourre contre son cul.

Felipe : Lèches mon cul, salives bien.

Je lui fais une feuille de rose et rentre ma langue le plus profond que je peux dans son cul. Cela dure un temps certain. J'en ai mal à la nuque, mais je m'efforce de lui donner du plaisir. D'ailleurs il pousse des râles de plaisir. Il bouge sur la table et je sens mes jambes redescendre un rien et le plug bouger un peu plus dans mon cul. Felipe m'enfile une capote et vient s'assoir sur mon sexe bien dur. Il commence à se baiser dessus.

Felipe : Putain ta queue est bonne Pat.

Il me retire le bandeau des yeux et je peux le voir se défoncer par ma queue. Je donne des coups de rein pour augmenter le rythme et il a l'air d'aimer. Il se penche tout en se baisant tout seul sur moi et m'embrasse fougueusement.

Moi : Elle est bonne ma queue hein Felipe.

Et boum une gifle.

Felipe : Comment m'as-tu appelé salope ?

Il descend de la table, me remet le bâillon ainsi que le bandeau, il me remonte les jambes et je reçois une dizaine de coup de cravache sur le cul. Je hurle de douleur et je pleure tellement j'ai mal.

Felipe : Un esclave pas obéissant, ça se punit !

Il est en général soumis mais comme dominateur il fait vraiment l'affaire aussi. Il apprend vite. Il me retire le plug d'un coup sec, ce qui me fait me crisper et cambrer mon cul, tout en hurlant toujours dans le bâillon. Je l'entends mettre une capote et il entre dans mon cul doucement mais sûrement. J'ai toujours les larmes qui me coulent sur le visage mais je ne hurle plus. Un peu comme quand mon homme m'a fisté. Je m'abandonne totalement au niveau cérébral, je suis vaincu. Il me pilonne dans cette position pendant au moins 20 minutes avant de me détacher, m'enlever le bâillon et le bandeau. Il me retourne et me penche en avant, le ventre sur la table. Avec ses pieds, il écarte mes jambes et se replante en moi et me pilonne tout en me frappant les fesses et en me grattant le dos.

Felipe : Tu aimes Pat ?

Moi : Oui maître. Baisez-moi, défoncez ma petite chatte. Elle est à vous pour la nuit.

Felipe : Tu es une bonne petite soumise maintenant et, ... Ahhhh, je viens.

Et il jouit dans la capote.

Felipe : Bonne petite chienne.

Il se retire, me relève et me retourne pour m'embrasser. Ensuite, il appuie sur mes épaules pour me mettre à genoux.

Felipe : Retires moi la capote et nettoie ma queue.

Je retire la capote et la dépose à terre, elle est bien remplie. Je le suce un peu car il bande toujours. Il me relève et m'attire vers le divan, se penche en avant et me tend son cul.

Felipe : Vas-y, voici ta récompense, prends ton maître d'une nuit et défonces-le !

Je ne fais ni une ni deux, je m'enfonce dans son cul, ma queue toujours capotée et je le défonce pendant un bon moment avant de jouir un bon coup. Je me retire et il s'assoit dans le divan. Je récupère mon souffle et retire la capote. Je bande toujours aussi.

Felipe : Donnes-nous un autre verre esclave !

Moi : Oui maître.

Comme on s'est un peu calmés on peut entendre du bruit dans l'appartement de Michel. On l'entend crier à son maître de le défoncer et de déchirer sa petite chatte. Felipe et moi on se regarde et on éclate de rire.

Felipe : Bon, Pat, viens près de moi, on fait une pause dans notre jeu. Viens et trinquons ensemble, tu es vraiment un bon coup.

Moi : Mais toi aussi Felipe, je ne te savais pas si dominateur.

Felipe : Eh bien, Michel m'a appris en me faisant la même chose que ce que je viens de te faire. Même d'autres que je te montrerais après la pause. De toute façon on a toute la nuit.

Moi : Moi qui était venu à Gran Canaria pour me reposer, je vais finir par rentrer plus crevé qu'avant de venir.

Et on éclate de rire, il me prend dans ses bras et nous-nous embrassons longuement. Nous restons comme ça pendant un long moment. Il me caresse, m'embrasse, touche ma queue et moi la sienne.

Felipe : Bon. La pause est terminée, viens avec moi !

Je le suis. Il me met une paire de menottes, les bras dans le dos, nous allons dans la salle de bain et il me fait mettre dans la baignoire, face à lui.

Felipe : Suces !

Je lui fais une fellation mais trente secondes plus tard, je sens un liquide chaud dans ma gorge. Il me pisse dessus ! Je recrache son sexe.

Felipe : Bois ! Un esclave bois la pisse de son maître.

Je suis dégouté et essaye d'échapper au jet mais je me prends une gifle.

Felipe : Ouvres la bouche sinon tu seras puni. Tu veux être puni ?

J'ouvre la bouche et reçois sa pisse. Elle n'est pas très colorée et n'a pas un mauvais goût. Je commence à m'y faire. Je m'approche même de son sexe pour téter directement à la source.

Felipe : Tu es vraiment une bonne chienne. Tu as de la chance, comme je savais que j'allais te le faire, j'ai bu beaucoup d'eau avant. Crois-moi, Michel lorsqu'il me fait ça, il ne boit pas d'eau et c'est moins digeste.

Moi : Merci maître.

Felipe : Et tu as encore de la chance, il a voulu me faire bouffer sa merde mais j'ai refusé. J'ai préféré les coups de fouet.

Moi : Merci maître.

Felipe fait couler l'eau et me rince de la pisse que j'ai reçue sur moi. Il me détache, me fait enlever le chaps et le mets sécher sur un fil. Je n'ai plus que sur moi le collier. Il me lance un drap.

Felipe : Sèches-toi !

Il s'absente deux minutes et revient avec une laisse.

Felipe : Mets-toi à quatre pattes, une chienne ça marche à quatre pattes avec une laisse.

Et me voilà à quatre pattes avec la laisse. Il me balade dans l'appartement, je dois avouer que je trouve la situation excitante. On finit par aller dans sa chambre où il m'attache aux quatre coins du lit. Il me met deux cousins sous le ventre afin que mon cul lui soit bien présenté. Il commence à me lécher le cul et lorsqu'il se trouve près de mon anus, j'ai un frisson et mon anus se resserre naturellement.

Felipe : Ah ! On n'est sensible à ce niveau-là.

Moi : Oui maître.

Et il me donne de petites tapes sur l'anus ce qui me fait sursauter et gémir à chaque fois. Il introduit à nouveau un doigt et puis deux ensemble. Ensuite, il prend du gel et me badigeonne le cul. Je comprends qu'il veut me fister.

Moi : Non Felipe pas ça. Mon cul n'est pas prêt pour ça je t'en supplie.

Et vlan je reçois deux fessées magistrales sur le cul, je pleure à nouveau et me débat dans le lit mais je suis coincé.

Felipe : Tu es mon esclave et je fais de toi ce que je veux !

Moi : Je t'en supplie, pas ça.

Et vlan de nouveau deux fessées.

Moi : Maître, arrêtez, s'il vous plait.

Felipe : C'est mieux mais détend toi, je sais y faire, je vais y aller doucement et tu vas ouvrir ta petite chatte à ma main.

Moi : Allez-y doucement, s'il vous plait, maître.

Il recommence. Deux doigts et puis trois, ensuite quatre. Je pleure mais curieusement je n'ai pas mal. L'air de rien, il sait y faire et je sens tout doucement sa main s'enfoncer en moi et enfin elle rentre. Je n'ai pas mal et je gémis. Je prends mon pieds plus qu'avec mon homme. Il retire sa main en douceur et recommence. Il va de plus en plus loin, j'ai le cul complètement ouvert et lui, a pratiquement son avant-bras dans mes entrailles. C'est bon au point que moi-même je l'encourage.

Moi : Allez y maître, c'est bon, je la sens bien votre main. Jouez avec mon cul, hummmm

Felipe : Tu es beaucoup plus salope que je ne croyais.

Moi : C'est parce que vous savez y faire, maître.

Il continue mais me fait tourner la tête sur le côté. Il se couche de façon à me mettre sa bite dans ma bouche tout en ayant ses mains dans mon cul.

Felipe : Suces et bois mon jus !

Tout en me fistant, je le suce mais j'ai un orgasme et jouis sur le cousin tandis que lui me fourre son foutre au fond de ma gorge.

Felipe : C'est très bien Pat, tu es un bon esclave. Reposes toi un peu, je reviens !

Il sort de la chambre quelques instants et reviens avec un drap et un tube de crème. Il m'essuie le cul qui est plein de gel et me mets un peu de crème sur ma rondelle. Il me masse ce qui me fait gémir.

Felipe : Avec ça, tu n'auras pas mal et ta rondelle va se refermer rapidement ce soir. Tu vas avoir un peu chaud au cul pendant un petit moment mais ça passera vite.

Moi : Merci maître.

Il me détache du lit et me relève pour essuyer mon sperme qui est sur le lit. Heureusement il avait mis un sur-drap sur son lit pour ne pas le salir.

Moi : Maître, puis-je me rendre aux toilettes, j'ai un besoin pressant.

Felipe : Oui Pat, on fait une pause.

Moi : Merci Felipe.

Je vais à la toilette et je pisse pendant un long moment. On dirait que j'ai bu des litres d'eau tellement ça dure. Felipe viens même voir ce que je fiche. Il faut dire qu'avec le produit de mon homme pour bander je suis toujours en semi érection et ce n'est pas facile de faire pipi dans ces conditions. Bref, une fois terminé, je vais dans le salon mais ne vois pas Felipe. En fait, il est dans la cuisine et me donne un verre d'eau ce qui me fait du bien. On entend toujours du bruit de l'appart d'à côté, mon homme est toujours en action. On se regarde et on rigole.

Moi : Je serais curieux de voir ce qu'ils font pour le moment.

Felipe : Attends, comme on est en pause, j'allume un peu l'écran d'ordinateur.

Il allume et je vois sur une des caméras mon homme en action, Felipe agrandi l'image et je vois Michel attaché, ventre au mur avec une cagoule à laquelle est fixée une corde que mon homme tire vers lui pour lui tenir la tête en arrière. Il tringle Michel à fond. On peut voir le corps de Michel être secoué dans tous les sens. La cagoule est bien faite, il ne peut que respirer et ne vois rien car les yeux sont masqués. Je trouve ça génial et je bande de nouveau. Je prends mon portable et je lui envoie un texto

Moi : " Je te matte et j'aimerais être à la place de Michel, tu me fais bander grave "

Stéphane se stoppe quand il reçoit le texto. Il plante Michel au mur pour le lire et il me répond.

Stéphane : " Je sais que vous pouvez nous mater. J'ai vu les nombreuses caméras au plafond et tu auras droit à ce genre de choses à la maison dans notre pièce de jeux. Je t'aime. Tu prends ton pied avec Felipe ? "

Moi : " Je t'aime aussi, oui c'est le pied, il me domine comme un véritable maître. A croire qu'il a fait ça toute sa vie, il ne devrait pas être passif "

Stéphane : " Bon j'y retourne je n'en n'ai pas fini avec Michel "

Je montre les texto à Felipe qui les regardes.

Felipe : Bon effectivement la pause est terminée.

Moi : Oui maître.

Felipe me prend et m'installe le ventre plié sur la table. Il m'attache de nouveau, bâillon et bandeau sur les yeux. Il me donne une claque sur les fesses.

Felipe : Restes là ! Je reviens dans un instant. Relaxes toi tu vas en avoir besoin. A suivre ...

Qu'est qu'il va encore m'infliger ? Il est un pervers avec moi, Stéphane n'a encore jamais été aussi vicieux. Il quitte la pièce et je reste dans cette position plutôt inconfortable pendant un bon moment. Je m'assoupi même. Il faut dire qu'il m'a fait crever depuis le début de soirée. Je suis un peu fatigué. Je suis réveillé par une claque sur les fesses et je sens quelqu'un venir se coucher sur moi.

Stéphane : Alors mon homme, il paraît que tu aimes te faire dominer par Felipe et qu'il t'a bien ouvert ? Voyons voir.

Et il rentre dans mon cul facilement et me donne quelque coup de rein, je gémis de plaisir.

Stéphane : Effectivement il t'a bien ouvert.

Mon homme me retire le bâillon et le bandeau et je peux enfin le voir et lui parler.

Moi : Mon amour, que fais-tu là ?

Stéphane me détache, me prend dans ses bras et m'embrasse.

Stéphane : Et bien Felipe est venu chez nous pour mater son homme se faire sodomiser tout en me racontant comment il t'avait dominé jusqu'ici. Il m'a dit qu'il t'avait fisté et que tu avais pris pratiquement tout son avant-bras. Il paraît que tu aimes et que tu es bien salope avec lui.

Moi : Oui j'aime. Je trouve qu'il s'y prend très bien avec moi. Il n'est pas fait pour être soumis mais dominateur. Il s'ignore, ce n'est pas possible autrement. Il m'a fait faire des trucs que je n'oserais jamais faire un peu comme toi.

Stéphane : Quel genre de choses ?

Moi : Et bien le fiste. Il y est parvenu, quoique ses mains soient beaucoup plus petites que les tiennes. Il m'a faire boire sa pisse dans la baignoire. Il m'a fait faire une feuille de rose alors que j'étais attaché. Au départ comme c'est un copain, j'ai voulu l'appeler par son prénom. Il m'a fouetté. Sur la table, il s'est empaler sur ma queue et je lui ai demandé si ça lui plaisait sans l'appeler maître. Il m'a fouetté avec cette cravache pendant 20 minutes. J'en pleurais. Il a réussi à m'assouvir et il est arrivé à ce que je m'abandonne à lui.

Stéphane : Je vais finir par croire que tu préfères baiser avec lui.

Moi : Non, je préfère avec toi. Lui, c'est autre chose. Par contre, ils m'ont scotché tous les deux avec leur système de caméras surveillance. A mon avis, ils se filment pendant leurs ébats sexuels. Regardes !

Je lui montre l'armoire et allume l'écran. On voit Felipe en train de sodomiser son mec sur le sling.

Moi : Il a une queue plus petite que la mienne, mais plus large que la tienne et heureusement pour moi car je pense qu'il m'aurait déchiré.

Stéphane : Il te donnera une copie de la vidéo, qu'il m'a dit.

Moi : Oui.

Stéphane : Michel me donnera une copie d'ici aussi.

Moi : Quoi ?

Stéphane : Regardes le plafond, tu comprendras.

Je regarde et je vois les caméras dans la cuisine et le salon. Je vais voir dans la salle de bains, aussi une caméra et une dans la chambre. Je n'avais rien remarqué !

Stéphane : On les regardera ensemble à la maison. Il parait que tu as aimé me voir tringler Michel contre le mur.

Moi : Oui, j'aurais aimé être à sa place.

Stéphane : Alors vient, c'est à ton tour.

Il m'emmène à coté et me place contre le fameux mur mais dos à lui, il appuie sur mes épaules pour me faire mettre à genoux devant son sexe.

Stéphane : Rends lui de la vigueur si tu veux bien en profiter !

Il m'attrape la tête et me fait bouffer son engin. Je m'applique tellement j'ai envie d'elle. Elle reprend de la vigueur en un instant. Il me fait me lever, me retourne et m'installe la cagoule et la sangle assez fort ce qui fait que j'ai dur à respirer. Il m'attache au mur et m'encule direct et sans ménagement. Je hurle de plaisir dans la cagoule. Je me sens bien et j'aime comme il me baise. C'est hard et j'adore. Je suis collé au mur et à chaque coup de butoir, il me tire vers lui pour me repousser contre le mur. De temps en temps, il me frappe les fesses.

Stéphane : Alors tu aimes que je te prenne comme ça hein petite chienne. Tu aimes être dominé par moi et Felipe. Quand on reviendra on se fera un plus à quatre. Prends bien ma bite dans ton petit cul !

Moi : Ahhhh hummmmm

Stéphane m'a baisé comme ça pendant au moins une heure " j'exagère mais ça m'a semblé long et bon " tirant sur la laisse pour bien me soumettre. Avant de décharger dans mon cul, il était à peine sorti qu'une autre queue capotée rentrait dedans. C'était Michel il m'a baisé pendant 10 minutes. Sa queue est longue et fine. Sur ce temps, je pouvais entendre Felipe et Stéphane ensemble mais je ne savais pas qui baisait qui.

Michel : Tu vois que je t'avais dit que je te baiserais ! Prends mon jus !

Et il jouit dans la capote. Il reste dans mon cul quelques instants avant de me détacher et de m'enlever la cagoule. Je me retourne et je vois mon homme attaché sur le sling et Felipe qui le baise

Felipe : Pat ?

Moi : Oui maître ?

Felipe : Viens me lécher le cul sur le temps que je baise ton homme !

Je me mets à genoux et m'exécute. Il pousse un râle lorsque ma langue touche son anus.

Felipe : Oui Pat, c'est bon, t'arrêtes pas !

Moi : Oui maître.

De son côté, Michel s'approche du visage de mon homme et le tire en arrière. Stéphane le regarde dans les yeux.

Stéphane : Donnes-moi ta queue à sucer. Ce sera ta récompense, esclave.

Michel lui plante son sexe en bouche, mon homme le suce mais peu de temps après, Michel attrape la tête de Stéphane et la bloque, s'enfonce dans sa bouche et lui pisse dedans.

Michel : Avales tout, salope ! Je suis peut être ton esclave, mais pour le moment tu es notre salope et tu ne peux pas bouger !

Stéphane se débat et recrache ce qu'il peut. Heureusement qu'à terre, c'est du carrelage et non du tapis !

Michel : Bois, c'est uniquement pour toi !

Mon homme est obligé de boire mais se décontracte par les coups de rein que lui donne Felipe.

Felipe : Heureusement que je l'ai obligé à boire beaucoup d'eau aujourd'hui. Je me doutais qu'il te ferait le coup Stéphane

Michel se retire de mon homme et lui fout une gifle.

Michel : Tu vois que tu peux être docile aussi !

Stéphane : Je t'interdis de me tutoyer, n'oublies pas qui est ton maître ou tu seras puni comme tout à l'heure.

Michel : Oui maître.

Felipe : Tu as aimé ce qu'il t'a fait, Stéphane ?

Stéphane : Je dois avouer que ce n'est pas mauvais mais ce n'est pas mon truc. Pour changer de sujet, tu sais baiser un cul toi ! Tu me fais du bien. Mais gardes ton jus pour ton esclave.

Sur ce temps, Michel est allé dans la cuisine et se badigeonne la queue d'un gel et il rebande à nouveau.

Michel : Felipe, si tu t'occupais de ton esclave et moi de mon maître. J'ai été sage et je voudrais ma récompense.

Je le vois enfiler une capote, Felipe se retire de mon homme en me renversant au passage car j'étais toujours à genoux, le nez dans son cul. Michel arrive.

Stéphane : Ok esclave, tu as droit à ta récompense, baises-moi. Ensuite je t'offrirais mon jus en dessert.

Michel entre dans son cul sans ménagement ce qui fait crier mon homme.

Michel : Attends, tu vas faire moins bruit avec ça, ta bouche sera complètement remplie.

Je vois Michel prendre un bâillon avec un énorme gode dedans et l'enfiler de force dans la bouche de mon homme qui se débat. Je peux voir une larme à son oeil.

Felipe : Viens Pat on retourne chez moi, je n'en n'ai pas fini avec toi.

Au passage, il prend un Humler et un tube de gel ainsi qu'une pompe à queue. Arrivés chez lui il me désigne la chambre, me couche sur le lit et m'attache au Humler ce qui fait que j'ai les mains attachées au niveau de mes pieds et le cul offert. Les couilles attachées entre deux planches en bois, qui elles, se trouvent à l'arrière de mes cuisses. Il s'installe devant moi sur une chaise et met du gel sur son sexe. Il prend la pompe, la place dessus et pompe, ce qui a pour effet de faire doubler la grosseur et la grandeur de celui-ci. J'attrape peur et il le voit.

Felipe : Maintenant tu vas déguster Pat.

Moi : J'ai l'impression, maître. N'oubliez pas de mettre une capote.

Felipe : Pas de capote maintenant, je vais te féconder comme ton homme. Je suis clean, j'ai fait le test il y a un mois. Ne te tracasse pas.

Il se place derrière moi et tente de rentrer dans mon cul sans capote mais c'est trop gros, malgré tout ce qui entré dedans ce soir. Je hurle de douleur.

Felipe : Tu fais trop de bruit, attends, je vais te faire taire moi !

Il part et reviens deux minutes après pour me mettre le bâillon avec le gode.

Felipe : Tiens, bouffes. Il y a encore la salive de ton homme dessus.

Il m'attache ça à la nuque et je ne peux plus émettre un son. Il se repositionne et force ma pastille et me bourre le cul à nouveau.

Felipe : Ton mec m'a dit que tu trouvais ma queue grosse mais pas longue. Maintenant tu as les deux. Tu sens ma queue maintenant ? Prends là bien en entier dans ton cul.

Je gémis car je prends mon pied, je n'ai jamais été défoncé comme ça de ma vie. Mais depuis dix jours, qu'est-ce que je prends. J'apprends, j'adore être soumis dans ce genre de plan. Il me met sur le côté toujours pieds et poings liés ensemble et reprend de plus belle. Il me met ensuite sur le dos " là, avec les couilles attachées, ça fait mal mais j'encaisse. Je ne sais pas pourquoi mais j'encaisse " et ça dure comme ça pendant au moins une heure. Je bande comme un taureau et lui aussi. Il finit par se retirer et me retire le bâillon qui est plein de bave. Il me tire sur le coin du lit et me bourre la gueule avec son sexe. C'est trop gros pour rentrer en entier. Il le sait et me vaporise un produit au goût de menthe dans la gorge. Je sens ma bouche qui s'ouvre avec ce produit et au fur et à mesure, sa queue rentre en entier. Je ne dégluti même pas.

Felipe : Ah je suis bien à fond. Ton mec m'a dit que tu éprouvais des difficultés avec les gorges profondes. Après mon passage tu n'auras plus ce problème.

J'ai sa queue qui me pilonne la glotte et je couine de plaisir. Il finit par jouir de nombreux jets que je ne peux recracher car il me bloque la tête. Il sort en me remettant un écarteur de mâchoire en bouche. Il m'enlève le Humler et me tire dans la salle de bain. Il me met une paire de menotte dans le dos, je n'ai plus de notion de temps ou de réaction par rapport à ce qu'il me fait subir. Je suis totalement larvé. Il me place dans la baignoire et me fout sa queue molle dans l'écarteur, se place à fond et commence à pisser en me tenant la tête fermement.

Felipe : Ton homme a pratiquement tout bu tout à l'heure. Il n'y a pas de raison que toi non plus !

Et je suis obligé de boire sa pisse en entier. Il y en a moins que tout à l'heure. Il me rince, m'enlève les menottes et l'écarteur et me lance un drap.

Felipe : Essuies-toi ! Je n'en ai pas fini avec toi !

Moi : Oui maître.

Il vient m'embrasser. Je me sèche et retourne dans la chambre. J'ai envie de pisser aussi mais je me retiens.

Felipe : Que souhaites-tu comme récompense esclave ?

Moi : Vous à ma disposition maître.

Felipe : Tu veux me dominer ?

Moi : Oui maître.

Felipe : alors à partir de maintenant, je suis ton esclave.

Moi : Bien maître.

Felipe : Appelez-moi par mon prénom maître.

Moi : Ok Felipe. Pour commencer, va dans la baignoire. J'ai besoin de pisser, j'aimerais voir ce que ça fait.

Il se fout dans la baignoire, il ouvre la bouche et tire la langue.

Felipe : Voyez-vous, maître, lorsque vous étiez mon esclave, vous auriez dû tirer la langue pour montrer que vous êtes bien soumis.

Je commence à pisser et il récupère le maximum en bougeant son corps. Lorsque j'ai fini je le rince avec le tuyau de douche, lui donne mon drap et il se sèche. Je retourne dans la chambre et je prends son gel et sa pompe.

Moi : Felipe montres-moi comment ça marche.

Felipe : Bien maître.

Il me met du gel sur ma queue semi bandée. Ça chauffe et a pour effet de me faire durcir. Je pensais avoir mal mais le gel, à mon avis, doit y être pour quelque chose.

Moi : Ça coûte cher un appareil comme ça ?

Felipe : Non maître. Une centaine d'euros. Voilà c'est terminé maître, vous voilà avec une que qui a doublé de volume.

Moi : Alors suces bien.

Felipe : Oui maître.

Il me taille une pipe phénoménale. Il sait aussi bien y faire en tant que dominateur que soumis. Il me bouffe la queue presqu'en entier. Il se stoppe et prend le spray qu'il m'a mis tout à l'heure.

Felipe : Puis-je maître ?

Moi : Oui.

Il prend un coup de spray et recommence à me sucer mais je suis mal mis. Je me lève et il continue. J'attrape sa tête et lui pilonne de forts coups de rein, je touche le fond de sa gorge et il aime. Je le regarde et il me regarde les yeux brillants. J'ai envie de son cul aussi depuis tout à l'heure. Je le pousse sur le lit, je le retourne et prend le bâillon encore baveux que j'avais eu.

Felipe : Maître, si vous voulez me mettre ce machin, serrez le fort. Il ne faut pas que je puis émettre un son, comme je vous ai fait tout à l'heure. Votre mec ne serre pas assez la sangle. Ce qui fait que l'on peut émettre un son.

Je sers la sangle au maximum possible, fais le tour du lit et le tire en avant pour bien le centrer au milieu de celui-ci. Je refais le tour et le pousse à plat ventre, je lui écarte bien les jambes et entre dans son fondement. Il se crispe car ma queue est bien plus grosse que tantôt mais j'entre et commence à le baiser lentement. Il se détend et souffle du nez pour me montrer qu'il apprécie et remue ses fesses pour venir à la rencontre de ma queue. Il essaye avec ses mains d'écarter ses fesses pour prendre le maximum. Et puis soudain, il prend ses mains et me fait signe de me stopper. Il prend un papier sur la table de nuit et écrit " Vous voyez maître un bon soumis offre son cul à son maître et écarte ses fesses pour qu'il prenne un maximum de plaisir "

Moi : Ok Felipe je prends note.

Je le fais mettre à quatre patte sur le coin du lit, lui prend les mains et lui passe entre les jambes. Il comprend vite que j'ai envie d'utiliser le Humler sur lui et prend la position idéale, il m'épate. Je place l'appareil et me replante dans son cul sans mettre de capote non plus. Je suis clean et il le sait. Il gémit, il aime et j'entreprends de le pilonner au maximum de mon plaisir. Mes couilles claques contre son cul à chaque coup. Je lui frappe les fesses de temps en temps assez fort et il se crispe à chaque fois. C'est tellement bon !

Moi : Tu la sens ma queue, tu l'aime Felipe, tu es un très bon dominateur mais aussi un très bon soumis. Je suis sûr que je ne t'exploite pas comme tu en as envie.

Il gémit et se laisse faire. Tout en le baisant, je regarde le réveil matin. Putain, il est 4h30 du matin ! Qu'est-ce qu'on fait encore debout à baiser à cette heure. On est fou. Je sens que je vais jouir et me fout au fond de son fion. Je lui donne tout ce que j'avais en réserve comme sperme, je l'inonde totalement et m'effondre sur lui. Je me retire et détache le Humler. Il s'en débarrasse, me pousse sur le lit et viens frotter sa tête contre ma bite en me regardant. Je comprends et lui enlève ce qu'il a dans la bouche. J'ai à peine fini qu'il me pousse et enfourne mon sexe et le lave avidement.

Moi : Putain Felipe tu es un super coup.

Felipe : Vous aussi maître.

Moi : Arrêtes avec ton maître ! C'est fini pour aujourd'hui.

Felipe : Merci Pat. Je vais dans la salle de bain car tu m'as inondé le cul et ça coule.

Moi : Je t'ai donné tout ce qu'il me restait.

Je me couche dans le lit et il revient au bout de deux minutes.

Felipe : Il faudra que tu t'améliores en tant que soumis de Stéphane. Tu dois être totalement à lui en permanence et lui montrer que tu veux sa queue. Que tu aimes qu'il te baise. S'il te met à genoux pour sucer, tu tires la langue. S'il veut te pisser dessus aussi. S'il veut que tu boives son sperme, prends sa queue au fond de gorge et quand il a fini tu lui nettoies. Tiens, je te donne le spray. Il y en a dans tous les sex-shops.

Moi : Compris mais tu ne crois pas qu'on devrait dormir maintenant. Sinon on va passer une nuit blanche.

Felipe : Parce que tu crois qu'à côté, ça dort toi ?

Moi : Ben je ne sais pas faudrait allez voir.

On se lève et nous nous dirigeons vers l'ordinateur et on regarde, je vois mon homme allongé dans le divan avec Michel qui le pompe. Il le tient avec un collier et une laisse. Felipe m'abandonne et reviens avec deux verres de vin.

Felipe : Je crois qu'on l'a bien mérité.

On rit ensemble, je me remets à bander et lui aussi mais j'éteins l'écran.

Moi : laissons les maintenant.

Nous buvons notre verre en regardant par la fenêtre et Felipe me caresse le cul. Moi aussi. Nous bandons de nouveau, mais je suis crevé.

Moi : Si nous allions nous coucher ? Tu travailles toi, si je ne m'abuse.

Felipe : Oui demain soir, il est vrai qu'il serait temps qu'on dorme.

Nous allons nous coucher. Dans le lit je me tourne sur le côté pour faire dos à Felipe mais celui-ci se retourne et viens me planter son engin dans le cul. Comme celui-ci est dilaté, ça rentre sans aucun problème. Je tends mon cul pour bien l'accueillir et il fait quelques vas et vient.

Felipe : Tu commences à comprendre ce qu'est un soumis, c'est bien.

Moi : Stéphane aime dormir avec son sexe dans mon cul.

Felipe : Je le comprends. C'est un bon dominateur. Un soumis a le choix entre deux positions dans le lit. Soit la bite de son maître dans le cul, soit en bouche pour la nuit. En règle générale le choix est donné au soumis.

Moi : Et quand on a été soumis tous les deux dans la nuit on fait comment.

Il me retourne et se contorsionne pour que j'aie sa queue devant ma bouche et lui devant la sienne.

Felipe : Et bien on dort en 69.

A suivre ....