Épisode : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7- 8 | 9 Aventures lycéennes 8Le week-end, je m'ennuie chez mes parents. Je passe la plupart de mon temps à me branler dans ma chambre. Pendant mes séances de branlettes effrénées, je pense à Cédric, à David ou d'autres de mes camarades. Je m'imagine en train de les sucer dans les vestiaires ou en train de me faire enculer dans les douches ou dans les chiottes. Ce samedi, je m'étais déjà branlé trois fois, mais j'étais toujours autant excité. Alors, vers 21 h, j'emprunte la voiture de mon père et je rejoins le centre-ville. Je vais faire le tour des pissotières. Je veux me faire mater, je veux trouver une bite pour ma bouche ou pour mon cul. Les cinq minutes de marche qui me séparent des pissotières me semblent une éternité. Je suis super excité même si je ne sais pas ce que je vais trouver sur place. J'essaie de ralentir mon allure pour rester discret. Dans mon jeans, ma queue est bien raide. Même si c'est le weekend, je ne porte pas de sous-vêtement, je ne veux pas désobéir à Cédric. J'aperçois maintenant les chiottes du port. Dans la pénombre, je distingue 5 silhouettes. Je ralentis encore l'allure. Je scrute partout autour de moi. Les chiottes m'attirent tel un aimant. Il faut absolument que j'y rentre. Je me rapproche. Un coup d'oeil à droite, à coup d'oeil à gauche, je rentre dans les chiottes publiques. Il fait sombre. Devant moi, les portes des deux cabines sont ouvertes. Sur ma droite, une série d'urinoirs. Il n'y a personne. Je m'installe devant l'urinoir du fonds. Je défais ma ceinture et déboutonne entièrement mon jeans. Le pantalon glisse légèrement sur mes cuisses laissant apparaître le haut de mes fesses nues. Ma bite est au garde-à-vous. Je me branle doucement, tout doucement, je ne veux pas jouir comme ça tout seul. Pourquoi ai-je refusé ? Peu importe. J'entends de nouveau les portes battantes des chiottes grincer. Un mec, une trentaine d'années à peine, vient de rentrer. Jeans moulant, tee-shirt blanc et blouson en cuir. Il s'installe direct à côté de moi. Je l'entends défaire sa ceinture, puis un jet de pisse battre l'urinoir. Discrètement, je jette des regards sur sa queue. Quand il a fini de pisser, il secoue sa queue. Maintenant il pourrait la remballer, mais il continue de la secouer. Je ne peux plus détacher mes yeux de sa bite qui grossit au fur et à mesure qu'il la secoue. Je n'ai pas le temps de goûter à sa queue qu'il m'ordonne de ma relever. Le ton de sa voix à changer. Il est devenu et autoritaire. Je n'ai pas d'autres choix que de l'attendre, attaché ainsi à la tuyauterie, le cul à l'air. Sorrylizaime@hotmail.fr La suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |